Captain Harlock
Démocratie Participative
25 octobre 2019
Nous ne sommes plus très loin du moment où quiconque défendra la liberté d’expression sera assimilé à un suprémaciste blanc.
En France, c’est déjà le cas en vertu des lois de censure Pleven, Fabius-Gayssot, Lellouche, Taubira et Avia.
Aux USA, le premier amendement de la Constitution ne tiendra plus très longtemps.
Les résultats d’un sondage de New Campaign For Free Speech montrent à quel point la protection de la liberté d’expression est vulnérable aux États-Unis.
Les résultats du sondage du SCF le montrent :
51% des Américains pensent que le Premier Amendement est obsolète et devrait être réécrit. Le premier amendement protège votre droit à la liberté d’expression, à la liberté de réunion et à la liberté de religion, entre autres choses.
48 % croient que le » discours haineux » devrait être illégal. « De ce nombre, environ la moitié d’entre eux pensent que la punition pour « discours haineux » devrait inclure une peine d’emprisonnement possible, tandis que les autres pensent qu’il ne devrait s’agir que d’une contravention et d’une amende.
Le détail du sondage est encore plus intéressant du point de vue générationnel.
La génération du Millénaire (« Millennials »), c’est-à-dire les 21-38 ans, sont 51% à dire que « les discours de haine devraient être illégaux ».
De ces « Millennials » à soutenir cette interdiction, 54% soutiennent le principe d’une peine de prison pour tout propos « haineux ».
Les « Millennials » sont encore 62% à vouloir que le gouvernement puisse agir contre tout média qui tient des propos controversés.
Détail important, la composition raciale des « Millennials » aux USA : 45% sont des non-Blancs.
Dès que les juifs parviennent à importer des métèques en masse dans un état aryen, la liberté des Blancs fond comme neige au soleil.
En quelques générations, ils deviennent des esclaves sur la terre de leurs ancêtres.