Vendée : ce couple de profiteurs français malades enfin mis à la rue, 35 traducteurs afghans accueillis en libérateurs à Niort grâce à Macron !

La rédaction
Démocratie Participative
17 décembre 2022

 

Le tiers-monde avant les parasites gaulois, Macron l’a dit, promesse tenue ✅

Une opération d’évacuation de 771 migrants a eu lieu boulevard de la Chapelle dans le 18e arrondissement de Paris, ce vendredi matin, selon nos informations. Avant le début de l’opération, un groupe de familles, soit environ 60 personnes, ont été confiés aux soins d’associations. Pour le reste, il s’agit d’hommes majeurs, essentiellement de nationalité afghane, précise une source policière à Valeurs actuelles. Ceux-ci ont été répartis par bus dans toute la France.

Dans le détail, la plus importante répartition a eu lieu en région parisienne : 10 migrants ont été envoyés à Vitry-sur-Seine, 8 à Dreux, 21 à Villiers-le-Bel, 32 à Sarcelles, 32 à Paris 18e, 9 à Clichy, 11 à Gennevilliers, 20 à Montrouge, 40 à Roissy-en-France, 7 à Ris-Orangis, 34 à Dourdan, 21 à Port-Marly, 16 à Saint-Germain-en-Laye, 13 à St-Prix, 12 à Roissy-en-Brie, Tournan-en-Brie et Bussy-Saint-Georges, 15 à Stains, 10 à Paris 17e, et 103 à Paris 12e.

Dans le Sud-Ouest, 10 ont été envoyés à Tarbes, 4 à Rodez, 30 à Toulouse, 14 à Libourne, 10 à Limoges, 18 à Issac, et 4 à Bourgnac.

Dans l’est du pays, 20 ont été envoyés dans le Grand-Est, 4 à Strasbourg, 50 en Bourgogne Franche Comté, et 22 à Lyon.

Dans le grand ouest, ils ont été 35 envoyés en Vendée, en Eure et Loir et dans la Sarthe, 37 en Normandie, 25 à Rennes, 10 à Roscoff, et 10 à Changé.

Enfin, 10 migrants ont été envoyés à Nice, 27 à Marseille, 12 à Clermont-Ferrand, et 5 à Aurillac.

Il n’y a eu aucun refus de prise en charge, précise une source policière.

La Nouvelle République :

« Voilà, c’est chez nous ! », lâche Nathalie, 55 ans, dans un rire de dépit. Elle pointe du doigt la petite alcôve de deux mètres sur trois dans laquelle elle et son compagnon, Marc, 39 ans, vivent avec leur chien depuis bientôt un mois. Des couvertures et des duvets jonchent le sol glacial. Un morceau de carton calé par une palette en bois les abrite vaguement du vent d’hiver. Dans un coin, un réchaud : « pour la soupe du soir, histoire de manger chaud ».

Un bout de refuge, à quelques centaines de mètres à peine de leur ancien logement. Un logement « plein de problèmes », expliquent-ils : « Il pleuvait dans l’appartement, même sur les fils électriques. Il n’y avait pas de détecteurs d’incendie. ». Une situation assez floue et complexe : le couple explique avoir arrêté de payer son loyer puis avoir été expulsé. Ils ont, par la suite, vivoté quelque temps chez une connaissance. « C’était pas viable, on n’y était pas bienvenue ».

Depuis, ils cherchent sans relâche un appartement, sans succès. Pourtant le couple dispose d’un budget raisonnable : 1.400 € par mois. Elle touche l’allocation aux adultes handicapés (AAH) suite à un accident de voiture il y a 20 ans, alors qu’elle sortait du travail (elle était vendeuse de vêtements d’occasion). Lui, ancien maçon, vit du RSA après s’être bloqué l’épaule. « On peut payer jusqu’à 420 € par mois mais les gens n’acceptent pas notre dossier, s’agace Marc. Je suis inscrit chez les bailleurs sociaux, ça fait un an et demi, et rien. Les agences demandent trois fois la somme et elles ne prennent pas le RSA en compte. » Le gros de ses journées est consacré à éplucher les annonces à la recherche d’un appartement.

Malgré tous ces efforts, rien ne vient, et le couple commence à désespérer. D’autant que la santé de Nathalie est plus que fragile. « J’ai une pneumopathie, un emphysème et une maladie cardiaque », explique-t-elle. Trois affections qui sont empirées par le froid. « Ma médecin a dit : « elle passera pas l’hiver », rapporte-t-elle avec un calme déroutant. Avec les baisses de mercure des dernières nuits, elle souffre d’autant plus. « Le matin, je suis bloqué par le froid. Il faut que Marc s’occupe de tout. »

Aujourd’hui, le couple cherche encore un logement, pour éviter de passer les fêtes dans un froid qui pourraient mettre leur santé en danger.

Fallait pas coloniser l’Algérie, bande d’oppresseurs cisgenre.

Regardez un peu ces têtes de racistes.

Je souhaite la bienvenue à nos frères en humanité d’Afghanistan qui, depuis qu’ils traduisent intensivement en France à l’appel d’Emmanuel Macron, ont conquis le coeur des Français.

Quant au couple de gwers, là, qu’ils se tirent de France, on veut pas de ces profiteurs.

Qu’on les mette dans un charter direction la Russie.

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