Vincent Reynouard et Jean-Marie Le Pen reviennent sur l’oeuvre révolutionnaire de Robert Faurisson tandis que la juiverie tremble

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 octobre 2018

 

La mort physique du Professeur Robert Faurisson en sa 89ème année peut porter à la joie, pour un bref moment, les hyènes juives. On observe que l’esprit de Robert Faurisson, lui, demeure par la portée de son oeuvre.

Plutôt donc que relever les satisfecits, attardons nous sur l’aveu gémissant des juifs.

Quel est cet homme qui, désormais mort, peut encore depuis la tombe menacer la soi-disant « vérité historique » dont nous parlent ces juifs tétanisés ?

La mort de Robert Faurisson ne règle, on le voit, rien du tout pour ceux qui craignent tant la vérité.

Il faut lire à ce titre la liste des victoires obtenues par les révisionnistes écrite par le Professeur, martyr des juifs.

Jean-Marie Le Pen, sans s’exprimer sur le fond, a relevé un point essentiel : l’inquisition hébraïque qui sévit, avec toute le fanatisme qu’on lui connaît, pour interdire, par principe, toute discussion entre hommes libres.

Vincent Reynouard, autre héros de la liberté d’expression vivant en exil en Grande-Bretagne, est revenu sur la disparition de Robert Faurisson.

Vincent joue, à n’en pas douter, dans la même cour que le Professeur Faurisson en termes de persécutions.

On compte beaucoup d’autres réactions de cet ordre pour le courage d’un homme qui a tout sacrifié pour que « l’exactitude » triomphe.

Et puis, nous avons les larbins des juifs.


Les compter ne sert à rien.

Mais savoir les situer, oui.

Il est normal que les juifs se comportent comme ils se sont toujours comportés.

Il n’est pas plus étonnant que la gauche bourgeoise enjuivée leur emboîte le pas.

En revanche, cette droite infectée par le bacille juif qui prétend parler une langue aryenne mais qui n’émet qu’un son typiquement hébraïque doit être férocement combattue parce qu’elle est la principale arme du système juif contre l’esprit aryen.