Toulouse : une pute à crouille sauvagement lynchée et doigtée par son bougnoule après qu’elle se soit maquée avec un pigeon blanc

Leutnant
Démocratie Participative
23 avril 2019

Un moment de détente.

La Dépêche :

Helmi, 33 ans, et Justine vivaient à Toulouse en union libre. Parents d’une fille âgée de 4 ans et demi, cette relation a été émaillée de violences conjugales. Début 2017, la séparation est inévitable. Helmi n’accepte pas cette rupture. Justine s’installe à Boussens et rencontre Mickael.

Samedi 25 août dernier, Helmi se rend en train à Boussens pour voir sa fille. Cette dernière est en vacances au bord de la mer avec sa grand-mère. Justine le raccompagne à la gare. Mais au lieu de rentrer à Toulouse, il rumine son mal être et passe la nuit sur un banc à la gare. Entre alcool massif (14 verres) et cocaïne; au matin, passablement éméché, dans un état second, il se rend chez la grand-mère de Justine à Roquefort sur Garonne.

Jaloux, il surveille Justine : «Je veux savoir ce qu’elle fait» déclarera-t-il aux enquêteurs. Vers 10 heures, il est devant le domicile. Lorsque, Mickael, le nouveau compagnon de Justine ouvre les volets, Helmi bondit à l’intérieur. Mickael s’enfuit par la fenêtre pour prévenir les gendarmes. Une violente scène éclate. Helmi ne se contient plus. «Au delà des insultes, Justine est rouée de coups», précise maître Abadie son conseil, qui dépeint une situation délirante, notamment le calvaire de sa cliente. Les coups pleuvent. Elle tente de s’échapper, il l’a rattrape, déchire sa chemise de nuit et sa culotte, se couche sur elle et introduit un doigt dans son vagin. Justine tente de fuir.

Près du garage, elle est rejointe par Helmi qui la traîne par les pieds, lui arrache un tee shirt qu’elle avait récupéré. Totalement nue, elle appelle au secours et ne doit son salut qu’aux voisins médusés qui interviennent et mettent un terme à son calvaire. Justine blessée et traumatisée se réfugie chez ses bienfaiteurs.

Deux jours d’ITT sont délivrés par le médecin légiste. Elle est couverte d’ecchymoses sur l’ensemble du corps. Interpellé le 28 aôut, Helmi est placé sous contrôle judiciaire. Il reconnaît les violences mais nie les atteintes sexuelles. Helmi n’assume pas ses actes. «De peur de se faire interpeller, il ne respecte pas le contrôle judiciaire», avance la procureur. «Aujourd’hui il est en fuite. Un dossier criminel pour viol est en cours, les analyses se poursuivent».

Le tribunal suit les réquisitions du parquet. le prévenu écope de 8 mois de prison dont 4 assortis d’un sursis mise à l’épreuve comportant une interdiction d’entrer en contact avec la victime, de paraître à Boussens et Roquefort/Garonne, une obligation de soins et de travail. Les intérêts civils seront débattus le 12 juin 2019. Pour ce qui est du viol, l’affaire est en cours.

Pour une fois, on peut se féliciter de la clémence du tribunal.

Des douas pour le frère qui a fait goûter à cette traînée un avant-goût du califat.

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