Captain Harlock
Démocratie Participative
17 août 2021
Face au régime criminel de Macron, les manifestations ne suffiront pas.
A Pau, la rébellion populaire l’a bien compris et a décidé d’investir l’hôpital qui prive de soins les non-vaccinés depuis début août au titre de la loi bioterroriste votée fin juillet.
Sur place, la direction, qui jusque-là se planquait, s’est nerveusement cachée derrière les lois génocidaires du tandem Macron/Véran.
Cet argument n’a pas suffi.
A 47:00′, une femme rappelle à cette direction que tout ce trafic, en dépit d’un vernis de légalité, est parfaitement criminel, peu importe les tripatouillages de la clique macroniste à l’Assemblée ou de l’empoisonneur de sang Fabius au Conseil Constitutionnel.
Le directeur est parfaitement conscient de commettre un acte criminel qui mène à la mort de gens en besoin de soins. Ce que la foule lui dit, il le sait déjà. Mais il a préféré choisir sa carrière et son salaire en obéissant aux consignes gouvernementales, quitte à faire mourir des gens au prétexte qu’ils ne sont pas vaccinés contre le Covid19.
Tout le système fonctionne sur cette base : des exécutants minables qui sont prêts aux actes les plus immoraux pour conserver leur confort.
Ce n’est que le début. Au fil des semaines, l’étendue criminelle de cette loi deviendra plus claire pour de très nombreuses personnes.
Ce genre d’actions doit se généraliser.