Captain Harlock
Démocratie Participative
06 octobre 2021
C’est comme une nouvelle une shoah.
Des graffitis antisémites peints à la bombe ont été découverts sur neuf baraques en bois du camp de concentration nazi d’Auschwitz en Pologne, a annoncé mardi 5 octobre le musée d’Auschwitz-Birkenau. Ces inscriptions représentent «une attaque révoltante contre le symbole de l’une des plus grandes tragédies de l’histoire de l’humanité», a souligné le musée.
Les graffitis comprennent «deux références à l’Ancien Testament souvent utilisées par les antisémites, et des slogans négationnistes» écrits en anglais et en allemand, a ajouté le musée. Les responsables du musée ont rapporté les faits à la police et sont en train d’analyser les images des caméras de vidéosurveillance. Ils ont également demandé aux visiteurs qui ont pu être témoins de l’incident ou qui se sont trouvés dans les parages des baraques de se manifester et d’envoyer des photos.
Les graffitis seront effacés une fois que la police aura terminé son enquête, a ajouté le musée. Selon le musée, la sécurité sur le site de 170 hectares a été constamment renforcée, mais le budget de l’institution a été affecté par la crise sanitaire liée au Covid-19.
Quelque 1,1 million de personnes, principalement des juifs, ont péri dans ce camp de la mort mis en place sur le sol polonais par l’Allemagne nazie pendant la Deuxième Guerre mondiale.
C’était 4 millions il y a quelques décennies, jusqu’à ce que la pression des révisionnistes fasse s’écrouler l’affaire.
4 millions, goy, 4 millions !
Puis 1,5 million.
1,5 million, goy, 1,5 million !
Puis 1,1 million.
Le chiffre magique des 6 millions, lui, demeure.
C’est de la licence poétique.
Parlons clair : cette histoire de tags à Auschwitz est un coup des juifs pour obtenir du cash supplémentaire pour leur Disneyland dont les caisses sont vides. Quand je dis que c’est un Disneyland, c’est vraiment un Disneyland. Tout y est : les hôtels, les restaurants, le merchandising, les guides, les cars, tout.
Les Polaks du coin vivent de ça.
Exactement comme le village d’Oradour-sur-Glane vit du tourisme mémoriel.
Le Disneyland d’Auschwitz est dédié à la seule chose qui intéresse les juifs : se faire adorer par les goyim de l’univers entier en s’exhibant en victimes, évidemment par le mensonge. Ils kidnappent les enfants du continent entier pour les terroriser avec des histoires délirantes de forges infernales nazies où les SS dévorent des nourrissons au petit matin.
Je vous recommande vivement de travailler le sujet, vous serez stupéfait de voir que les goyim qui pleurent à chaudes larmes sur ce concept absurde d’holocauste par insecticide n’ont aucune idée de ce dont il est question concrètement.
Hormis pour les normies qui n’ont jamais pris le temps d’étudier cette histoire grotesque de gazages meurtriers, le mythe des chambres à gaz a été dissipé au plan historique il y a maintenant une quarantaine d’années.
Le héros Ernst Zündel, persécuté par les juifs
Dans les années 80, un procès de plusieurs mois avait opposé le révisionniste Ernst Zündel à toute une série d’hagiographes juifs dont le plus connu : Raul Hilberg. Son bouquin, « La destruction des juifs d’Europe » est imposé partout dans les universités comme la référence cardinale de la version officielle. Hilberg, comme tous les juifs, était accoutumé à des auditoires dociles et déjà convaincus. Lors du procès, pressé par des révisionnistes parfaitement maîtres de la question, le juif Hilberg s’était effondré.
Le Professeur Robert Faurisson, qui était présent, raconte :
De 1961, année où était parue la première édition de son ouvrage, jusqu’en 1982, R. Hilberg s’en était tenu à l’explication traditionnelle selon laquelle le IIIe Reich avait, de bout en bout, ordonné, organisé et mené à bien une destruction systématique des « Juifs d’Europe » en usant d’ordres et de moyens dont, en principe, il devait être facile de retrouver de multiples preuves. C’est à partir de la fin des années 1970, quand les révisionnistes ont vraiment démontré l’inexistence ou l’inconsistance des preuves avancées, que R. Hilberg, mis au pied du mur et sommé de fournir de véritables preuves, s’est vu finalement contraint d’exposer en 1983 son insoutenable théorie de ce qu’il a appelé « an incredible meeting of minds, a consensus-mind reading by a far-flung bureaucracy » (« une incroyable rencontre des esprits, une lecture de pensées consensuelle par une vaste bureaucratie »). Deux ans plus tard, en janvier 1985, lors du premier procès de Toronto où comparaissait le révisionniste Ernst Zündel, assisté notamment de l’avocat Doug Christie que je secondais en qualité d’expert, R. Hilberg, lui-même expert de l’accusation, allait subir en plein prétoire la plus cuisante et la plus humiliante des défaites. La transcription officielle des débats en fait foi.
