La rédaction
Démocratie Participative
08 août 2023
Aux États-Unis, le Grand Remplacement n’est pas considéré comme une « théorie complotiste » car les statistiques raciales sont réalisées par l’état fédéral.
La presse juive en fait des articles très enthousiastes.
The Hill :
La génération Z sera la dernière génération d’Américains à majorité blanche, selon les données du recensement. La fameuse « majorité de minorités » nationale est arrivée avec la génération Alpha, c’est-à-dire les personnes nées depuis 2010 environ.
Dans à peine deux décennies, vers 2045, la part des Blancs non hispaniques dans l’ensemble de la population américaine passera à moins de la moitié.
L’Amérique à majorité blanche, et ses jours comptés, est un sujet brûlant, compte tenu de l’histoire de l’esclavage de la nation et des schémas persistants de discrimination à l’encontre des minorités et des immigrés.
Les démographes et les économistes célèbrent la diversité croissante de la nation comme étant vitale pour un avenir prospère. D’autres voix dénoncent les changements raciaux comme une menace pour l’héritage blanc de la nation.
« La race est la variable la plus complexe du recensement, et c’est celle qui attire les gens comme des papillons de nuit à la flamme », a déclaré Dowell Myers, professeur de politique, de planification et de démographie à l’université de Californie du Sud.
Les données générationnelles du recensement de 2020 montrent la progression de la diversité raciale par groupe d’âge. Les Blancs non hispaniques représentent 77 % de la population âgée de plus de 75 ans, 67 % de la population âgée de 55 à 64 ans, 55 % de la cohorte des 35-44 ans et à peine la moitié de la tranche d’âge des 18-24 ans. Les enfants américains ne comptent que 47 % de Blancs non hispaniques, selon une analyse publiée cette semaine par William Frey, chargé de recherche à la Brookings Institution.
Dans les décennies à venir, cette vague de diversité traversera les générations, pour aboutir à une Amérique où aucun groupe racial ne pourra se prévaloir d’une majorité numérique.
D’ici 2045, selon les projections du recensement, la part des Blancs non hispaniques dans la population américaine passera sous la barre des 50 %. En 2050, les Blancs non hispaniques représenteront moins de 40 % de la population âgée de moins de 18 ans.
Être un jeune Blanc en Amérique du Nord en 2050 impliquera de survivre au milieu de deux tiers d’allogènes fanatiquement antiblancs.
Ce processus a été annoncé dès 1920 par Lothrop Stoddard dans son livre The Rising Tide of Color Against White World-Supremacy (La marée montante de couleur contre la suprématie du monde blanc).
Vous pouvez le lire ici si vous maîtrisez l’anglais.
Sa conclusion, vieille d’un siècle, est édifiante :
Quelles sont les choses que nous devons faire rapidement si nous voulons éviter le pire ? Ce « minimum irréductible » se présente à peu près comme suit :
D’abord et avant tout, il faudra réviser de fond en comble la misérable affaire de Versailles. Dans l’état actuel des choses, des dents de dragon ont été semées sur l’Europe et l’Asie et, si elles ne sont pas arrachées, elles produiront bientôt une moisson de cataclysmes qui scelleront le destin du monde blanc.
Deuxièmement, il faut arriver à une sorte d’entente provisoire entre le monde blanc et l’Asie renaissante. Nous, les Blancs, devrons abandonner notre hypothèse tacite de domination permanente sur l’Asie, tandis que les Asiatiques devront renoncer à leurs rêves de migration vers les terres blanches et de pénétration de l’Afrique et de l’Amérique latine. Si l’on ne parvient pas à un tel accord, le monde dérivera vers une gigantesque guerre raciale – et une véritable guerre raciale signifie une guerre à couteaux tirés. Une si hideuse catastrophe devrait être abhorrée par les deux parties. Néanmoins, l’Asie devrait comprendre clairement que nous ne pouvons permettre ni la migration vers les terres blanches, ni la pénétration des tropiques non asiatiques, et que pour ces questions nous préférons nous battre jusqu’au bout plutôt que de céder jusqu’au bout – parce que notre « fin » est précisément ce que signifierait une capitulation sur ces points.
