Violente réaction du gouvernement Macron après l’interdiction de la promotion de la pédophilie homosexuelle dans les écoles de Hongrie

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 juin 2021

La Hongrie a adopté une loi visant à empêcher les homosexuels de pousser les enfants à se laisser éjaculer dans l’anus par des hommes adultes.

La protection des anus des enfants par le gouvernement hongrois a déclenché une très violente réaction de l’Etat Français ainsi que de l’Union Européenne.

France 24 :

La Hongrie a adopté, mardi 15 juin, un texte interdisant la « promotion » de l’homosexualité auprès des mineurs, suscitant l’inquiétude des défenseurs des droits, alors que le gouvernement souverainiste de Viktor Orban multiplie les restrictions visant la communauté LGBT.

Les amendements en question ont été approuvés par 157 députés, dont ceux du parti au pouvoir, le Fidesz, au cours d’une séance du Parlement retransmise en direct par les médias. L’opposition a boycotté le vote, à l’exception de la formation nationaliste anti-Orban Jobbik, qui a voté pour.

« La pornographie et les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l’identité de genre, le changement de sexe et l’homosexualité ne doivent pas être accessibles aux moins de 18 ans », est-il écrit dans ce document consulté par l’AFP, qui entend ainsi « protéger les droits des enfants ».

Dans la pratique, les programmes éducatifs ou les publicités de grands groupes solidaires des minorités sexuelles et de genre, comme par exemple celle de Coca-Cola représentant un couple d’hommes qui avait suscité en 2019 des appels au boycott, ne seront plus autorisés.

Il devrait en être de même pour les livres, tels que le recueil de contes et légendes banalisant l’homosexualité qui s’était attiré les foudres du pouvoir à l’automne 2020. Le Premier ministre hongrois avait à l’époque appelé à « laisser (les) enfants tranquilles ».

Effectivement, s’il y a un trait permanent chez les homosexuels c’est bien celui de s’intéresser aux organes génitaux des enfants.

C’est récurrent.

Les médias d’état français appellent régulièrement le public à laisser les enfants se faire toucher le sexe par des homosexuels déguisés en femmes.

Si vous voulez mon avis, des gens obsédés par l’éjaculation anale entre hommes qui veulent absolument parler d’anus aux enfants ont quelque chose en tête.

Comme leur transmettre le SIDA après les avoir sodomisés, par exemple.

Des séries comme « Friends » ou des films comme « Bridget Jones », ou « Billy Elliot », dans lesquels l’homosexualité est évoquée, pourraient également être interdits aux mineurs, s’alarment les ONG.

À Washington, où le président démocrate Joe Biden a fait des droits LGBTQI une priorité, une porte-parole du département d’État a dit l' »inquiétude » des autorités américaines pour « la liberté d’expression » et a estimé que la loi hongroise établissait des restrictions qui « n’ont pas leur place dans une société démocratique ».

C’est drôle, parce que ces restrictions étaient la norme dans toutes les démocraties il y a encore 20 ans.

En fait, ce n’était pas des « restrictions » parce que les organisations d’homosexuels séropositifs étaient universellement assimilées à des regroupements de gens malades et dangereux. Il n’y avait donc aucune loi spécifique pour les empêcher de s’intéresser à l’anus des petits garçons.

Ces mesures adoptées en Hongrie sont une simple réaction à ce phénomène récent qu’est l’institutionnalisation de la pédophilie homosexuelle sur pression du lobby LGBT.

« Le texte de la loi est, à dessein, très ambigu », souligne quant à lui Zsolt Szekeres, représentant du comité Helsinki (HHC), une organisation de défense des droits humains. « Nous n’en connaissons pas encore entièrement les conséquences », a-t-il dit à l’AFP, mais cette loi « va refroidir les organisateurs » d’événements.

« Comment m’assurer que ce que je vais dire n’arrivera pas aux oreilles de quelqu’un de moins de 18 ans, qu’un enfant ne passera pas dans la rue lors d’une Gay Pride ?« , a-t-il demandé.

