USA : deux tiers des hommes de 18-30 ans sont célibataires, deux tiers des femmes du même âge sont en couple

La rédaction
Démocratie Participative
21 mars 2023

Les deux tiers des jeunes hommes américains sont exclus par les traînées émancipées de toute forme de relations amoureuses et sexuelles.

Pew Research :

Si l’on tient compte à la fois de l’âge et du sexe, 63 % des hommes de moins de 30 ans se décrivent comme célibataires, contre 34 % des femmes de la même tranche d’âge.

Les jeunes hommes sont également beaucoup plus susceptibles d’être célibataires que les hommes plus âgés – une tendance qui n’est pas aussi nette chez les femmes. Les femmes âgées de 18 à 29 ans, par exemple, sont tout aussi susceptibles que les femmes âgées de 65 ans et plus de se déclarer célibataires.

C’est exact : un tiers des hommes de moins de 30 ans (37%) accède en ce moment à deux tiers des femmes de moins de 30 ans (66%). Les deux tiers des hommes de 18 à 30 ans aux USA ne touchent aucune femme, jamais.

Cela ne veut pas dire que l’autre tiers des jeunes mecs se répartit équitablement le butin. Cela ne veut pas dire non plus qu’ils en reçoivent deux et aucune de plus. Cela veut dire qu’en ce moment, ils s’échangent à rythme élevé 66% du cheptel féminin.

En Occident, une femme de moins de 30 ans se fait passer dessus par au moins 5 ou 6 hommes et c’est un minimum. Ces mecs appartiennent au même tiers qui se partagent ces gonzesses ainsi que leurs MST.

Cosmopolitan :

En France, 20% des femmes ont partagé leur lit avec 10 partenaires différents. L’Hexagone détient le record du pays européen où la part de femmes ayant eu des rapports sexuels avec plus de 10 personnes différentes est la plus élevée, juste devant le Royaume-Uni (19%). Des chiffres révélateurs de « l’indépendance sexuelle croissante des femmes », selon François Kraus, directeur de l’étude. La moyenne se situe à 15% chez l’ensemble des Européennes. 17% des Françaises affirment, quant à elles, avoir eu 6 à 10 partenaires sexuels. Elles sont donc près de 4 sur 10 à avoir eu plus de 6 partenaires sexuels. 18% en ont connu entre 4 et 5 et 22% entre 2 et 3. Enfin, 17% des femmes françaises n’ont connu qu’un.e seul.e partenaire au cours de leur vie.

Les hommes de cette tranche d’âge sont théoriquement hyper actifs sexuellement à ce moment-là puisque la nature les programme pour la construction d’un foyer afin de perpétuer l’espèce.

Mais entretemps les femmes ont eu accès à Tinder et à la sorcellerie numérique.

Les réseaux sociaux boostent et structurent l’établissement l’hypergamie féminine comme nouvelle norme sociale.

Les mecs américains sont à présent occupés à jouer aux jeux vidéos, parce que les traînées, y compris les 2/10, les ont depuis longtemps purgés avec leurs filtres Tinder.

Les deux tiers des hommes étant désormais sous embargo sexuel, la majorité d’entre eux ont décidé d’abandonner le concept même d’approcher une femme.

Parmi les Américains célibataires, la plus grande partie – 57 % – déclare ne pas être actuellement à la recherche d’une relation ou de rendez-vous occasionnels.

Quelque 42 % des Américains célibataires déclarent être à la recherche d’une relation romantique engagée et/ou de rendez-vous occasionnels, soit une baisse par rapport aux 49 % de 2019 (mais une proportion similaire à celle constatée dans l’enquête du Centre de février 2022).

Cette baisse est largement due aux hommes célibataires, qui sont désormais 11 points de pourcentage moins susceptibles qu’en 2019 de déclarer qu’ils recherchent une relation engagée et/ou des rendez-vous occasionnels (50 % en juillet 2022, contre 61 % en 2019).

Le problème, c’est que les hommes n’ont pas de femmes, ils n’auront pas de familles, donc pas de billes dans la marche de la société.

Les traînées usagées, une fois la trentaine passée, découvrent que les regards masculins diminuent rapidement. Elles essaient en vain de rattraper le temps perdu en trouvant un pigeon, mais comme elles s’estiment en droit d’exiger un 9/10, se caser avec un 6/10 les rend terriblement acides de frustration et, de fait, immariable.

C’est là que la société féministe de marché avec sa dérégulation sexuelle post-patriarcat produit ses pleins effets.

Une féministe est par définition une pute

Il y a cependant une bonne nouvelle pour les hommes.

Le mur, chez l’homme, est beaucoup plus tardif que chez les femmes, à 38 ans pour lui contre 23 ans pour elles.

