Capitaine Harlock
Démocratie Participative
21 mars 2018
Je suppose que si Staline a fait des braquages de banque, les truands rouges du Val-de-Marne s’estiment dans leur bon droit lorsqu’il s’agit de piller le peuple.
Une perquisition était en cours mardi au conseil départemental du Val-de-Marne, à Créteil, dans le cadre d’une enquête préliminaire du parquet national financier (PNF) pour détournement de fonds publics, a-t-on appris auprès de source proche du dossier.
La perquisition, menée par les gendarmes de la Section de recherches de Paris, s’effectuait dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le PNF début 2017 à la suite d’un rapport de la Cour des comptes, a précisé cette source, confirmant partiellement une information du Parisien.
Ce rapport publié en octobre 2016 s’intéressait notamment au service de questure du département communiste, qui assure le conseil technique aux vice-présidents et conseillers départementaux délégués, et « que l’on ne trouve que rarement dans une collectivité territoriale », soulignait le rapport.
La Cour des comptes a examiné la situation de 22 des 74 agents que comptait en 2014 ce service, placé sous l’autorité du directeur de cabinet, et établi que « par leurs attributions, fonctions et rattachement » ils ne pouvaient être « considérés comme relevant de l’activité des services administratifs départementaux ».
En résumé, le Parti Communiste détournait le blé des travailleurs français pour payer ses bandits à semer le chaos dans le département en leur qualité de factieux rouges.
L’instruction menée a permis d’établir « le lien direct à l’élu » pour « la plupart des situations » et le « caractère politique » de la mission des conseillers techniques. « L’analyse des situations individuelles permet d’établir que les conseillers techniques de la questure constituent une catégorie de collaborateurs d’élus sans base légale, et qu’il s’agit d’un prolongement du cabinet de la présidence », conclut le rapport.
La cour avait estimé le budget consacré à ce « prolongement » à 5,8 millions d’euros pour 2010-2014, en plus de celui alloué aux collaborateurs de cabinet officiels, de 3,9 millions d’euros. « Ainsi, ce sont environ 9,7 millions d’euros sur cinq ans (2010 à 2014) qui ont été consacrés à l’assistance technique du président, vice-présidents et conseillers délégués, en plus des moyens des groupes politiques », note le rapport.
Ouai peu importe, les ouvriers français votent Le Pen, ce sont des ordures d’exploiteurs capitalistes, il est logique de les voler pour mener à bien la révolution.
Et plutôt que de perdre son temps à parler d’histoires misérables d’argent, il faut ici rendre hommage à l’activisme du camarade Favier, en charge du Soviet du Val-de-Marne, pour ses efforts inlassables en faveur du prolétariat malien.
Le camarade Favier, héros de la classe ouvrière et sénateur, a ainsi monté un village traditionnel africain en plein Val-de-Marne, appelant à généraliser le concept.
Le gouvernement est enchanté.