La rédaction
Démocratie Participative
08 juillet 2022
Voilà le film beta de l’année.
C’est l’histoire réelle d’Antoine Leiris, un homme soja blanc qui a fait fureur après les attentats de 2015 en expliquant qu’il ne vengerait pas sa femme assassinée par les musulmans.
C’est la fameuse position chrétienne consistant à tendre l’autre joue de Justin Trudeau.
Quand vos ennemis gagnent, ils perdent, et vice versa.
Mangez-vous autant de soja que lui ?
Dans cette société occidental du dernier homme, on doit haïr :
Les Russes
Les non-vaccinés
Les hommes blancs, de préférence « d’extrême-droite »
Pas les islamistes!
Pour être parfaitement clair : un homme dont la femme (ou les enfants) est assassinée à le devoir de se venger.
Ce n’est pas une option.
Un homme qui ne venge pas la mort de sa femme ou de ses enfants n’a pas d’honneur.
Antoine Leiris incarne parfaitement le dernier homme de Nietzsche, au moral comme au physique.
Il développe une nouvelle forme de narcissisme propre à la société vaginocentrée : le narcissisme du faible célébré pour son échec en tant qu’homme.
Les valeurs pacifiques de l’homme féminisé qui agite le drapeau blanc et qui présente sa lâcheté en vertu.
Derrière les célébrations à la bougie de l’époque, les femmes blanches ont inconsciemment reçu un message qui ne peut que les encourager à trouver un compromis avec les envahisseurs.
Elles savent que l’homme blanc ne les défendra pas.
Les femmes sont tiraillées entre d’une part leur nature profonde d’êtres fragiles redoutant ataviquement la violence masculine et d’autre part le besoin de protection. C’est leur rapport conflictuel à la nature masculine.
Si dans un premier temps l’inversion de la charge des attaques allogènes revient à l’homme blanc, sommé de « prendre sur lui » en ne ripostant pas sur fond de masochisme occidental post-chrétien, très vite les femmes se sentent frustrées.
Elles aspirent à trouver des solutions pratiques avec le conquérant.
L’homme blanc a perdu sa volonté de dominer ses femmes.
« Est-ce que toutes les femmes ont envie de se faire violer ? »
« Je pense, oui. Sincèrement, oui. »
Deux époques, une même question : quand des hommes d’aujourd’hui répondent à un micro-trottoir de 1976 sur le viol pic.twitter.com/DU2cjYtudj— Ina.fr (@Inafr_officiel) March 7, 2020
Pas les mahométans.