Personnellement je garde en mémoire l’instant pathétique où le malheureux Hilberg a quitté la barre d’où il avait si piteusement tenté de répondre à nos questions. Nous avons, lui et moi, échangé un regard. Emu par sa défaite, j’ai alors failli quitter ma place, me porter à sa rencontre et le réconforter d’un mot. Je m’en suis abstenu, eu égard au sort bien plus déplorable de mon ami Ernst Zündel et de tant de révisionnistes. Par la suite, pendant des années, il donnera l’impression de maintenir sa thèse, si absurde, si aberrante et même si loufoque qu’on ne saurait guère lui en trouver d’équivalent dans la production historiographique ; seuls les procès de sorcellerie religieuse ou de sorcellerie politique ont atteint de tels sommets d’inanité. Il mourra en 2003, ce qui lui épargnera de constater que par la suite, de 2003 à 2017, la thèse exterminationniste ira de désastre en désastre si bien qu’elle ne subsiste plus aujourd’hui, çà et là, que par la force injuste de lois d’exception et grâce à une répression judiciaire de plus en plus cynique contre les révisionnistes. R. Hilberg aura certes fait « école » mais dans le sens le plus fâcheux du mot : plus s’accumulent de nouvelles versions de la thèse officielle où l’on s’efforce encore de nous faire croire à l’existence durant la dernière guerre mondiale d’une extermination des juifs, plus s’affiche l’impossibilité d’en fournir la moindre preuve. Sur le plan de la science et de l’histoire, la victoire des révisionnistes est totale ; sur le même plan historique et scientifique la défaite des exterminationnistes est écrasante et s’accompagne, en outre, du déshonneur d’exercer une telle répression, digne des régimes totalitaires.
Ne l’oublions jamais, c’est avec Raul Hilberg que l’histoire de la prétendue Shoah a vraiment tiré ses premières et ses dernières balles. C’est avec l’existence de son gros ouvrage en anglais, en français, en allemand que, pendant quelques années, on a pu faire croire à une partie du grand public qu’un prestigieux historien américain avait gagné la partie contre les révisionnistes. Mais c’est aussi, en grande partie, à cause de son exemple et de ses pures spéculations d’« historien de papier » qu’en fin de compte les adversaires du révisionnisme historique ont non seulement perdu la bataille mais aussi perdu l’honneur.
Au plan historique strict, le débat est donc clos depuis longtemps. C’est pour cela que les tenants de l’histoire officielle évitent systématiquement de débattre avec des révisionnistes, parce que l’affaire tournerait comme elle a tourné pour le rabbi Hilberg.
Ce qui continue en revanche, c’est le matraquage phénoménal de l’armada médiatique juive, le lavage de cerveau imposé par les démocraties juives dès l’enfance et bien sûr la répression judiciaire, toujours plus féroce, contre tous ceux qui finissent par flairer l’arnaque.
Il n’y a pas besoin d’avoir fait Saint-Cyr pour comprendre que si cette énorme machine tremble devant une grand-mère, c’est que toute la boutique ne tient que par la peinture.
Toutes les semaines, les goyim sont donc exposés à un virulent bourrage de crâne qui ne fait que s’intensifier à mesure que le temps passe.
Voici une capture d’écran de Google Actualités pour cette semaine et ce n’est qu’un aperçu :
Cela n’arrête pas et du point de vue des juifs, cela ne doit jamais s’arrêter.
Ni aujourd’hui, ni dans mille ans.
Et pour l’éternité, si rien n’y met un terme.
Les juifs nous occupeont mentalement comme ils occupent la Palestine avec cette histoire d’abats-jours et de savon à base de juif. L’internationale juive règne sur les démocraties globalisées grâce à cette véritable religion terroriste consistant à diaboliser les peuples blancs.
Sans cette religion impie, tout l’édifice hébraïco-démocratique serait déjà parterre.
Pour Auschwitz, je ne vois qu’une vocation : un musée du mensonge juif. Des millénaires de mensonges, d’escroqueries et de rapines doivent y être exposés pour l’éducation des peuples d’Europe et du reste du monde au danger mortel que représente le parasite juif. Les plus grands esprits aryens du passé seront convoqués pour exposer tel qu’il est : Victor Hugo, Schopenhauer, Cicéron, tous.
Mais plus important encore, il faudra un Nuremberg pour juger la juiverie pour les crimes terribles dont elle s’est rendue coupable en Occident, de la terreur marxiste à l’organisation de l’épuration ethnique des peuples blancs par l’arme de l’immigration de masse de la terreur antiblanche appelée « l’antiracisme ».
Je prédis à ces juifs un désastre d’une ampleur inédite.
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