Captain Harlock
Démocratie Participative
16 septembre 2021
Avec la promotion médiatique sidérante dont bénéficie Zemmour depuis une dizaine de jours, certains lecteurs demandent mon avis sur cette histoire de candidature à la candidature, me faisant valoir toute une série d’arguments en faveur du Barbier de Sétif.
Premièrement, vous faites ce que vous voulez. Simplement je n’imagine pas que des nationalistes chinois, s’ils étaient persécutés par les juifs en Chine, auraient pour réflexe de hisser un juif à la tête de leur pays afin de se libérer d’eux. Si cela arrivait, tout le monde se dirait que ces Chinois sont des masochistes qui aiment beaucoup les juifs qui les tourmentent.
Si vous souffrez sous les juifs, vous faites tout pour affaiblir les juifs. Vous ne leur (re)donnez pas le contrôle de l’Etat avec votre plein acquiescement.
Ce principe de base clarifié, il y a des éléments qui sont revenus et qui méritent quand même d’être discutés.
Notamment que Zemmour « aurait défendu Pétain ».
Zemmour n’a jamais défendu Pétain, ou du moins pas comme nous l’entendons. Ce que Zemmour a dit, c’est que Pétain était un brave goy avec un cœur de papy gâteau qui avait constamment saboté le travail des Allemands, et même de la police française, pour sauver la mise de la juiverie hexagonale.
Cette même juiverie qui avait plongé la France dans la plus grande catastrophe de son histoire.
Pour la nouvelle fête aux tripes aryennes, les juifs avaient d’ailleurs ramené encore plus de nègres qu’en 1914, conformément à leur grand programme de remplacement racial.
Le problème avec la défense de Pétain par Zemmour, c’est que ce qu’il dit est vrai.
Pendant quatre ans, Pétain a passé ses soirées, le nez collé sur sa soupe, à maudire l’Allemagne nationale-socialiste qui saignait profusément sur le Front de l’Est pour contenir la sauvagerie judéo-communiste tandis que sous la généreuse protection du vainqueur de Verdun, les crapules maçonnes de la Troisième République se gobergeaient à Vichy, attendant dévotement l’armée américaine. Youtres en tête.
Durant ces années décisives, un vieillard cacochyme collé à la tête de la France barbotait dans son anti-bochisme, hésitant à arracher ne serait-ce qu’un poil au nez d’un seul de ces juifs « français », tandis que les hordes sémitiques de l’Affiche Rouge assassinaient à tout rompre.
Quand les chars américains sont finalement arrivés, les juifs, plus gras et insolents que jamais, se sont jurés de sceller le sort du pays en le repeuplant par toutes les races de la terre. Ce qu’ils ont fait immédiatement en donnant des ordres stricts au ministère de l’Intérieur dès l’immédiat après-guerre. Le résultat, vous l’avez sous les yeux : l’Abyssinie-sur-Seine.
Ce n’est pas de la théorie, c’est notre réalité.
Le passeur de clandestins Herrou, protégé de la LICRA et de Jakubowicz, avocat juif de l’égorgeur d’enfants Lelandais
Sans les jérémiades de cette vieille ganache de Pétain, les Français, sans aucune intervention des Allemands, auraient réglé leurs comptes à ces sales juifs, en toute « souveraineté », le seul souverainisme qui importe, le seul dont on ne parle jamais.
Les masses bouillaient d’en découdre avec cette race de démons, responsable du désastre. Elles voulaient les voir étripés en pleine rue et Pétain était aux abonnés absents tandis que pas un seul évêque ne manquait à l’appel le dimanche pour prêcher la fraternité universelle avec les terroristes youtres embusqués, attendant leur heure pour ouvrir les portes de l’Enfer sur la France.
La juiverie hexagonale est sortie de la guerre parfaitement intacte, toutes les dents en place, les poches pleines de liasses après avoir régné sur le marché noir et les pillages de la Libération.
Durant ces quatre années de guerre, la seule lueur d’espoir a été la Gestapo, la Milice et la part encore saine de la police française en dépit du fait qu’elles se soient limitées à envoyer les juifs étrangers travailler dans des usines d’armement en Europe de l’Est.
Et pourquoi des juifs étrangers ?
Parce que la France juive du Front Populaire, celle de Blum, Mandel et Mendès, était devenue le bastion de la juiverie européenne chassée par tous les états fascistes du continent. Le dernier bout du tapis duquel le chien enragé de Yahvé ne voulait pas démordre. La France était devenue l’endroit où toute la crasse levantine d’Europe était venue pour se sédimenter afin de mieux conspirer contre les nations sur la voie du redressement racial et spirituel. Il n’y avait pas une seule direction clandestine d’un parti communiste interdit par un régime d’ordre qui n’avait sa vitrine à Paris pour permettre à Schmuel et Solomon de délibérer interminablement sur les listes de poètes et de soldats à faire fusiller, une fois l’Armée Rouge sur les bords du Rhin.
