Captain Harlock
Démocratie Participative
18 juillet 2019
Aujourd’hui, appelez-moi le Généreux.
Je vous offre de quoi festoyer.
Des membres de la famille tentent de se remettre de la mort d’un petit garçon de cinq mois, qui aurait été tué par son propre père au cours du week-end à West Valley City.
Les personnes qui vivent dans les appartements Boulder Pines ont dit avoir vu Shawn Johnson, 23 ans, faire les cent pas le vendredi soir, l’air inquiet, comme si quelque chose d’horrible venait d’arriver. Ils n’ont réalisé que plus tard que Johnson était sur le point d’avouer le meurtre de son fils, Deyvion Johnson.
La mère du bébé était à l’intérieur de l’appartement quand Johnson a emmené Deyvion faire une promenade.
Selon un rapport d’enquête réalisé par le service de police de la ville de West Valley, Johnson a frappé son petit garçon à l’arrière de la tête, l’a frappé avec une bouteille de métal et l’a fait tomber de 5 mètres d’une balançoire.
« Il était tout pour moi, ce n’est pas pareil sans lui. Chaque jour qui passe, j’aurais aimé qu’on puisse faire quelque chose de plus. Cela me ronge tous les jours « , dit Jamie McCrea, la grand-mère maternelle de Deyvion. « On adorait prendre des photos de lui, parce qu’il était si heureux ! »
McCrea a dit qu’elle savait que le petit ami de sa fille avait « de graves crises de colère » et qu’il était « violent », mais elle n’a jamais pensé que Johnson ferait du mal à son propre fils.
Elle ajoute que Johnson l’avait appelée ce soir-là, accusant son frère de 12 ans des blessures du bébé Deyvion.
« Il a téléphoné et a essayé de faire croire que c’était son petit frère autiste et qu’il n’avait rien à voir avec ça », précise M. McCrea. « Je ne l’ai vraiment pas cru parce que je sais à quel point il était agressif et c’était ma peur…. Il n’y a aucune chance qu’un enfant autiste puisse faire quelque chose comme ça. »
La mère de Johnson, Latricia Barnes, a déclaré avoir compris que quelque chose n’allait pas quand elle a remarqué que la tête de son petit-fils était enflée cette nuit-là.
Barnes a également précisé qu’une autopsie a révélé des fractures au crâne et au bassin du bébé.
« Je lui ai tapoté sur les joues… J’étais genre,’Qu’est-ce que tu veux dire, il ne réagit pas’ », dit-elle, décrivant sa discussion avec son fils [l’auteur des coups sur son petit-fils] cette nuit-là. « Je dois encore être là pour lui en tant que mère… mais à ce stade, je veux que justice soit faite pour Deyvion. »
Depuis l’arrestation de Johnson, Barnes dit qu’elle n’a toujours pas parlé à son fils. Elle a dit qu’elle ne comprend toujours pas pourquoi Johnson abusait de son propre enfant, surtout parce que le bébé était si heureux et pleurait rarement.
« Je suis en colère parce qu’il n’avait même pas à faire ça. Il aurait pu tout simplement ouvrir la bouche si c’était trop pour lui « , dit Barnes. « Je veux des réponses. Je veux que justice soit faite…. Je veux juste dire à mon bébé que je l’aime. Je t’aime Deyvion. »
C’est ce qu’on appelle une overdose de mulâtrisation.
Des cassos blanches qui mijotent au milieu du bain racial nègre et finissent par engendrer des négrillons horribles.
Dans le reportage, on voit la grand-mère blanche dégueulasse ainsi que la grand-mère noire.
Mais on ne voit pas d’hommes.
De là à dire que le droit des traînées à être des traînées est ultra dysgénique…
Fort heureusement, on peut compter sur une forme d’autorégulation raciale par la drogue et le crime.
Un futur dealer de crack en moins.