USA : la submersion migratoire pousse le bloc des états patriotes américains à défier l’autorité du gouvernement fédéral

La rédaction
Démocratie Participative
27 janvier 2024

 

La crise qui oppose l’état du Texas et le gouvernement fédéral américain est très sérieuse. Elle est la conséquence de la politique de repeuplement migratoire imposé par les juifs de Washington qui sont lancés dans une gigantesque entreprise de modification irréversible du corps électoral. Exactement comme en France et dans tous les pays blancs où ils exercent une influence décisive.

Des millions de migrants venus du monde entier affluent aux USA depuis des années avec l’appui de Biden. Ils viennent d’absolument partout : Inde, Russie, Afrique, Chine, etc.. On est stupéfait des nationalités les plus improbables qui s’agglutinent à la frontière américano-mexicaine.

Les états et villes américaines aux mains du Parti Démocrate, le parti des juifs qui se cachent derrière Biden, ont fait, font et feront voter les migrants clandestins aux élections présidentielles.

À cette fin, l’équipe de Biden sabote sciemment le contrôle aux frontières pour laisser entrer autant de migrants que possible.

Aujourd’hui, 50 millions de personnes aux USA sont des immigrés, soit 15% du total. C’est un record historique, même pour un pays d’immigration comme l’Amérique. Il dit tout de ce qui se produit aux États-Unis.

Biden en a importé à lui seul plus de 5 millions en moins de 4 ans.

Dirigé par un homme de droite, Greg Abbott, l’état du Texas, l’un des principaux points d’entrée, a décidé de durcir le ton à la frontière en installant du barbelé à la frontière que ne défend plus la police fédérale américaine.

C’est symbolique, mais les juges à la botte des démocrates ont jugé l’initiative intolérable, au point de porter l’affaire devant la Cour Suprême, la plus haute juridiction des États-Unis d’Amérique.

La Cour Suprême a décidé que l’état du Texas a le droit d’installer du barbelé et que le gouvernement fédéral a le droit de l’enlever.

Le Temps :

La Cour suprême des Etats-Unis a autorisé lundi l’administration du président Joe Biden à retirer des barbelés installés par le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, à la frontière avec le Mexique, dans un contexte de tension politique autour de la question migratoire.

Partisan déclaré de Donald Trump, qui a fait de la lutte contre l’immigration un des principaux thèmes de sa campagne électorale, Greg Abbott défie ouvertement l’autorité de l’administration Biden, la taxant d’«inaction délibérée» face à un afflux record de migrants à la frontière ces derniers mois.

Greg Abbott

En décembre, une cour d’appel fédérale a interdit à la police fédérale des frontières de retirer ou démanteler les barbelés installés par les autorités du Texas près de la localité frontalière d’Eagle Pass, sauf exception justifiée par une urgence médicale.

Le ministère de la Justice a saisi la Cour suprême début janvier pour obtenir l’annulation de cette interdiction en attendant un jugement au fond et la Cour a fait droit lundi à cette demande par cinq voix, dont celle de son président, John Roberts, contre quatre. Quatre des six membres de la majorité conservatrice ont voté contre cette décision mais n’ont pas motivé leur désaccord.

Vous serez surpris d’apprendre que le ministre de la Justice des États-Unis est le juif Merrick Garland.

Par ailleurs, la prise de contrôle depuis le 11 janvier par la Garde nationale du Texas d’un parc municipal à Eagle Pass bordant le Rio Grande a suscité une polémique entre l’administration Biden et le gouverneur Abbott.

Le ministère de la Justice accuse le gouverneur d’empêcher ainsi la police fédérale des frontières d’accomplir sa mission en «bloquant son accès à la frontière même en cas d’urgence» sur environ 3,7 km le long du fleuve, ce que les autorités texanes contestent.

C’est l’avantage du fédéralisme. Les états conservent une autonomie, y compris une force armée propre, la garde nationale, même si elle est théoriquement subordonnée au gouvernement central, à l’armée américaine et donc à la présidence des États-Unis.

Dans ce maquis légal, les deux partis interprètent la loi comme bon lui plaît. À cette heure, la garde nationale du Texas suit Abbott, le gouverneur, et Biden cherche les failles pour empêcher le torrent de l’immigration illégale de se tarir.