La France républicaine, gonflant de youtres des ghettos de Roumanie et des quartiers de Lodz, en redoublait de rugissements bellicistes contre l’Allemagne qui venait de se débarrasser de la youtrerie révolutionnaire du Komintern. La viande gauloise, déjà copieusement démolie en 14-18, ravagée par l’alcool et les blessures, hypnotisée par ses nouveaux congés-payés-Rothschild, était sommée, travaillée par les mille trompettes de l’Apocalyse hébraïque que tenaient des régiments entiers d’anciens maquereaux juifs à la tignasse noire et à la mine torve, reconvertis dans le journalisme deux jours après avoir atterri sur les quais de Paris. Mâchant et remâchant leurs remugles d’accent hongrois ou bessarabe à coups d’appel au meurtre et d’invocations solennelles des plus grands idéaux de la Patrie des Droits de l’Homme, ceux qui deux mois plus tôt battaient encore le mauvais pavé de Bucarest ou de Vienne en y prostituant leurs sœurs étaient devenus, par le miracle de l’argent new-yorkais, la muse d’un état-major français conquis par ces plumes brûlantes d’un patriotisme nouveau.
Quand en 40 l’affaire tourna court, toute la juiverie éboulée fût sidérée. Le baudet Bayard n’avait pas été généreux de sa tripe comme on l’avait tant espéré dans les intenses prières du samedi. Dès lors, la bidasse française devint, pour la presse universelle des démocraties, franchement louche. Une telle dégringolade, sans phénoménal carnage de millions de têtes de paysans français écrabouillées pour snober Hitler, donnait aux yids l’impression de s’être faits salement doubler. Y’avait-il une entente secrète pour que cette viande française si tendre, si belliqueusement enivrée, de premier choix casher, gadouille ainsi ? Pas seulement gaffeuse ou lâche, mais consentante à la réticence face au péril existentiel des Walkyries de l’antisémitisme blindé ?
« Li gomblot goy, Shmon ! Li gomblot goy ! »
Si le juif vous regarde bizarrement encore aujourd’hui quand vous hésitez à ses ordres, c’est à cause de ça.
Qu’on refuse de crever pour la graisse durcie d’un seul vieux juif plonge le peuple élu dans les plus grandes angoisses. Qu’on s’y entête lui fait péter le caisson. Vous pouvez me croire : les juifs n’ont toujours pas digéré les manières du soldat français de Mai 1940.
Comme vous le savez, quand il s’agit de haïr, les juifs sont maximalistes. C’est au moins quelque chose qu’on devrait apprendre d’eux, pour nous changer des bondieuseries habituelles.
Bien que le vieux Pétain leur ait sauvé la peau, après-guerre ils n’ont eu qu’une seule idée en tête : l’accuser d’avoir voulu les assassiner moyennant une paix des braves avec les Allemands. Tel quel. Ils lui ont même fait un procès à ce sujet, mais c’est Laval qui a pris les balles. C’est que les juifs le voulaient dans une cage, pour le rendre bourrique complètement devant la France entière.
Ils se sont beaucoup amusés avec leur protecteur, les juifs « français ».
Moi, je n’ai pas entendu Zemmour causer de tout ça.
Zemmour, comme tous les juifs, pense en juif, du matin au soir. Pour n’importe quel juif, l’univers ne tourne pas autour du soleil, mais autour de Jérusalem et Jérusalem est dans la valise de n’importe quel juif.
Zemmour veut faire de Pétain un « juste parmi les nations », un serviteur de la postérité juive. Ce n’est pas tellement faux, mais cela ne nous concerne pas.
Avez-vous jamais vu Zemmour dénoncer le mythe des chambres à gaz ou pointer du doigt l’énorme main mise juive sur la France et les démocraties occidentales ? Celle-là qui nous envahit et qui l’embauche généreusement ?
Vous pouvez toujours attendre, en attendant il a deux frigos.
Maintenant que j’ai dit ça, la candidature Zemmour, outrageusement vendue par l’armada formidable des médias juifs, me divertit. C’est un divertissement pour toute personne qui se fout royalement des élections comme de la démocratie, ayant bazardé depuis un bon moment cette vieille lune aux orties. J’ai du mal à prendre au sérieux quiconque s’investit émotionnellement, physiquement et matériellement dans ce miroir aux goyim.
Si Zemmour fait souffrir et se contorsionner la grosse Le Pen à force de la déborder sur sa droite, c’est tant mieux. Cela permet de lever l’imposture lepéniste. Zemmour a au moins pour lui de ne pas trahir en servant la cause de la race juive squattant la France. L’alcoolo-tabagique, elle, a trahi avec l’assurance revendicatrice de la garce pour ramper devant les juifs qui continuent de l’en remercier en lui crachant à la face.
Ne comptez toutefois pas sur moi pour être Alice au pays des juifs.
La France a depuis longtemps dépassé le stade électoral, encore plus depuis qu’elle a 50 millions de golems vaccinés et survaccinés, candidats à une atroce et aléatoire déchéance.
La baraque est bonne pour s’effondrer, il est quand même temps de regarder les choses en face plutôt que de tremper le pain dans la pisse en sifflant les moineaux.
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