La rédaction
Démocratie Participative
26 juin 2023
Il y a malheureusement un déficit d’informations sur la nature de la machine militaro-financière et idéologique juive que les peuples blancs affrontent.
Pour contribuer à compenser ces lacunes trop présentes, l’action du juif Larry Fink à la tête de l’empire financier Black Rock est à citer.
La vidéo ci-dessous résume le concept des critères ESG de Black Rock que cette gigantesque pieuvre sémitique conditionne à la levée de ses capitaux.
Le juif utilise l’argent qu’il manipule pour imposer aux goyim sa vision religieuse – mais sécularisée – du monde. Ce prosélytisme juif passe en contrebande dans les masses non-juives grâce au recours à la démagogie égalitaire et démocratique qui permet au juif de recruter puis d’organiser des auxiliaires serviles dans les pays à conquérir : désaxés LGBT, groupes raciaux minoritaires, femmes désoeuvrées.
Ces marginaux correspondent à la vision profonde du juif : une vision animée par la haine de tout ce qui lui est étranger, lui le parasite qui s’infiltre partout, mais aussi un profond complexe d’infériorité raciale que sa volonté de domination fanatique compense sous la forme d’une intense activité révolutionnaire.
Tous les ratés de ce monde sont les alliés naturels du juif qui y puisent ses légions.
Rien de cette stratégie n’est guidée par une empathie sincère, mais tout par une pure soif de destruction tournée contre les peuples que le juif veut enchaîner.
Ce bolchevisme financier new-yorkais est ce que l’armée russe affronte actuellement dans les tranchées d’Ukraine.