Captain Harlock
Démocratie Participative
17 Juin 2020
Depuis son refuge espagnol, le Catalan rouge Valls continue d’assiéger Macron pour qu’il consente à le nommer ministre de quelque chose.
Il a cru utile de passer de la pommade aux flics pour se faire mousser dans l’espoir d’être plébiscité par les poulets. Au passage, il fait quelques aveux assez édifiants.
BFMTV :
Manuel Valls, ancien ministre de l’Intérieur soutient que « la police, comme la gendarmerie, est profondément républicaine ».
Il dénonce l’émergence d’une « logique de la victimisation ». Dans un entretien à Valeurs actuelles à paraître ce jeudi, l’ancien Premier ministre Manuel Valls estime que « la lutte des classes disparaît au profit de l’affrontement, de la guerre entre races ».
« Cette guerre est terrible, car elle essentialise en fonction de la couleur de peau », affirme Manuel Valls. Elle s’agrège mais elle est aussi en concurrence avec l’islam politique. C’est un cocktail explosif. »
Nonobstant le fait que Valls soit un être exceptionnellement vil et repoussant, je me félicite de ce qu’un ancien premier ministre de gauche finisse par convenir, même à regret, qu’une nouvelle ère commence et que cette ère est résolument placée sous le signe du racisme.
Et il a également raison à propos de l’additif islamiste qui se superpose à la guerre raciale.
C’est ce que nous disons ici depuis quatre ans : la lutte des races va dépasser la lutte des classes. Cet aveu donne à notre grille d’analyse une crédibilité renforcée. Pour un métèque excité comme Valls qui passe sa vie à exalter le mythe égalitariste de 1789, ce n’est pas une petite concession que d’admettre cette nouvelle réalité.
Ceci dit, Valls ne s’est pas converti au racialisme pour autant, bien au contraire.
L’ex-ministre de l’Intérieur revient également sur les manifestations contre le racisme et les violences policières organisées par le Comité Adama les 2 et 13 juin.
« La mort d’Adama Traoré est un drame », qui est « instrumentalisé par (sa) sœur, Assa, et le collectif de soutien », affirme-t-il
« J’établis évidemment une distinction entre les organisateurs de (ces) manifestations et ceux qui s’y rendent en toute bonne-foi, qui sont indignés par le racisme et veulent le dénoncer. C’est un mouvement planétaire qui est plutôt sain« , ajoute-t-il.
Mais pour l’ancien ministre de l’Intérieur, « la police, comme la gendarmerie, est profondément républicaine ». Un constat qui fait que selon lui « les comparaisons avec le meurtre raciste et ignoble de George Floyd (cet Américain noir mort asphyxié par un policier blanc, ndlr) sont inacceptables, car elles servent à accuser la France d’être raciste, à démontrer un supposé racisme d’État ».
Ce genre de gens me fatigue.
Spoiler alert : il ne s’agit pas d’un meurtre mais d’un homicide involontaire.
L’acteur pornographique George Floyd était gavé d’opioïdes et d’amphétamines en plus d’être cardiaque. Aucun mobile raciste n’a été retenu contre l’officier de police Derek Chauvin parce qu’il n’y en a aucun. Il est uniquement poursuivi pour un excès d’usage de la force contre un suspect.
Valls reprend sans broncher les élucubrations de la presse juive sur cet événement de Minneapolis pour ensuite affirmer qu’Adama Traoré est par contre mort accidentellement. Parce que la longitude et la latitude diffèrent. Ces contorsions ont une explication évidente : quand Traoré est mort, Valls était premier ministre. Il est donc politiquement comptable de la mort de ce nègre de banlieue. S’il enfonce la police américaine, c’est pour mieux s’exonérer médiatiquement comme la blatte visqueuse qu’il est.
D’après Manuel Valls, « cette logique de la victimisation est renforcée grâce aux liens entre le mouvement indigéniste et une partie de la gauche: le NPA, des écologistes, une frange de La France insoumise, du PC, voire une minorité du Parti socialiste ».
Valls n’est pas hostile à la « logique de la victimisation ».
Yad Vashem me semble construit sur la logique de la victimisation (intégralement couverte par la Sécu)
Tout dépend si elle renforce la suprématie juive ou pas.
C’est la véritable motivation de cet enjuivé pathologique : faire savoir à ses maîtres juifs qu’il peut encore les servir en tentant de contenir la meute des racisés antisionistes. Son entretien accordé au journal Valeurs Actuelles vise à faire un appel du pied à la droite levantine.
L’ancien chef du gouvernement estime également que « l’idée de l’existence d’un privilège blanc est absurde et dangereuse. Il n’est pas question de nier qu’il est plus facile d’être blanc que noir dans certains pays ou quartiers. La faute à qui ? Au racisme, aux discriminations, aux inégalités… C’est une question d’égalité et de droits, pas de privilège ».
« Notre seule réponse, c’est la République. Pas une addition de communautés », affirme-t-il également.
Interrogé sur une entrée éventuelle au gouvernement, Manuel Valls, aujourd’hui conseiller municipal de Barcelone, répond: « Je ne demande rien. Je reste attentif à ce qui se passe en France ».
Le baratin sur le « communautarisme » n’est plus qu’un moulin à prière agité par des vieillards du Grand Orient restés bloqués au 20ème siècle. Les violences interethniques de Dijon ont amplement démontré l’inanité du négationnisme antiracialiste dans une France déjà inondée par toutes les peuplades de la terre.
#Breaking: Heavy armed gang members, and riots are out in the streets of #Dijon in #France today, shooting their rifles and pistols up in the air has made many civilians scared. pic.twitter.com/AXIfWm9lSO
— Sotiri Dimpinoudis (@Sotiridi1) June 15, 2020
La république juive de Valls ne peut rien faire face à l’inévitable polarisation raciale, ethnique et religieuse que cette république a organisé elle-même en important le tiers-monde dans les villes françaises.