Wall Street Journal : la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne n’ont plus d’armées

La rédaction
Démocratie Participative
12 décembre 2023

 

Il n’y a plus d’armée française ou britannique et c’est un problème pour la presse juive américaine. Il n’y a aucune réserve de goyim à envoyer au front mourir pour Zelensky.

The Wall Street Journal :

L’armée britannique – le principal allié militaire des États-Unis et le plus gros dépensier d’Europe – ne dispose que d’environ 150 chars déployables et peut-être d’une douzaine de pièces d’artillerie à longue portée en état de marche. Les armoires sont tellement vides que l’année dernière, l’armée britannique a envisagé d’acheter des lance-roquettes multiples dans des musées pour les moderniser et les donner à l’Ukraine, mais l’idée a été abandonnée.

La France, deuxième pays le plus dépensier, possède moins de 90 pièces d’artillerie lourde, soit l’équivalent de ce que la Russie perd à peu près chaque mois sur le champ de bataille ukrainien. Le Danemark ne possède ni artillerie lourde, ni sous-marins, ni systèmes de défense aérienne. L’armée allemande dispose de suffisamment de munitions pour deux jours de combat.

Au cours des décennies qui ont suivi la fin de la guerre froide, les gouvernements occidentaux ont toléré l’affaiblissement des armées européennes parce qu’une Amérique engagée, dotée d’une puissance militaire considérable, soutenait l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord et la politique de défense en Europe. L’année dernière, les États-Unis ont représenté près de 70 % des dépenses de défense de l’OTAN.

Mais l’inquiétude grandit à mesure que l’Amérique adopte une position plus isolationniste et que l’idée d’une menace potentielle de la Russie pour l’Europe réapparaît, après près de deux ans de combats sanglants en Ukraine.

La Russie ne représente pas un danger militaire immédiat pour l’Europe, et les dirigeants militaires et politiques occidentaux pensent que la Russie est pour l’instant contenue par sa guerre d’usure en Ukraine. Mais si la Russie finit par gagner en Ukraine, rares sont ceux qui doutent de la capacité de Moscou à se réarmer complètement d’ici trois à quatre ans et à semer le trouble ailleurs.

La Russie n’aura pas besoin de se réarmer, elle est déjà bien plus et mieux équipée qu’au début du conflit. Toute sa production d’armement est en croissance exponentielle, notamment dans le domaine des drones.

Le président russe Vladimir Poutine pleure depuis des années la perte d’un empire russe qui englobait l’Ukraine et d’autres pays d’Europe de l’Est, dont les pays baltes.

Une grande partie de la capacité industrielle de l’Europe à fabriquer des armes s’est érodée au fil des années de coupes budgétaires, et il est difficile de redresser la barre à une époque où la plupart des gouvernements sont confrontés à des contraintes budgétaires dans un contexte de faible croissance économique et de vieillissement de la population, ainsi qu’à une forte opposition politique à l’idée de réduire les dépenses sociales pour financer la défense.

Et oui.

Les boomers veulent bien souhaiter la victoire du juif Zelensky contre Putler, mais pas si leurs retraites sont en jeu.

Sans parler des réfugiés de la tolérance qui ne tolèrent pas les limitations budgétaires.

Et enfin, les femmes blanches qui n’aiment pas la guerre parce que c’est méchant.

L’Europe s’est « systématiquement démilitarisée parce qu’elle n’avait pas besoin de dépenser de l’argent », en raison de l’absence de menace apparente et de la domination militaire des États-Unis dans le monde, a déclaré Anthony King, professeur d’études sur la guerre à l’université de Warwick. « Ils se sont pratiquement endormis. »

La guerre en Ukraine a mis en évidence la profondeur du problème de l’Europe. »

« Bien que la puissance économique et industrielle combinée des pays de l’OTAN éclipse celle de la Russie et de ses alliés, nous nous laissons dépasser », a déclaré Anders Fogh Rasmussen, l’ancien secrétaire général de l’OTAN. « L’Ukraine est désormais engagée dans une guerre d’usure. Si nous ne prenons pas au sérieux la production de munitions, la menace d’une guerre se rapprochera probablement de nous. »

C’est certainement une des plus grandes fadaises de l’affaire.

La puissance économique occidentale est évaluée par le PIB qui est artificiellement gonflé par une bulle de dettes qui ne sert qu’à financer les retraites des boomers et le système social des non-Blancs.

Cette économie de service consiste à vendre des conneries surévaluées à des gens de plus en plus marron qui dépendent de l’argent gratuit pour consommer.

La France vit pratiquement du tourisme à ce stade.

La situation est si tragique que l’État français s’endette davantage en 2023 pour assurer son fonctionnement qu’en plein confinement, lorsqu’il finançait à fonds perdus les restaus dont les boomers raffolent.

Dans les domaines de la production industrielle, l’Asie est déjà en tête et de loin.

Quant à la production d’armements, la Russie a conservé le socle industriel qui lui permet, grâce à ses ressources illimitées et son savoir-faire, de fabriquer des armes à bas coût en grandes quantités.

L’OTAN n’est pas focalisé sur l’efficacité, mais sur le profit, avec des fabriquants d’armes en compétition les uns avec les autres pour des niches internationales. Ils ne peuvent pas fournir un matériel unique en un temps rapide pour soutenir un effort de guerre global.

Les évaluations de la taille des économies en dollars ne permettent pas de mesurer ce que peut produire un état et à quel coût réel, d’autant que dans le cas de la Russie, la production d’armes est un secret d’état.

Quand l’Ukraine sera enfin libérée, les Russes pourront faire rouler leurs tanks protégés par leurs drones jusqu’à Brest si ça leur chante.

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