USA : la députée muslima Ilhan Omar dénonce les juifs qui verrouillent le système politique américain avec leurs shekels

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
11 février 2019

En organisant le repeuplement des USA par des gens colorés, les juifs espéraient abattre la base biologique blanche à leur profit en se plaçant à la tête d’une coalition marron.

Comme en France, ce programme est en train de se retourner contre ses instigateurs.

Récemment élue à la Chambre des Représentants, la moukère somalienne Ilhan Omar a signifié aux juifs que l’époque de leur toute-puissance arrivait à son terme.

Tout a commencé à propos du boycott des colonies juives de Palestine.

The Times of Israel :

Le soutien de deux élues musulmanes démocrates à une campagne de boycott d’Israël fragilise leur parti et ouvre une brèche dans l’alliance historique et inconditionnelle entre les Etats-Unis et l’Etat hébreu.

Ilhan Omar et Rashida Tlaib, membres de l’aile gauche du parti à la Chambre des représentants, ont publiquement appuyé le mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) qui appelle à exercer un boycott et diverses pressions économiques, académiques, culturelles et politiques sur Israël afin « d’aboutir à la fin de l’occupation et de la colonisation des terres arabes, ainsi que le respect du droit au retour des réfugiés palestiniens ».

Fondé par des militants palestiniens, il s’inspire de la campagne internationale contre l’Afrique du Sud qui avait contribué à la chute de l’apartheid. Mais certains partisans d’Israël assimilent le BDS à une forme d’antisémitisme.

Rashida Tlaib, 42 ans et d’origine palestinienne, affirme vouloir attirer l’attention sur « les questions comme le racisme et les violations par Israël des droits humains des Palestiniens ». Ilhan Omar, 37 ans, fille de réfugiés somaliens et seule parlementaire à porter le foulard islamique, veut rééquilibrer la position américaine qui « donne clairement la priorité » à l’Etat hébreu. Elle dénonce aussi une loi de 2018 définissant Israël comme l' »Etat-nation du peuple juif », comparant la situation des minorités religieuses à celles d’Iran ou d’Arabie saoudite.

Ces déclarations ont provoqué un tollé à la Chambre. Le représentant républicain Lee Zedlin a fustigé « la haine contre Israël et la haine antisémite que l’on commence à voir s’infiltrer dans la politique américaine, jusque dans les allées du Congrès ». Le groupe républicain a même accusé la direction du parti démocrate d’encourager la « rhétorique de haine et d’intolérance envers Israël ».

L’Anti-Defamation League, principale organisation américaine de lutte contre l’antisémitisme, a pour sa part rejeté toute comparaison « entre un Israël démocratique et des théocraties répressives ».

Sur ce, le Parti Républicain a réagi en annonçant des « sanctions » contre les deux muslimas.

Ilhan Omar a alors retweeté ce message en y ajoutant, « C’est uniquement pour les bébés Benjamins » :

« Le chef du Parti Républicain [à la chambre] Kevin McCarthy menace de sanction Ilhan Omar et Rashida Tlaib pour leurs critiques d’Israël. Il est frappant de voir le temps que les dirigeants politiques US passent à défendre une nation étrangère même si cela implique d’attaquer la liberté d’expression des Américains ».

Les « Benjamins » sont une référence à Benjamin Franklin qui figure sur les billets de 100 dollars. En d’autres termes, Omar a répondu à ces menaces de sanctions qu’elles s’expliquaient par le fait que les juifs paient les politiciens US pour faire taire leurs opposants.

Ce tweet a mis chaos tout l’établissement politique américain étroitement contrôlé par les juifs.

La crainte des juifs se confirment : les gens marrons commencent à se mettre à leur compte sous l’influence du sémitisme mahométan.

Les juifs ont effectué un tir de barrage immédiat au plan politique et médiatique. Mais ils découvrent, stupéfaits, que les moukères d’allah sont au moins aussi arrogantes qu’eux.

La journaliste juive Batya Ungar-Sargon a tweeté à l’adresse d’Ilhan Omar :

« J’aimerais savoir qui Ilhan Omar pense qu’il paye les politiciens américains pour être pro-Israël, même si je pense que je peux deviner. Mauvaise forme, madame la représentante. C’est la seconde sortie antisémite que vous avez tweeté ».

Et la mahométane, loin de se démonter, de répondre frontalement : « L’AIPAC ! »

Would love to know who thinks is paying American politicians to be pro-Israel, though I think I can guess. Bad form, Congresswoman. That’s the second anti-Semitic trope you’ve tweeted.

L’AIPAC étant l’équivalent du CRIF américain, un état juif dans l’état américain.

Ce refus de se soumettre a stupéfié les juifs habitués aux Blancs dociles se confondant en excuses.

Chelsea Clinton, la fille de Hillary Clinton mariée à un juif, a sonné l’alerte.

« Je la contacterai demain. Je pense aussi que nous devons dénoncer tous les discours et sorties antisémites provenant de tous les côtés, particulièrement au sein de nos élus et particulièrement maintenant. »


La kippa Clinton

Les juifs veulent même neutraliser Ilhan Omar.

« ASSEZ C’EST ASSEZ ! Il est maintenant temps pour Ilhan Omar d’être EXCLUE de la Commission parlementaire pour les Affaires Étrangères. »

La gauche américaine est en train de se transformer très rapidement en bloc politique marron. Au sein de ce bloc, les nègres n’ont jamais représenté une menace pour les juifs. Avec l’infiltration islamique, ceci est en train de changer.

Les musulmans ne représentent encore qu’une petite minorité aux USA mais elle est très organisée et liée à de puissants états islamiques comme l’Iran ou l’Arabie Saoudite ainsi qu’à des organisations islamistes très structurées comme les frères musulmans.

Ils agissent, au sein de la masse marron, comme un accélérateur.

Le soutien à Israël s’est complètement effondré à gauche. Il n’est plus que de 27%, principalement du fait des boomers blancs gauchistes.

Une fois le bloc métèque devenu totalement antisioniste, il deviendra de plus en plus difficile pour les USA de soutenir la colonie juive de Palestine sans exciter ses habitants marrons.

Pour les juifs, c’est la manifestation du déclin de leur influence sur le système politique et médiatique américain.

L’Amérique post-blanche ne sera pas, contrairement à ce que prêchaient les juifs, un paradis sur terre débarrassé de « l’oppression », du « racisme » ou du « sexisme » blancs.

Ce sera une poudrière raciale qui fera imploser les USA en différentes entités territoriales sur la base de sa composition ethnique.

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