Captain Harlock
Démocratie Participative
20 décembre 2021
Aux dernières nouvelles, les écolo-wokistes ultra-féministes sponsorisés par Soros ont remporté les élections présidentielles au Chili.
Autrement dit, le Chili est officiellement devenu un état néo-communiste.
Le Chili est un pays bizarre de langue espagnole qui fait la longueur d’un aller simple Lisbonne-Moscou pour une largeur d’un aller-retour Rennes-Nantes. Je ne connais pas ce pays en dehors de ça et en dehors du fait qu’on y trouve des indiens communistes.
Ceci dit, je peux affirmer qu’une présidence livrée à un néo-marxiste payé par Soros est une mauvaise nouvelle, quelque soit le pays.
Le nouveau président est la figure type de l’homme soja. Il a une barbe pour masquer son absence de menton, il est bedonnant avec de petites mains et de petits yeux calculateurs et il a une tête d’homosexuel.
Son programme est classique, pour un gauchiste : imprimer de l’argent autant qu’il en faut pour acheter les électeurs.
Dès les premiers résultats ce dimanche soir, des centaines puis des dizaines de milliers de personnes ont commencé à converger vers le centre-ville de Santiago, sous les couleurs de drapeaux chiliens, des peuples autochtones ou de celles de la communauté LGBT +. «Le peuple uni ne sera jamais vaincu», crie la foule en attendant le futur président, Gabriel Boric, le plus jeune de l’histoire du Chili.
Un peu avant 22 heures, il apparaît sur l’Alameda bondée, cette même avenue où avec d’autres parlementaires de sa génération, il s’est fait connaître il y a dix ans, en tête des manifestations pour la gratuité de l’éducation.
Le nouveau président anal du Chili
«Notre génération est entrée dans la vie publique en exigeant que nos droits soient reconnus comme tels et ne soient pas traités comme des biens de consommation», rappelle-t-il après avoir salué ses partisans dans la langue autochtone du peuple mapuche, le principal peuple indigène du Chili (9,6 % de la population). Le trentenaire liste ses propositions de réformes sociales, concernant la santé, les retraites, et l’éducation. Ces secteurs ont été entièrement ou partiellement privatisés sous la dictature du général Pinochet (1973-1990), qui a imposé des réformes néolibérales dans le pays. «Nous ne voulons pas que certains continuent de faire de nos retraites un business», assure le président élu, en référence au système de retraites privé par capitalisation. «Nous allons défendre un système public, autonome, à but non lucratif et sans fonds de pensions privés», conclut-il sous les acclamations de la foule.
Une retraite par répartition, à la française, avec une démographie sinistrée.
Les marxistes vont donc imprimer de l’argent gratuit pour acheter les voix des vieux, ce que leur permet encore une dette nationale qui restait à des niveaux gérables, quoique en augmentation constante.
Elle est passée de 3% du PIB à 33% en seulement dix ans.
Quand les néo-communistes en auront fini avec ce pays, ils auront multiplié par trois ou quatre la dette nationale et les électeurs de ce type mangeront l’écorce des arbres en maudissant le fascisme.
«Gabriel Boric a semble-t-il réussi à mobiliser particulièrement les jeunes, les électeurs des grandes villes, et les classes moyennes à populaires», analyse Claudio Fuentes. Le vote des femmes a probablement été significatif, José Antonio Kast étant ouvertement hostile au droit à l’avortement (même en cas de viol), et proposait avant le premier tour de supprimer le ministère de la femme ou de donner des aides sociales aux femmes mariées plutôt qu’aux célibataires.
Se référer à mon point sur la natalité
Dans le centre-ville de Santiago, Rosa Maria Ahumada, 65 ans, est venue fêter la victoire de son candidat. Ce mandat, «c’est l’opportunité de concrétiser la nouvelle Constitution» dont la rédaction a commencé en juillet, et dont Gabriel Boric est un fervent défenseur. «Et de changer notre pays, car le Chili est beaucoup trop inégalitaire», dénonce-t-elle.
Au Chili 1 % des habitants les plus riches perçoivent près de 30 % des revenus du pays. C’est l’une des raisons qui a mené au soulèvement d’octobre 2019 puis à l’élection d’une assemblée constituante cette année. Le nouveau texte doit être soumis à référendum l’an prochain et pourrait remplacer la constitution actuelle, héritée de l’ère Pinochet.
Il y a déjà ces 2 millions d’indiens communistes qui veulent parasiter à outrance. Ceux-là vont voir l’argent pleuvoir sur leurs têtes.
Ensuite, il y a tous les bobos des centres urbains qui entendent faire advenir leur société LGBToïde où tout est gratuit.
Enfin, les individus à vagins biologiques qui veulent tuer les enfants à naître.
C’est tout le problème avec la démocratie. Quand finalement quelqu’un a reconstruit ce que les marxistes ont détruit, les marxistes reviennent au pouvoir pour tout détruire à nouveau grâce aux voix de la lie de la société.
La démocratie doit être détruite et interdite.
L’autoriser, c’est comme laisser une caisse de whisky dans le salon d’un alcoolique en escomptant qu’il reste sobre.
L’antidote est connu et éprouvé.
Aujourd’hui, le short chaussettes hautes, c’est le minimum
Pourquoi faire semblant de ne pas le savoir ?