La rédaction
Démocratie Participative
23 septembre 2022
Comme expliqué aujourd’hui dans un autre article, Ursula Von der Leyen est à New York, la capitale juive du monde démocratique, où elle a appelé à écraser les partisans de la paix en Ukraine pour sauver la dystopie homo-globaliste de Soros et Schwab.
Vous n’êtes jamais allé à New-York ?
Elle a fait un détour par l’université de Princeton, un centre idéologique juif important de la région new-yorkaise, où elle s’est adressée à un parterre de commissaires politiques (juifs, principalement) venus spécialement pour l’occasion. Pour l’anecdote, environ 13% des élèves de cette université sont juifs, les professeurs encore plus, dans un système de quotas dont les Blancs sont sévèrement écartés.
Fait : les juifs représentent 2% de la population américaine (ce qui est déjà outrancièrement élevé).
Face à ce public, Ursula Von der Leyen a été claire : si l’Italie votait pour l’inoffensive populiste Meloni prochainement, l’Union Européenne, pour préserver la démocratie, adopterait des sanctions contre les électeurs italiens qui n’ont pas voté comme les juifs attendent qu’ils votent.
Von der Leyen menace les Italiens : « Nous verrons le résultat du vote en Italie. Si les choses vont dans une direction difficile, nous avons des outils, comme dans le cas de la Pologne et de la Hongrie. » Une tentative désespérée d’influencer le vote en Italie qui va vers l’extrême droite. Game over Ursula !
Von der Leyen threatens the Italians: « We will see the result of the vote in Italy. If things go in a difficult direction, we have tools, as in the case of Poland and Hungary. » A desperate attempt to influence the vote in Italy that runs towards the far right. Game over Ursula! pic.twitter.com/MhkaiQus9x
— RadioGenova (@RadioGenova) September 23, 2022
Nous avons déjà parlé de Meloni, l’ex-ministre de Berlusconi qui est allée en pélerinage à Yad Vashem, le Saint-Sépulcre de la démocratie mondiale. Il n’y a évidemment rien n’à en attendre, comme des élections en général, mais son positionnement théorique suffit à convaincre l’hyperclasse de rappeler les règles du jeu.
Récemment, l’UE a justement inventé un nouveau concept pour désigner les états où les peuples votent mal, c’est-à-dire contrairement aux intérêts de l’hyperclasse globale : « l’autocratie électorale ».
C’est un concept particulièrement juif dans le catalogue des concepts juifs.
Ce concept consiste à qualifier de « dictature » un pays où les gens votent pour des gens que les juifs n’aiment pas. Il suffisait d’en avoir l’idée. Si vous voulez savoir quels gens les juifs n’aiment pas, c’est assez simple : tous ceux qui, chez les goyim, veulent les empêcher de piller une nation.
La Hongrie qui vote mal décrétée « autocratie électorale » par l’autocratie électorale eurocratique
Au nom de la démocratie, Ursula Von der Leyen, qui n’a été élue par personne, va donc prochainement classer l’Italie dans la catégorie des « dictatures ».
L’un des sophistes favoris des juifs a parfaitement résumé l’équation démocratique. La démocratie, ce n’est pas la loi de la majorité goye qui travaille, mais la protection des 1% de parasites juifs qui contrôlent l’appareil politico-médiatique et financier des états aryens réduits en esclavage.
J’aurais aimé faire fusiller Albert Camus, hélas, il est mort depuis longtemps.
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