Voici le point sur la situation avant l’Acte 5 (analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 décembre 2018

Bon, j’ai enfin le temps de faire un point sur la situation.

Voilà comment je résume le bilan pour la journée d’hier : une victoire défensive tactique mineure pour le gouvernement d’occupation au prix d’une défaite stratégique majeure.

Tactiquement, le but du gouvernement était de démontrer qu’il contrôlait encore la situation et ne se laissait pas déborder dans la capitale.

Il a procédé selon un plan nouveau :

  • démobiliser en amont les masses en les intimidant par une intense campagne de terreur médiatique
  • déployer des moyens sécuritaires énormes, blindés y compris
  • lancer des arrestations préventives de masse dans tout le pays et aux abords de Paris
  • bloquer tous les accès au site du rassemblement (les Champs Elysées),
  • canaliser les personnes convergeant vers Paris en les enfermant dans de petites nasses dans toute la ville,
  • ne laisser, tôt le matin, qu’un millier de Gilets Jaunes accéder aux Champs pour ensuite refermer la porte et faire des images d’une « mobilisation faible »

Le plan s’est donc déroulé comme prévu.

Cependant, la première défaite du gouvernement, c’est la mobilisation populaire. La campagne de terreur médiatique juive au sujet du bain de sang prévu dans les rues de Paris n’a pas démobilisé les masses. Elles ont continué de converger vers Paris.

La seconde défaite du gouvernement d’occupation juif, c’est le coût financier de cette victoire tactique. A deux semaines des fêtes, la capitale française est en train de perdre des milliards d’euros en raison des images qui font le tour du monde depuis 3 semaines.

Le prix à payer dépasse largement les recettes que cette taxe était censée lui rapporter cette année. Cela va accroître considérablement la pression sur lui et il va devoir, d’une façon ou d’une autre, compenser ses pertes en prélevant davantage de taxes.

En termes d’image, une victoire majeure se profile à l’horizon pour le mouvement : la paralysie, pour la première fois, de la capitale française pour les fêtes de fin d’année. Cela aurait un impact mondial tant le nombre de touristes étrangers est particulièrement nombreux à venir durant cette période. Les conséquences en seraient, pour Macron, la démonstration sur la scène internationale d’un affaiblissement spectaculaire.

Enfin, la troisième défaite est de nature politique. Cette victoire tactique – le contrôle des Champs Elysées – a eu pour prix le recours à des méthodes coercitives qui ne peuvent que rendre Macron et son gouvernement encore plus impopulaires et haïs.

Les flics de Macron ont été jusqu’à tirer dans les têtes des gamines.

Et plus généralement, à allumer sans raison.

Peu importe ce qu’en diront les flics, le fait est que ces images circulent massivement sur les réseaux sociaux, touchant des millions de mères de famille, de frères ou de pères. Et ces gens n’aiment pas voir des gamines blanches se faire éclater la tête par des tirs.

En outre, vous avez ces images symboliques : Macron en a été réduit à déployer des blindés pour faire taire le peuple. Et ces images tournent dans le monde entier.

Et d’une manière générale, l’écrasement du patriotisme par le globalisme financier juif.

Inutile de vous dire que l’atmosphère n’est pas à un retour à la normale : les gens veulent faire payer Macron.

Personnellement.

Donc, quand le peuple voit ces images et qu’il découvre ensuite Castaner passer ses CRS en revue comme s’il était Napoléon le soir d’Austerlitz, il entre en ébullition.

Le gouvernement d’occupation juif et Macron n’ont toujours pas compris ce qui se passe : pour eux, il ne s’agit que d’un problème de maintien de l’ordre. La plèbe aryenne, se disent-ils, rentrera bientôt chez elle après avoir reçu la bonne dose de coups et quelques dizaines d’euros.

Ils sont donc, aujourd’hui, certains d’avoir remporté la victoire.

Ils n’ont nullement l’intention de répondre à la baisse massive des taxes demandée par le peuple et encore moins de le laisser avoir son mot à dire politiquement. C’est une impossibilité financière et politique.

Au plan stratégique, tout s’est encore aggravé. Parce que Macron répond à la détresse de millions de Français par la violence pure.

Paris a occulté ce qui s’est passé dans d’autres villes françaises. Comme à Toulouse.

Et la mobilisation, partout, reste massive. On peut tabler, dans tout le pays, à au moins 300,000 le nombre de Gilets Jaunes sur le terrain samedi.

Macron va donc prendre la parole lundi, se sentant en position de force suite à sa victoire tactique de Paris, et se poser en vainqueur faussement magnanime. C’est-à-dire, pour les millions de gens en rébellion, en pédale arrogante.

L’attitude de la presse juive, triomphante et définitive, va faire exploser la population de rage.

Macron est notre principal atout

Les médias juifs vont lancer une énorme campagne de promotion de leur larbin, détaillant les « mesures extraordinaires » pour clore la crise.

N’oubliez pas que ce qui a mené aux violents affrontement du 1er décembre à Paris faisait suite à la fin de non-recevoir de Macron, le 27 novembre.

Depuis, cette pédale s’est planquée.

Il n’a rien dit. Vous ne l’avez pas entendu.

Et quand il s’est montré, la foule a voulu le lyncher. Littéralement.

Dans son esprit et celui de ses conseillers, l’affaire doit être conclue lundi et faire comme si la crise était terminée.

La presse juive va hurler partout que « le mouvement se dégonfle », que la « mobilisation est en forte baisse », etc.

Lundi Macron, pensant l’emporter, va nous apporter les quelques tonnes de kérosène qui nous manquent sans même le savoir.

Et le système juif va assister, sidéré, à l’échec complet de son plan.

En dernière analyse, c’est une confrontation de volontés. Et le principal moteur de la volonté du mouvement, c’est la haine. Macron est celui qui parvient, seul, à décupler cette haine dans le coeur des masses.

Préparez-vous pour demain et mardi. Vous allez tous devoir, partout, déverser un torrent de haine contre Macron suite à sa prise de parole.

Nous n’en sommes vraiment qu’au début.