La Rédaction
Démocratie Participative
26 juin 2024
Oui, l’UE, c’est la lutte contre la corruption, pour la transparence et les élections libres, mais ce n’est pas une raison pour qu’elle soit dirigée par quelqu’un qui serait élu ou qui accepterait de donner ses SMS à propos des énormes deals secrets qu’elle négocie avec des multinationales
Les élections européennes qui ont saturé les médias pendant 6 mois sont finies.
Nous pouvons donc continuer comme avant.
RTBF :
Six dirigeants de l’Union européenne issus des trois familles politiques historiques se sont mis d’accord sur les « top jobs », les postes clés à pourvoir dans l’UE, a appris mardi l’agence de presse allemande DPA. Ils souhaitent reconduire Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne.
Les négociateurs ont également convenu de nommer l’ancien Premier ministre portugais Antonio Costa à la tête du Conseil européen et d’octroyer le poste de haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères à la Première ministre estonienne Kaja Kallas.
Le socialiste Antonio Costa est une créature sans race originaire du sous-continent indien.
Mais c’est bien la traînée Kallas, actuellement maire de l’Estonie.
Cette femme blanche forte et indépendante n’a qu’une idée en tête : déclencher une guerre mondiale cataclysmique contre la Russie pour donner une leçon à Poutine le sale macho.
Certes, « la diplomatie de l’UE » est une figure de style, pas une réalité. C’est tout de même un poste médiatique que contrôlent les juifs de Washington pour faire du cyber harcèlement au niveau international.
La première chose que va faire Kallas une fois nommée c’est d’accuser Poutine de l’avoir agressée sexuellement en 2009.
Ce sera une crise d’hystérie ovarienne après l’autre, pendant six ans.
Et la guerre en plus.
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