C’est très théorique car les paramètres d’évaluation des hommes diffèrent de ceux des femmes. Les femmes sont évaluées sur leur physique, leur gentillesse maternelle et leur obéissance. Une harpie émancipée ne deviendra pas une gentille femme docile et son physique ne changera pas pour le meilleur, elle n’a donc virtuellement aucun moyen de corriger sa trajectoire de vol. Un homme par contre peut agir activement sur de nombreux plans. Au plan physique, il peut déjà entretenir son corps en allant à la salle de musculation plusieurs fois par semaine. Les rides chez un homme ne sont pas non plus nécessairement un problème. Au plan social et financier, un homme a une marge d’évolution bien plus large qu’une femme en raison de sa capacité de travail et de création.

À 40 ou 45 ans, il peut disposer d’un certain capital physique, financier, d’expérience qu’un jeune homme de 25 ans n’a pas.

Toute l’arnaque des rapports hommes-femmes des sociétés féministes actuelles consiste à maintenir les hommes de moins de 30 ans dans l’illusion obsolète de la nécessité de trouver « la » gonzesse pour fonder un foyer. Comme vous l’avez compris, cela n’arrive pas car les femmes actuelles sont reprogrammées pour coucher à la chaîne jusqu’à 30 ans, voire 32 ou 33 ans. Mais elles veulent coucher avec des hommes de leur âge, d’où l’importance pour elles de mener en bateau les jeunes hommes avec le mythe du mariage avant 30 ans.

Le différentiel entre le mur chez l’homme et le mur chez la femme est décisif ici, car le rythme biologique diffère de plus de 15 ans entre les deux. C’est ce réajustement qu’un homme peut opérer et retourner le mur contre les catins qui détruisent cette société.

Il faut que l’on sorte les hommes de ce piège fatal et nous ne pouvons le faire qu’en leur expliquant les mécanismes biologiques à l’oeuvre dans le contexte social et culturel de cette époque. Sinon, ils commettront encore et toujours les mêmes erreurs, faute d’avoir été alertés sur le péril vaginal.

Un homme de 35 ans doit s’efforcer de chasser des femmes de 20 à 23 ans et s’imposer comme règle de ne jamais fixer son attention sur des robots sexuels biologiques après cet âge. Un jeune homme doit ronger son frein et apprendre que pour attraper le gibier qu’il veut obtenir dans la vie, il doit d’abord travailler entre 15 et 35 ans pour se hisser le plus haut possible dans la chaîne alimentaire et élargir ses possibilités et sa réalisation dans ce domaine.

C’est-à-dire faire l’inverse de ce qu’ils font actuellement en ne faisant pas vraiment d’efforts dans leurs études parce qu’ils sont occupés à essayer de lever des garces de leur âge en soirée dans l’espoir de trouver accidentellement « la » gonzesse.

Typiquement, ce type d’unions éclate vers la trentaine, même avec un ou deux enfants, parce que « la » gonzesse trouvée accidentellement percute le mur et se dit « qu’elle aurait pu avoir mieux » et se met inconsciemment en tête de refaire le parcours avec un autre homme. Ce n’est pas tout le temps le cas, mais souvent le cas.

Les mecs doivent apprendre à gérer leur temps à la mesure de ce qu’ils sont et non pas de ce que cette société féministe leur dicte de faire.

Leonardo Di Caprio connaît parfaitement cette règle et l’applique jusqu’à l’extrême. Il ne garde jamais une femme de plus de 23 ans.

Et les garces l’ont relevé.

Quand vous voyez la presse vaginale criser à propos de ce que fait légalement un homme blanc, vous pouvez être certain que cet homme fait quelque chose correctement.

Leonardo connaît les véritables règles du jeu et les femmes en sont ivres de rage car elles ne peuvent rien faire contre la supériorité de l’homme qui perce le secret de ces sorcières.

Tout le monde n’est pas Leonardo Di Caprio, à l’évidence, et il faut être un acteur richissime pour enchaîner les mannequins de 20 ans. Mais la règle demeure valide universellement.

Un 6/10 de 40 ans avec une situation sociale et professionnelle solide peut lever une 9/10 de 22 ans en lui offrant un style de vie qu’aucun type de 25 ans ne pourra jamais lui offrir. En décalant dans le temps ses aspirations vis-à-vis des femmes, un homme peut retourner la situation actuelle à son avantage et exploiter agressivement la vénalité inhérente des femmes pour son intérêt bien compris.

Entre 20 et 30 ans, un jeune homme doit se focaliser sur l’homme qu’il veut être à 40 ans. C’est sur cet horizon qu’il doit fixer son regard. Une fois âgé de 35 ou 40 ans, il récoltera les fruits de ses efforts au décuple et en retirera une satisfaction bien plus grande et ne regrettera rien des efforts consentis pour atteindre sa position.

À chacun d’eux, une fois l’âge venu, leur butin quotidien.

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