La rédaction
Démocratie Participative
27 septembre 2023
L’ennemi de la démocratie vaginale Musk a été recadré par les femmes de l’UE, il ne va pas longtemps menacer le monde avec sa liberté d’expression nazie
Twitter n’est pas une plateforme objective.
Ce réseau continue de laisser s’exprimer les goyim qui posent des questions sur les pets de vache qui font monter la température, doutent de la pertinence des lectures de travelos à l’école ou traînent des pieds pour financer l’armée de Zelensky.
Heureusement, l’UE est dirigée par des femmes.
Nouveau trophée dans l’armoire d’Elon Musk pour son réseau social Twitter (renommé X). Quelques jours après avoir été classée pire réseau social pour la désinformation sur le climat, la plateforme est cette fois épinglée par l’Union européenne pour son taux de désinformation en général.
L’UE en profite pour appeler l’ensemble des grandes plateformes à mieux lutter contre les manipulations russes, craignant une intensification du phénomène avant les élections européennes de juin 2024. La vice-présidente de la Commission européenne Vera Jourova est montée au créneau lors d’une conférence de presse ce mardi 26 septembre, en s’appuyant sur le cadre du code de bonnes pratiques de l’UE.
« Elon Musk méchant » déclare la femme blanche Vera Jourova
Ce code, lancé en 2018, regroupe 44 signataires volontaires, avec notamment les géants Meta (Facebook, WhatsApp), Google (YouTube) ou TikTok, mais aussi des plateformes plus petites, ou même des professionnels de la publicité, fact-checkeurs et ONG. Pour mesurer la désinformation en ligne, les signataires ont créé des indicateurs et lancé une phase de test en Espagne, Pologne et Slovaquie. Les résultats montrent que la plateforme X, qui a quitté le code de bonnes pratiques en mai, est celle qui affiche «le taux le plus élevé de fausses informations et de désinformation dans ses publications», a noté la vice-présidente.
L’UE décide de la vérité, goy
Car quitter le code de bonnes pratiques n’exonère pas X, et son patron Elon Musk, des contraintes européennes. «Vous devez respecter la loi, nous surveillerons ce que vous faites», a rappelé ce mardi Vera Jourova à l’attention du multimilliardaire, faisant référence au Digital Services Act (DSA), la nouvelle réglementation de l’Union sur les services numériques entrée en vigueur en août.
Les femmes blanches sont aux commandes, Musk.
Si tu peux jouer au macho en Amérique, en Europe ce sont les femmes qui portent le pantalon.
Tu vas devoir t’expliquer et vite !
Désormais, les plateformes doivent, entre autres, déployer des efforts pour lutter contre la désinformation. Faute de quoi, la Commission peut prononcer des amendes allant jusqu’à 6 % de leur chiffre d’affaires mondial, voire une interdiction d’activité sur le marché européen en cas de manquement grave et répété.
A l’approche des élections nationales en Slovaquie et en Pologne et des européennes, Bruxelles redoute une hausse de la désinformation sur les réseaux. Vera Jourova a notamment appelé toutes les plateformes à lutter contre les manipulations venues de Russie. Elle dénonce un régime «engagé dans une guerre des idées pour polluer notre espace informationnel […] pour faire croire que la démocratie ne vaut pas mieux que l’autocratie».
C’est le problème avec les femmes : les idées.
Depuis l’aube de l’humanité, les idées originales sont formulées par l’homme.
La confrontation entre les hommes pour la survie est associée à la création d’idées nouvelles pour avoir l’avantage. L’homme règne sur le monde des idées aussi naturellement que la femme règne sur la buanderie.
Les femmes ont un cerveau structuré pour évoluer dans un espace fixe, d’abord la caverne pendant des dizaines de millénaires, le foyer ensuite, le bureau enfin. Elles sont obsédées par la stabilité de leur environnement immédiat dont elles ont naturellement la garde pour élever les enfants. Tout changement les angoisse et les rend paranoïaques.
Les hommes au contraire cherchent constamment une nouvelle façon d’aborder les problèmes de l’existence pour s’y adapter. L’homme est le principe actif, celui du mouvement, contre le principe passif, de l’inertie, qu’est la femme.
Laisser les femmes se mêler des idées et de leur formation est un attentat contre la civilisation. C’est le chemin le plus sûr vers l’insignifiance et la disparition, faute de capacité à s’adapter aux idées nouvelles des concurrents.
Les femmes n’ont pas d’idées originales, ni même de notion de la formation d’idées originales. Par exemple, les femmes blanches sont très hostiles à l’idée d’échanger des idées contraires aux idées dominantes, parce que c’est nouveau. Quand elles voient les hommes blancs discuter librement, elles ne comprennent pas pourquoi et décident donc de l’interdire, comme tout ce que les femmes ne comprennent pas.
C’est ainsi que fonctionne le Girl World.
Comme les hommes féministes ont placé à la tête de l’UE des bonnes femmes, elles entreprennent logiquement de transformer l’Europe en une friche intellectuelle régie par des millions de « règles » pondues par des secrétaires castratrices.
Dans cet environnement, il ne se passe rien.
Si Google, Meta et TikTok ont pu attester de certaines initiatives prises contre la désinformation, du côté de X, où de multiples plans sociaux ont fait fondre les effectifs consacrés à la modération, aucune action d’ampleur n’a été annoncée.
Parmi les contenus sensibles retirés par les grandes plateformes, le «narratif russe» est «très dominant», a notamment alerté Vera Jourova. De nombreux contenus s’attaquent plus précisément aux migrants, à la transition écologique de l’Union européenne ou aux minorités sexuelles. La balle est dans le camp d’Elon Musk. Reste au patron de l’ex-Twitter qui comptait sanctionner l’usage du mot «cisgenre» sur son réseau et n’est pas connu pour être un allié des luttes climatiques ou LGBTQ, à donner des gages à l’UE.
L’UE est une ruine, parce qu’elle est une bureaucratie ovarienne néo-victorienne qui n’a pour seul but que de couper la parole aux hommes blancs sur tous les sujets inventés par les juifs.
La guerre contre la Russie, avec les coûts énormes sur l’énergie qu’elle génère pour l’Europe, va précipiter l’appauvrissement durable du continent. L’UE n’est plus qu’un vaste boomeristan où les nouvelles générations ne peuvent pas prospérer. Pendant ce temps-là, malgré tous leurs problèmes, les USA performent.
L’Europe n’a jamais rien créé depuis l’avènement de l’internet.
Toutes les grandes entreprises sont américaines. Cela n’empêche pas les femmes blanches de Bruxelles de vouloir les manager, parce qu’elles pensent mieux les administrer que leurs créateurs.
Bienvenue dans le cerveau d’une femme.
Musk devrait plier les bagages et laisser ces femmes blanches créent leur propre Twitter européen entre elles.
Il y a davantage de chances que les noirs y parviennent avant elles.
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