Captain Harlock
Démocratie Participative
26 février 2019
Aux US, les hommes ont le droit de tricher contre les femmes.
Il leur suffit juste qu’ils se déclarent travelos.
Andraya Yearwood entend les commentaires, habituellement d’adultes et habituellement pas en face.
Elle ne devrait pas courir, disent-ils, pas contre des filles.
Yearwood, une lycéenne de 17 ans de Cromwell High School, est une des deux sprinteuses transgenres du Connecticut, étant devenues des femmes.
Elle a récemment fini deuxième au 55 mètres lors des championnats de l’état en salle. Le vainqueur, Terry Miller du lycée Bloomfield, est également un transgenre et a établi un nouveau record pour la course féminine en salle à 6,95 secondes. Yearwood a terminé à 7,01 et la troisième compétitrice, qui n’est pas transgenre, a fini à 7,23.
Miller et Yearwood sont également arrivées en tête du championnat de 100 mètres l’année dernière et Miller a gagné le 300 mètres cette saison.
Les critiques disent que leur identité de genre revient à un avantage inéquitable, exprimant un argument traditionnel dans un débat complexe sur les athlètes transgenres à mesure qu’ils brisent les barrières partout dans le monde, du lycée jusqu’aux professionnels.
« J’ai appris beaucoup au sujet de moi-même et au sujet des autres pendant cette transition. J’essaierai toujours de me focaliser sur les encouragements que je reçois de ma famille, de mes amis et de mes supporters » a déclaré Yearwood. « J’utilise la négativité pour courir plus vite. »
Le Connecticut est l’un des 17 états qui autorisent les athlètes lycéens transgenres à concourir sans restrictions…
Les autres états n’ont soit aucune politique en la matière ou traite le problème au cas par cas.
Yearwood reconnaît être plus forte que beaucoup de concurrents cisgenres mais déclare que les filles qui ne sont pas transgenres ont beaucoup d’autres avantages.
« Un athlète pratiquant le saut en hauteur peut être plus grand avec de plus longues jambes qu’un autre mais l’autre pourrait être en parfaite forme et alors faire mieux » dit-elle. « Un sprinter pourrait avoir des parents qui dépensent tellement d’argent sur l’entraînement personnel de leur enfant que, en retour, cela ferait courir cet enfant plus vite. »
Miller qui a refusé de répondre au sujet de notre article, a indiqué qu’elle se pensait que si un concurrent pensait avoir un désavantage cela le pousserait à s’améliorer.
Une de leurs concurrentes, Selina Soule, a déclaré que le problème se situait au niveau de l’équité sur la piste avec des implications beaucoup plus larges. La lycéenne de Glastonbury a fini 8ème sur le 55 mètres, manquant ainsi de se qualifier pour les régionales de Nouvelle Angleterre de deux marches.
Soule croit que si Miller et yearwood n’avaient pas couru, elle sera en route pour la course de Boston devant davantage d’entraîneurs de Boston.
« Nous connaissons tous le résultat de la course avant qu’elle commence, c’est démoralisant » dit-elle. « Je les soutiens totalement et je suis heureuse que ces athlètes soient fidèles à elles-mêmes. Elles doivent avoir le droit de s’exprimer à l’école mais l’athlétisme a toujours plus de règles pour garder la compétition juste.«
L’Association des Écoles de la Conférence Interscolaire d’Athlétisme du Connecticut, qui administre les sports lycéens dans le Connecticut, a indiqué que ses règles suivent la loi anti-discrimination qui indique que les étudiants doivent être traités en fonction du genre avec lequel ils s’identifient.
« Il s’agit du droit d’une personne à concourir » déclare le directeur exécutif Glenn Lungarini. « Je ne pense pas que ce soit différent des autres classes de gens qui, il n’y a pas si longtemps, n’étaient pas autorisées à concourir. Je pense qu’il va falloir plus d’éducation et de compréhension pour parvenir au même résultat au sujet de cette question. »
Pas de discrimination, goy.
Encore un an ou deux et les travelos auront grand-remplacé les femmes.
Le SIDA LGBT aura fini de dévorer le féminisme.
Je dois admettre que les travelos sont de facto des armes de choix contre les lesbiennes vaginocrates.