Les Français se disent que cette histoire de barbelés n’a aucun intérêt. C’est compréhensible, car ils ne connaissent que le système unitaire hérité de la révolution française et de l’empire où le pouvoir est centralisé à Paris, supervisé par les préfets.

En France, il n’existe aucun contre-pouvoir local ou régional, pas même départemental.

Les USA ont une histoire politique complètement différente. C’est au départ une libre association d’états. Un peu comme les débuts de l’Union Européenne. Si Bruxelles tente d’imposer une norme unique, en pratique les états de l’UE ont des histoires, des mentalités, des lois et des usages très différents. Le Texas est à New York ce que la Finlande est au Portugal.

Si le gouvernement fédéral viole trop ouvertement les droits de certains états, le principe même d’union s’effondre, ce qui ouvre la voie au séparatisme. Il n’y a de risque séparatiste que lorsque la question qui voit s’opposer Washington à un ou plusieurs états est vitale pour ces états.

La Guerre de Sécession n’avait pas pour enjeu l’esclavage en tant que tel, mais le partage de la souveraineté des états de l’union. C’est le passage en force des états du Nord au détriment des intérêts économiques des états du Sud qui a poussé ceux-ci à faire sécession.

L’écrasante majorité des Américains du Sud n’a jamais eu d’esclaves et ce n’est pour cela qu’ils se sont battus. Ils se sont battus parce qu’ils pensaient défendre la conception originelle de la formation des États-Unis comme une association d’hommes blancs fondée sur l’idée de liberté. Pour les Sudistes, c’est le Nord qui trahissait George Washington, pas l’inverse.

D’ailleurs, les pères fondateurs possédaient des esclaves, à l’instar de Benjamin Franklin.

C’est contre l’hypothèse d’un gouvernement tyrannique que le deuxième amendement de la constitution des États-Unis prévoit que chaque citoyen est libre de s’armer.

Ce deuxième amendement rend possible le premier, qui garantit le droit de s’exprimer librement.

Des hommes blancs libres de parler et de s’armer pour pouvoir rester libres représentent aux yeux des juifs qui contrôlent l’Amérique ce qui se fait de pire.

Les deux sont attaqués depuis des années par la gauche américaine, lourdement influencée par les juifs.

Ce point de passage à la frontière texane est l’élément déclencheur d’une grave crise de régime qui couvait de longue date.

Les états républicains apportent leur soutien au Texas dans cette confrontation avec Washington.

Vingt-cinq États sont désormais solidaires du Texas pour protéger sa frontière internationale contre l’invasion.

25 gouverneurs républicains ont signé une déclaration commune de soutien au gouverneur Abbott.

Cela ne va pas s’arrêter. D’ici aux années 2030, les tensions vont aller crescendo entre les états républicains et les démocrates, c’est-à-dire entre les états patriotes américains et les états cosmpolites dirigés par Washington. Cette crise va entraîner l’éclatement politique et territorial de l’Union sur fond de basculement démographique et racial.

Si le centre du système démocratique mondial éclate, et il va éclater, ce sera une opportunité pour les états autoritaires de lancer l’offensive contre les positions américaines partout dans le monde. C’est déjà le cas avec les contre-offensives de la Russie et de l’Iran contre les positions américaines ou pro-américaines, et ce sera le cas demain de la Chine.

L’Europe, sous dépendance américaine, n’échappera pas à ce processus de désintégration, pas plus qu’elle n’a échappé au processus d’immigration impulsé par l’Amérique depuis les années 1960.

C’est l’Occident en entier qui va connaître le sort de l’URSS et de la Yougoslavie, c’est-à-dire l’éclatement brutal d’ensembles multiraciaux, multiethniques, multiconfessionnels artificiellement unis par un autoritarisme oligarchique de plus en plus chancelant.

Si en 1982 l’on avait dit au Russe ou Serbe moyen que son état n’existerait plus dix ans plus tard, il n’y aurait pas cru.

Pour en revenir au Texas, il y a tout ce qu’il faut d’hommes blancs très en colère pour faire la différence.

Nous allons retrouver Bench&Cigars dans un régiment de volontaires d’ici quelques années.

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