Troisièmement, même au sein du monde blanc, les migrations de types humains inférieurs, comme celles qui ont fait tant de ravages aux États-Unis, doivent être rigoureusement limitées. Ces migrations bouleversent les normes, stérilisent les meilleurs stocks, augmentent les types inférieurs et compromettent l’avenir national plus que les guerres, les révolutions ou la détérioration indigène.
Telles sont les mesures qui doivent être prises si nous voulons traverser les prochaines décennies sans subir de convulsions susceptibles de rendre impossible le redressement du monde blanc.
Ces choses n’apporteront pas les mille ans de règne du Christ sur terre, loin de là. Loin de là. Nos maux sont si profonds que dans presque tous les pays civilisés les valeurs raciales continueraient à se déprécier même si ces trois mesures étaient appliquées. Mais elles donneront au moins à nos blessures une chance de guérir, et elles donneront à la nouvelle révélation biologique le temps d’imprégner la conscience populaire et d’insuffler un nouvel idéalisme à notre époque matérialiste. Au fil des années, l’importance suprême de l’hérédité et la valeur suprême des souches supérieures s’inscriront dans notre être et nous acquerrons une véritable conscience raciale (par opposition à la conscience nationale ou culturelle) qui comblera les fossés politiques, remédiera aux abus sociaux et exorcisera le spectre menaçant du métissage.
Dans ces jours meilleurs, nous ou la génération suivante prendrons en main le problème de la dépréciation de la race, et la ségrégation des déficients et l’abolition des handicaps pénalisant les meilleures souches mettront fin à notre déclin racial actuel. D’ici là, les connaissances biologiques auront tellement progressé et la philosophie populaire de la vie aura été tellement idéalisée qu’il sera possible d’inaugurer des mesures positives d’amélioration de la race qui donneront incontestablement les résultats les plus merveilleux.
Ces tâches splendides ne sont probablement pas les nôtres. Elles reviendront à nos successeurs à une époque plus heureuse. Mais nous avons notre tâche, et Dieu sait qu’elle est difficile : sauver un monde naufragé ! C’est à nous de rendre possible cette époque plus heureuse, dont nous ne verrons jamais les fruits.
L’Amérique du Nord ne pourra pas se relever de la blessure raciale mortelle qui lui a été infligée par les juifs et la cupidité proverbiale de la race anglaise qui a structuré politiquement et culturellement ce continent sur le dollar.
Ce qui attend l’Amérique à présent, c’est le pourrissement racial brésilien jusqu’à l’éclatement territorial.
Les états ouest-européens ne peuvent pas espérer mieux compte tenu de leur subordination politique, culturelle, technologique à l’Amérique juive qui leur impose sa révolution raciale comme l’URSS imposait son modèle aux pays tombés sous son influence.
Dans le cas de la France, l’étatisme, le catholicisme, la révolution française et l’obsession coloniale et post-coloniale pour l’Afrique ont certainement pavé la voie pour en faire une évolution largement acceptée. Sauf une infime minorité, personne ne défend l’idée qu’il faille être de race blanche pour être de nationalité française. C’est ce qui rend obsolète toute tentative de sauver l’état-nation révolutionnaire inventé au 18ème siècle, en France ou ailleurs dans les pays blancs submergés.
D’ailleurs, en France ce sont les nègres qui donnent directement les papiers aux arabes.
La paralysie démocratique garantit que la démagogie antiraciste continuera d’empêcher toute réaction verticale, étatique et ordonnée contre l’invasion, ce qui laisse progressivement les autochtones seuls face aux conquérants.
Mais sur une touche plus positive, au moins on ne parle pas allemand.
Diffusez nos tracts !