Capitaine Harlock
Démocratie Participative
04 juillet 2017
Il a donc fallu à peine un peu plus d’un an pour que la mouvance « antifa » soit désignée pour ce qu’elle est : une organisation terroriste rouge.
Du moins, dans le New Jersey, aux USA.
Le Departement of Homeland Security du New Jersey a officiellement classé le mouvement antifa comme une organisation terroriste après une série d’attaques violentes contre des groupes de supporters de Donald Trump.
Sous le titre « Anarchistes extrémistes : Antifa », le site internet njhomelandsecurity.gov présente le mouvement Antifa comme relevant du « terrorisme intérieur ».
« Durant l’année passée, des groupes antifas sont devenus actifs à travers les États-Unis, employant une série de méthodes pour troubler des manifestations » affirme le résumé, avant de citer une série d’incidents, y compris la prise de parole de Milo Yiannopoulos à l’Université de Berkeley, en Californie, le 1er février, qui avait du être annulée suite aux attaques violentes des Antifas contre les partisans de la liberté d’expression.
Le site affirme que les Antifas sont maintenant engagés dans la diffusion d’informations au sujet de personne qu’elles veulent harceler et menacer physiquement.
Ce type de décisions confirme une chose : les USA restent globalement fondés sur des principes de bon sens. Manifester pacifiquement et tenir un discours ne peut pas être remis en cause par de la vermine anarchiste usant de violence.
En France, seuls les nationalistes sont soumis à une pression intense de la part du gouvernement, depuis des décennies. Louer une salle ou tenir une manifestation relève du parcours du combattant. Le gouvernement interdit le plus souvent les rassemblements pour « troubles à l’ordre public » dès lors que les rouges menacent.
En d’autres termes, le gouvernement emboîte systématiquement le pas à la crasse rouge et prive les nationalistes de leurs droits civiques les plus élémentaires.
Aux USA, c’est totalement impensable : les autorités doivent garantir la libre tenue d’une manifestation. La mentalité dominante reste globalement acquise à ces libertés de base.
La vérole antifa a été exportée depuis l’Europe en 2016 pour alimenter l’opposition à Trump. Soros a payé des cadres de ces groupes d’agitation afin qu’ils organisent des troubles aux USA, notamment dans le New Jersey, pour le compte du (((Parti Démocrate))).
En voyant la vidéo ci-dessus, on comprend cependant que les « antifas » américains sont nettement moins capables que ceux d’Europe. Ce qui s’explique par la nouveauté du mouvement et surtout le fait que l’état fédéral fonctionne somme toute décemment.
Chez nous, l’impunité totale de ce chancre le rend d’autant plus agressif et audacieux.