En effet, on ne peut pas.

Ils iront donc en prison.

Des milliers de personnes étaient descendues lundi soir dans les rues de Budapest, déployant un grand drapeau arc-en-ciel devant le Parlement, pour fustiger les « cruelles campagnes politiques » du pouvoir.

Ces nouveaux amendements « vont stigmatiser davantage encore les LGBT, les exposant à une plus grande discrimination dans ce qui est déjà un environnement hostile », a commenté dans un communiqué le directeur d’Amnesty International en Hongrie, David Vig, faisant un rapprochement avec « l’infâme » loi russe qui punit tout acte de « propagande » homosexuelle destinée aux plus jeunes. Amnesty appelle « l’Union européenne et ses États membres » à réagir.

Je sais reconnaître un homosexuel quand j’en vois un.

Ce David Vig appartient clairement à cette catégorie de gens qui veut éjaculer dans l’anus des enfants.

Il se trouve qu’Amnesty International est dirigé depuis 2021 par Agnès Callamard, la militante marxiste française qui avait menacé le président philippin Duterte d’arrestation s’il continuait à éliminer les boss du trafic de drogue qui sévissent dans ce pays.

Duterte l’avait virée à coups de pieds au cul.

Elle a des lunettes de turbo-connasse hystérique.

Après la protection du trafic de drogue international, elle a l’air de s’être recyclée dans la défense des réseaux homo-pédophiles internationaux.

Elle n’est pas seule toutefois. L’homosexuel macroniste Clément Beaune s’est également manifesté.

Beaune est aussi violemment homosexuel.

Et lui aussi s’intéresse aux organes génitaux des enfants.

« On ne peut pas laisser nos concitoyens penser que sur des sujets aussi fondamentaux, l’Europe est à la carte. Et donc nous les défendrons sans aucune faiblesse », a réagi le secrétaire d’État français aux Affaires européennes, Clément Beaune, en marge d’un déplacement à Vienne.

C’est drôle comme ces gens pensent que leur anus et l’Europe – qui est un continent – ne sont qu’une seule et même chose.

Si vous vous rappelez, Beaune voulait organiser une administration parallèle en Pologne pilotée depuis Paris afin d’imposer méthodiquement l’éjaculation anale dans les écoles de ce pays.

L’eurodéputée française Gwendoline Delbos-Corfield (Verts), rapporteur du Parlement européen sur la situation en Hongrie, a de son côté déploré « un affront aux valeurs européennes ». « Utiliser l’argument de la protection de l’enfance comme prétexte pour cibler les personnes LGBTQI est pervers, contre-productif et dangereux pour toutes et tous », a-t-elle ajouté.

Gwendoline Delbos-Corfield, qui est une femme obèse, pense qu’empêcher des adultes homosexuels de s’intéresser aux anus des petits garçons est « pervers ».

En psychiatrie, on appelle ça de la projection.

Cette truie immonde est sans surprise affiliée aux marxistes d’EELV.

Les dispositions adoptées mardi s’inscrivent dans le cadre d’un arsenal de mesures de protection des mineurs et visant à lutter contre la pédophilie. Parmi celles-ci, figurent la création d’une base de données des personnes condamnées accessible au public, ou encore leur bannissement de certaines professions.

En décembre, le gouvernement avait déjà interdit de facto l’adoption par les couples de même sexe et inscrit la notion traditionnelle de la famille et du « genre » dans la Constitution.

Cette base de données avec le nom de tous les pédophiles actifs en Hongrie a rendu très nerveux toute une série de réseaux qui devaient avoir leurs petites habitudes dans ce pays.

Il ne faut pas interpréter autrement ces réactions démocratiques.

C’est en tout cas un pas dans la bonne direction, mais c’est encore insuffisant. Normalement, dans un état décent, l’assassinat de toute personne condamnée pour pédophilie devrait être exempte de toute poursuite judiciaire. C’est l’intérêt d’une telle liste.

Les états devront adopter de telles lois dans le futur.

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