Captain Harlock
Démocratie Participative
03 août 2018
Regardez-moi ces sales faces de cafards du désert
Comme bon nombre de nos lecteurs le savent, deux crouilles ont assassiné pour la énième fois un jeune Français se prénommant Adrien. Pour la première fois aussi, ses parents ont déclaré qu’ils ne pardonneraient pas et que l’heure de la révolte était venue.
Orange :
Les obsèques d’Adrien ont lieu ce vendredi à Grenoble. Ce jeune homme de 26 ans a été poignardé mortellement en plein coeur dimanche à la sortie d’une discothèque alors qu’il venait de fêter son anniversaire et intervenait pour aider un ami pris à partie.
Ses parents, fous de douleur et de colère, se sont confiés à France Bleu.
Sa mère Patricia a livré un témoignage bouleversant : « J’ai retrouvé un questionnaire de Proust auquel il avait répondu. A la question, quel est votre rêve de bonheur ? Adrien avait répondu : ‘Une femme, deux ou trois gosses, un chien et une belle maison au soleil’. Vous voyez ça ? C’était le souhait de ma vie. Avoir des petits-enfants, m’en occuper, profiter de la vie avec eux. Ils nous ont enlevé tout ça ! Ils ont brisé une famille entière, des amis ! C’est impardonnable! »
Et de poursuivre : « Chaque fois qu’il quittait la maison, je lui disais de faire attention. Il me disait : ‘T’inquiètes, Maman. Que veux tu qu’il m’arrive ?’ Je ne leur pardonnerai jamais, jamais ! Hier c’était les autres, aujourd’hui c’est nous. Et demain, qui ? Y ‘en a marre, je crie ma révolte. J’en appelle à tous les politiques, de tous bords. Faites quelque chose ! Mais regardez, notre pays sombre dans la violence. Il faut arrêter ça ! Sauvez nos enfants ! »
Les trois individus ayant agressé Adrien ont été mis en examen pour meurtre, tentative de meurtre et violences en réunion avec arme. Deux d’entre eux sont frères et ont été incarcérés. Le troisième agresseur a été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Une décision contestée par le parquet de Grenoble, qui a fait appel.
Voici l’audio.
Vous n’avez pas vu d’émeutes, à la différence des nègres.
C’est tout le problème : les Blancs domestiqués se laissent assassiner sans réagir, offrant à la pourriture politique le loisir de s’en laver les mains. Rien de tel avec la vermine nègre qui sème le chaos, résultant en enquêtes, procès, campagnes médiatiques.
Je crois cependant que l’on peut d’ores et déjà affirmé que « Je suis Charlie », l’opération d’inspiration juive visant à soumettre les Blancs à la sauvagerie afro-maghrébine, est un échec.
Il va sans dire que l’appel désespéré de cette mère à la pourriture politico-démocratique qui a créé la présente situation ne peut rien donner. Mais il dépasse les simples « marches blanches » pacifistes habituelles pour poser le problème sur le plan politique.
Et ce qui se passe est très simple : le régime judéo-républicain importe, depuis 50 ans, des hordes de sauvages qui violent, pillent, tuent, blessent, harcèlent, détruisent, avec l’appui de la presse terroriste aux mains des communistes et des juifs.
L’impératif de châtiments de groupe par l’Etat
En tout premier lieu, et avant d’évoquer la déportation totale de tous les extra-européens présents en Europe et en France, la plus brutale répression devrait s’abattre, en pareil cas, sur la famille élargie de cette vermine. Parents, grand-parents, enfants, femmes, soeurs, frères, cousins : les bêtes sauvages qui engendrent ces criminels, en plus de leur propre descendance, devrait être placée en camp de travail afin d’expier jusqu’à ce que les lois de la nature fassent leur oeuvre.
La vermine nègre ou arabe fonctionne de manière grégaire et ne comprend que les châtiments collectifs les plus impitoyables. Tant que nous aurons des démocrates confits d’abstractions libérales comme la « responsabilité individuelle » pour gouverner le ministère de la justice, ces sauvages continueront.
Avec une telle méthodologie, en quelques semaines, le calme serait totalement restauré dans toutes zones immigrées de métropole. Ce qui ouvrirait la voie à la déportation des millions de parasites raciaux qui ont beaucoup trop longtemps souillé notre terre.
Le problème provient donc du régime judéo-démocratique et de ceux qui le gouvernent actuellement. Tant qu’il n’y aura pas un état raciste en France avec un système légal adapté, le pourrissement se poursuivra.
Il faut une répression raciste mais plus encore, une politique d’état raciste.
Cet objectif doit être clair pour tous les membres du mouvement.