« Viol avec barbarie » à Orléans : le malien Mama Bianka enrichit une Française héroïnomane

Leutnant
Démocratie Participative
30 juin 2020

Un nouvel épisode de diversité culturelle dans le Loiret.

La République du Centre :

Un jeune Malien de 20 ans est jugé, à partir de ce lundi 29 juin, devant la cour d’assises du Loiret, pour répondre d’un viol commis avec actes de torture ou de barbarie.

La victime est une femme de 45 ans, qu’un premier viol, subi à l’âge de 11 ans, a amenée à se réfugier dans les stupéfiants.

La nuit du 31 décembre 2017 au 1er janvier 2018, elle a accepté de suivre Mama Dianka dans la chambre qu’il occupait à l’hôtel du Sauvage, rue de Bourgogne à Orléans, afin de récupérer un gramme d’héroïne en échange de faveurs sexuelles.

C’est dans ce contexte que l’accusé aurait abusé de sa victime, la contraignant à un rapport non souhaité et accompagné de violences : projetée sur le lit, elle indique que le jeune homme l’a frappée au visage, puis étranglée à plusieurs reprises, avant de la brûler sur les bras avec une cigarette. Ces blessures ont été constatées par un médecin.

Mama Dianka nie pourtant avoir commis les faits, assurant que son accusatrice n’a jamais mis les pieds dans sa chambre. Cependant, une vidéosurveillance montre les deux protagonistes entrer à l’hôtel peu après 2 heures du matin, pour en ressortir peu avant 6 heures.

Le procès du jeune homme doit durer deux jours. L’intéressé encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

N’oublions pas de mettre un genou à terre pour George Floyd.

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