Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 mars 2018
Le héros de Dunkerque, le maire néo-nazi Patrice Vergriete
Nombreux sont ceux qui pensent que la Justice fonctionne sur la base de la justice. Ces gens-là font fausse route. La Justice fonctionne sur une seule et unique base : le rapport de force.
A Dunkerque, le racisme populaire a triomphé de la vermine nègre, notamment grâce à l’engagement du maire néo-nazi Patrice Vergriete.
L’audience se tenait aujourd’hui à Lille, suite à la demande du CRAN et de l’ANC, deux associations anti-racistes, d’annuler la Nuit des Noirs. La justice a décidé de rejeter cette demande, estimant qu’il « n’y pas d’illégalité manifeste portant atteinte à une liberté fondamentale à ne pas interdire cette soirée dès lors qu’elle s’inscrit dans le contexte burlesque général des festivités du carnaval de Dunkerque ».
Se foutre de la gueule de ces sales nègres relève en effet du contexte burlesque général, absolument.
Le bal, qui fête ses 50 ans cette année, aura donc bien lieu samedi, au Kursaal de Dunkerque. Mais les associations requérantes n’ont pas l’intention d’en rester là, estimant que cette décision de justice relève du « racisme d’État ».
« C’est un déni de justice mais on a gagné la bataille des images; ces images hideuses ont fait le tour du monde », souffle Louis Georges Tin, président du CRAN. Pour lui, la tenue de ce bal et en particulier le soutien du maire de Dunkerque à l’association des Noirs n’est pas acceptable. « Le rôle du maire est un rôle immonde. Quand on est dans la dérision des Africains de cette époque on est dans l’indignité », poursuit le militant. « Je sais que tous les Dunkerquois ne partagent pas ces idées. Mais le maire de Dunkerque a voulu donner cette image monstrueuse à sa ville », renchérit-il.
Effectivement, en affichant des têtes de nègres, on se situe clairement dans la monstruosité. Mais c’est une façon d’exorciser le démon.
Malgré la décision de justice, lui et d’autres militants venus d’autres régions prévoient de manifester leur mécontentement aux portes du Kursaal, samedi soir. « Il y aura des lectures d’Aimé Césaire pour rappeler que Dunkerque était une ville négrière, criminelle, qui ne fait pas son devoir de mémoire », poursuit Louis Georges Tin. « Car ici on encourage une forme de négationnisme local, avec des gens qui nous disent qu’ils n’ont pas de lieu avec l’esclavage, qu’il n’y a pas eu d’esclavage à Dunkerque. »
HA HA !
Des lectures d’Aimé Césaire, ah ah ah !
Ces bamboulas doivent penser que c’est une sorte de grand sorcier. Ils se disent, « li gwand michant blanc lui ça y’en a avoi’ peu’ di li gwand so’cier Cézaiw là dis-donc ».
C’est ce que je martèle sans cesse : portez aux nues un de ces nègres et toute cette race en perd la tête. Ils croient avoir gagné au loto et s’activent illico à deviser sur la meilleure façon de dévorer le Blanc.
Nègre à lunettes ou pas, c’est sans importance : avec ces cons de nègres, seule une main de fer empoignant fermement le fouet de son autorité porte des fruits.
Contacté plus tôt dans la journée, le président des Noirs Bernard Vandenbroucque avait indiqué ne pas vouloir commenter la polémique. Le Maire de Dunkerque Patrice Vergriete s’en tient quant à lui à la tribune qu’il avait publiée dans Le Monde le 11 février dernier. « Pendant le carnaval, j’ose le dire, Dunkerque est une capitale de la liberté. Tout ou presque y est permis. Le déguisement est au coeur de la fête et il est le moteur de la transgression », expliquait-il alors.
Quel édile formidable.
Transgresser la religion juive du communisme racial, tel est en effet la mission de tout élu qui tient à coeur de défendre le peuple.
Maintenant que la Justice française a capitulé sous la pression raciste, il faut exploiter cette victoire à outrance et multiplier ces « nuits » des nègres.
Je suis ému, vraiment.