Captain Harlock
Démocratie Participative
05 août 2021
Les poufs françaises sont vertes de rage.
Elles se font ghoster par les mâles dominants antivaxs à la minute où elles avouent s’être faites zombifiées par (((Pfizer))).
Golémiser, pour être précis.
La vaccination, un nouvel atout séduction sur les applis ? pic.twitter.com/p9pPVgD1kt
— BFMTV (@BFMTV) August 4, 2021
Tinder relève davantage de la casse automobile que d’un moyen de nouer une relation avec une femme – si vous voulez nouer une relation avec une femme.
Une femme sur Tinder est virtuellement positive à l’herpès dans 100% des cas et c’est loin d’être le pire en termes de MST que cultivent les femmes inscrites sur cette application. En moyenne, la femme la plus prude de Tinder a eu entre 20 ou 30 partenaires sexuels sur les deux dernières années écoulées. Dont une part non-négligeable d’arabes et de noirs, migrants afghans et somaliens compris.
Mais maintenant, en plus, elles ont du (((Pfizer))) dans le sang, les organes et tout particulièrement dans les ovaires où les concentrations sont tout simplement ahurissantes d’après la plus récente étude japonaise sur le sujet.
En plus d’être lourdement endommagé, le matériel biologique est désormais radioactif au moment où il est en vente sur Tinder.
Fonder un foyer sur la base d’un tel taux de contamination n’est pas raisonnable, d’autant que le risque d’apparition de prions post-vaccinaux dans les années à venir est très sérieux. [Autrement dit, une partie des enfants de vaccinés porteront probablement des troubles génétiques héréditaires].
C’est bien que les antivaxs informent les traînées du fait qu’elles sont des impasses génétiques.
D’une certaine façon, la vaccination règle indirectement le problème des poufs Tinder en scellant le sort de leur ADN.
*Merci à Zyklonneur
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