Leutnant
Démocratie Participative
11 mars 2019
Dysgénisme radical.
La nouvelle session de la cour d’assises de Vaucluse, placée sous la présidence de Florence Tréguier, s’ouvre aujourd’hui avec un dossier de crime de nature sexuelle. Il est reproché à Brahim Benhamou, âgé de 47 ans, assisté de Me Bouix, d’avoir le 12 juin 2017 violé à Orange une personne vulnérable.
Patricia (1), alors âgée de 47 ans – assistée de Me Michelier-, qui se promenait avec une autre résidente du foyer spécialisé où elle est hébergée, a été accostée dans la rue par un homme qui lui a proposé de boire une bière.
À son retour au foyer, l’amie de Patricia a prévenu le foyer en disant qu’elle s’était rendue chez un homme… Sur ses indications, les policiers ont rapidement identifié Brahim Benhamou comme étant cet homme et se sont rendus à son domicile où ils ont trouvé Patricia en pleurs alors que Brahim Benhamou se rhabillait.
Il admettait avoir eu une relation avec cette dame qu’il qualifiait de « trop débile ». Patricia a confié avoir exprimé un refus à cet homme qui, après l’avoir embrassé, lui aurait dit : « Tu es ma chérie, tu es mon amour ». Puis elle dira « quand il a fini ses conneries il s’est vite rhabillé ».
Un regret : que cette union entre une déficiente mentale et un arabe dégénéré n’ait pas été fertile.
Un enfant de la république qui pourtant ne demandait qu’à naître aux frais des contribuables français.