La rédaction
Démocratie Participative
18 juin 2022
Gloire à l’Éternègre.
Dans le Vaucluse, un prêtre a été condamné par la justice pour avoir extorqué 61.000 euros à des paroissiens sous couvert d’œuvres de charité.
C’est une bien sombre affaire qui agite la communauté chrétienne de Pertuis dans le Vaucluse. Selon des faits rapportés par Le Dauphiné Libéré. Sous prétexte de faire don à des œuvres de charité, un prêtre a escroqué ses paroissiens d’un montant de 61.000 euros.
Interpellé, le religieux, qui est de nationalité ivoirienne, a été mis en examen pour « faux en écriture et présentation d’un faux diplôme ». Il comparaissait le mercredi 15 juin devant le tribunal correctionnel d’Avignon. Le prêtre incriminé jure de sa bonne foi. Devant les juges, il a indiqué que sa motivation était avant tout « d’aider les enfants brisés par la guerre en Côte d’Ivoire”.
Pour ce faire, le religieux a eu l’idée de « créer une fondation » pour récolter des fonds. Selon lui, « les difficultés » qu’il a rencontré sont le fait des villageois ivoiriens auxquels il venait en aide qui lui demandait « beaucoup d’argent ».
En réponse à cette plaidoirie, le juge a fait remarquer au prévenu qu’il possédait onze véhicules et huit comptes en banque, un train de vie assez inhabituel pour un prêtre catholique. « Je ne veux pas chercher à me justifier, les choses ne sont pas comme elles paraissent », s’est défendu le prêtre.
Le tribunal a finalement condamné l’homme religieux, qui depuis a déménagé en région parisienne, à 12 mois de prison dont neuf avec sursis. Une peine assortie de l’obligation de rembourser les sommes dues ainsi qu’une amende de 5.000 euros.
S’il salue la personnalité enjouée du prêtre, un paroissien interrogé par Le Dauphiné Libéré reste sceptique quant à l’éthique de l’homme de foi. « Quand il y avait un baptême, un mariage, tout le monde le voulait. Par contre, côté honnêteté c’était pas ça… », juge-t-il.
Dans un communiqué publié sur le site d’information local lepertuisien.fr, le curé du secteur paroissial de Pertuis, Père Césaréo Escarda, a tenu à préciser que le prévenu avait exercé son office en tant que « prêtre étudiant” pendant « quelques mois entre 2012 et 2013″. Le curé dénonce l’ »amalgame malencontreux » qui est fait à tort avec d’autres prêtres ivoiriens qui ont exercé ou exercent à Pertuis…
Le curé a indiqué que le diocèse a porté plainte contre le prêtre en 2018 « après la découverte de ses agissements ».
Une église de noirs voleurs, personne n’aurait pu imaginer ça lorsque l’Église Catholique a ouvert les vannes de l’immigration négroïde en Europe.