Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 août 2017
On dirait que les choses ont évolué, dans une maigre mesure, pour le mieux.
Une évolution démographique inattendue a eu lieu aux USA : le nombre de naissances d’enfants blancs est redevenu majoritaire après avoir été mis en minorité à partir de 2011.
Le taux de natalité blanche en Amérique a fait un retour miraculeux en représentant la majorité des naissances en 2016 – inversant un déclin vieux d’une décennie – selon les chiffres du Centre National pour les Statistiques Sanitaires.
Ce nouveau rapport, titré « Naissances : Données Provisoires pour 2016 », date de juin 2017 mais n’a été publié que la semaine dernière.
Selon le rapport, les chiffres provisoires du nombre de naissances aux Etats-Unis pour 2016 était de 3,941,109, en baisse de 1% par rapport à 2015.
Le rapport indique que sur les 3,941,109 naissances en 2016, 1,054,564 sont des enfants blancs non-hispaniques. Cela représente 52% du total.
Le taux de natalité hispanique – l’un des plus grands facteurs de l’explosion de la population non-blanche aux USA – a, selon ses chiffres, significativement baissé.
Ce n’est pas vraiment une surprise, le taux de natalité du Mexique a tendance à atteindre 2 enfants par femme.
Le PIB par habitant en Parité de Pouvoir d’Achat tourne désormais à 17,000 USD, soit environ le tiers de celui des USA. En d’autres termes, les mexicains sont moins nombreux et plus riches, ce qui contribue à faire baisser relativement la pression.
Mais il reste toute la merde d’Amérique Centrale et d’Amérique du Sud.
C’est à dire ça :
Si Trump parvient à édifier son mur – et donc à juguler l’invasion des pépitos – et à instaurer sa nouvelle loi sur l’immigration, l’Amérique a une chance de gagner du temps afin de passer à la phase 2 : l’expulsion massive des métèques.
Wait and see.