USA : l’Iran diffuse les audios de la juiverie organisée en état de panique face à l’énorme résistance à leur soutien à Israël

La rédaction
Démocratie Participative
14 novembre 2023

 

L’Iran a diffusé une conversation téléphonique de Jonathan Greenblatt, le chef de l’ADL, la LICRA américaine, à propos de la situation aux États-Unis.

Ses interlocuteurs semblent être en Israël.

Jonathan Greenblatt a une tête de menteur pathologique animé de pulsions génocidaires

À propos du soutien de l’opinion américaine à Israël, visiblement très inquiet, le juif Greenblatt tente d’expliquer avec force à ses congénères du Proche-Orient qu’un bouleversement est en cours aux États-Unis.

« Ce n’est pas une question de droite ou de gauche, mais de vieux et de jeunes ! » gémit Greenblatt.

Citant les sondages réalisés par l’ADL, il se dit sidéré de voir la jeunesse américaine, désormais majoritairement marron, être aussi hostile à la colonie juive de Palestine.

Le soutien ouvert à l’éradication physique des juifs le 7 octobre l’a laissé sans voix.

Le Tehran Times divulgue un enregistrement confidentiel qui révèle les inquiétudes du directeur de l’ADL concernant l’opinion publique aux États-Unis, en particulier au sein de la génération Z, alias les « Zoomers ». Attendez-vous à une campagne de diffamation contre la Génération Z. »

Jonathan Greenblatt, directeur de l’ADL

Oy vey !

Les résultats sont en effet désastreux pour les juifs.

Le soutien à Israël est un truc de boomers, des vieux Blancs par définition. Les jeunes de la diversité (raciale) soutiennent le Hamas, le principal groupe de résistants palestiniens à Gaza.

À l’évidence, parce que les zoomers américains marron s’identifient aux palestiniens, pas aux juifs.

La démographie est la destinée d’une nation.

Celle de l’Amérique juive est scellée. Ce pays ne tiendra pas unifié plus de 10 ans et avec sa disparition, la colonie juive de Palestine disparaîtra.

En 2018, les Blancs de moins de 18 ans ne représentaient plus que 38% du total.

Ces juifs sont aussi stupides que dénués de scrupules, les deux sources qui, avec leur arrogance, expliquent leurs déboires à travers les siècles et les millénaires.

L’homme blanc ne parvient pas à comprendre comment ces juifs peuvent commettre des erreurs aussi aberrantes. C’est que l’homme blanc projette son rapport au monde sur le juif auquel il prête ses propres aspirations. L’homme blanc étant un bâtisseur, la courte vue du juif lui échappe.

Pour sa part, le juif ne voit d’autre explication dans ses échecs séculaires que la malice du goy qui refuse de se laisser détrousser, en opposition à ce Yahvé lui a promis.

Le juif est le singe proverbial qui scie éternellement la branche sur laquelle il est assis. Pas davantage qu’une masse de moustiques, le juif n’a de conception ordonnée du futur. Ce parasite se borne à chercher une proie dont il peut sucer le sang, sans se soucier du lendemain, le lendemain n’étant qu’un éternel présent où le juif s’estime devoir trôner en majesté, telle une araignée au milieu de sa toile jonchée des carcasses d’insectes dont elle a vidé la substance après les avoir empoisonnés.

Le juif

Si cette victime résiste, son agressivité le révèle pour ce qu’il est et, très vite, il est démasqué.

Le cycle de l’expulsion commence alors.

S’il n’a aucune conception de l’avenir, l’expérience a tout de même appris au juif grégaire à s’attendre à ce que sa victime finisse par s’ébrouer. C’est cet instinct qui rend le juif si hystérique dès qu’un signe de défiance lui semble émerger.

Cette hyper sensibilité à la moindre critique est émise par un coupable qui inverse la charge de l’accusation préventivement en se disant la victime et non l’auteur. Nous le voyons avec ces hurlements à « l’antisémitisme », alors que l’armée juive commet des crimes effrayants en Palestine occupée.

Miser sur cet empire juif est la dernière chose à faire pour quiconque a un tant soit peu d’instinct de conservation.

Vous allez assister à la progression rapide et constante de l’antisémitisme et ce, pour la première fois dans l’histoire, au niveau mondial. Cette décennie, et plus encore la suivante, sera celle de l’inversion complète du rapport de force.

Nous bâtissons, y compris ici, une nouvelle réalité dans laquelle le juif va retrouver sa place originelle de vagabond puant, maudit par tous. C’est sur l’antisémitisme comme force révolutionnaire qu’il faut miser, c’est celle de l’avenir.

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