Captain Harlock
Démocratie Participative
04 septembre 2021
Oscar avait pris le VAXX pour échapper à l’hôpital
Le vaccin ruine le système immunitaire de sportifs de très haut niveau qui n’auraient jamais eu à redouter la Grippe19 s’ils s’en étaient tenus éloignés.
Sport.fr :
L’ex-champion de boxe Oscar De La Hoya a annoncé vendredi qu’il reportait sine die son match de retour prévu la semaine prochaine contre Vitor Belfort, après avoir été testé positif au Covid.
De La Hoya, 48 ans, a précisé dans une vidéo diffusée sur Twitter qu’il avait été hospitalisé quand bien même il était entièrement vacciné. « Je voulais que vous entendiez directement de moi qu’en dépit du fait que je suis complètement vacciné, j’ai contracté le Covid et je ne serai pas en mesure de combattre la semaine prochaine », a déclaré celui qui a été champion du monde dans six catégories différentes. « Je suis actuellement à l’hôpital pour y être soigné mais j’espère pouvoir remonter sur le ring avant la fin de l’année », a-t-il précisé.
De La Hoya n’a plus combattu depuis plus de douze ans. En décembre 2008, il avait subi une défaite, par abandon à la 8e reprise face au Philippin Manny Pacquiao, à Las Vegas.
C’était le seul argument pro-vaccination du système : ne pas finir à l’hôpital.
De mars 2020 à décembre 2020, les médias ont montré des piles de cercueils vides et raconter des histoires délirantes de tas de cadavres entassés dans les morgues pour convaincre les gens d’une véritable épidémie de peste.
Sauf qu’avant la vaccination, l’immense majorité du peu de personnes hospitalisées étaient des vieillards voire de Boomers affligés de diverses comorbidités liées à l’âge.
C’est si vrai que 83% des nonagénaires survivent au Covid19.
Maintenant, que deux milliards de gens ont été vaccinés, les personnes des catégories initialement résistantes au Covid19 peuvent se retrouver clouées sur des lits comme des vieillards.
Ce phénomène a été largement anticipé par le virologue Geert Vanden Bossche. La vaccination exerce une pression destructrice sur le virus qui mute pour échapper à sa neutralisation, générant des variants toujours plus infectieux. Les formes modérées du virus d’origine sont détruites, laissant l’espace libéré aux variants se répliquant beaucoup plus vite.
La vaccination de masse lors d’une pandémie perpétue la pandémie en sélectionnant des variants toujours plus virulents. Autrement dit, la vaccination a l’effet d’un bidon d’essence sur un incendie.
C’est ce que le système continue de dissimuler aux masses avec l’aide « d’experts » payés par lui pour donner un semblant de sérieux à cette pandémie montée de toutes pièces.
Les non-vaccinés ne sont pas à l’abri de ces variants mais leur système immunitaire naturel peut monter une réponse beaucoup plus efficace et durable car il a conservé la capacité d’identifier l’intégralité du virus et non pas les seules protéines spike. Si on laissait le cycle naturel agir de la sorte pour tous, une immunité collective naturelle émergerait.
Chez les vaccinés, le virus n’a qu’à trouver un moyen de déjouer le ciblage par les anticorps S spécifiques pour rendre le vaccin inopérant. Le résultat, c’est que les vaccinés se retrouvent sans seconde ligne de défense face aux variants d’échappement résistants au vaccin et qu’ils peuvent ensuite être réinfectés à cause d’une production d’anticorps obsolètes programmée par la vaccination.
Ne pas se vacciner, c’est garder un système immunitaire naturel qui se met à jour en permanence au contact des virus et forge ainsi une solide défense.
Si l’on souhaite échapper à l’infection, on peut adopter un traitement préventif avec l’Ivermectine.
La vaccination n’a jamais été pensée par le système comme une porte de sortie mais comme un moyen de contrôle de masse qui relève du bioterrorisme d’état. Elle sera maintenue indéfiniment pour perpétuer la pandémie et justifier la surveillance et le contrôle totalitaires des peuples qui vivent sous le joug de l’oligarchie.
Vous pouvez vous vacciner deux fois, trois fois, trente fois, cela ne vous fera pas sortir de cette prison biologique pour autant.
Le vaccin est la prison.
La question qu’il faut vous poser, c’est de savoir si vous voulez vivre le restant de votre vie comme un esclave ou comme un homme libre.
*Merci à Marcel Cerdan
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