Captain Harlock
Démocratie Participative
11 février 2019
La France exporte désormais son SIDA.
La mulâtresse bavarde qui suit, originaire de Mayotte – cette véritable pompe à nègres financée par les contribuables blanc -, s’est longuement épanchée sur le racisme forcené des arabes de Tunisie à l’endroit de la négraille.
Cela vaut la peine d’être lu.
Petit thread sur mes 3 mois en Tunisie et la negrophobie dont j’ai été victime et témoin. ⬇️
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Je faisais un travail de recherche sur les migrants subsahariens, et tous les gens que j’ai interrogé m’ont dit s’etre fait traité de singe ou N-word au moins une fois.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Parce que bien sûr, quand une de ces négresses est intégrée dans une université française à prix d’or, son premier réflexe consiste à parler du seul sujet qui intéresse jamais les nègres : les nègres.
J’ai rencontré une militante Noire tunisienne et elle me disait que spontanément, les gens lui parlaient en français et l’insultaient en arabe tunisien pensant qu’elle ne comprenait pas.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
« Militante Noire tunisienne ».
Mais…
L’impérialisme négroïde.
Je me baladais avec des membres de la société civile, tous Noirs. L’un d’eux a salué un monsieur qui passait en calèche, il lui a répondu « k7alouche »..
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Ha !
« Des membres de la société civile, tous noirs ».
Ouais, donc, reformulé correctement, « je me baladais avec ma bande de nègres ».
On est vraiment obligé d’apprendre le français à ces cafres ? C’est indispensable ?
Ces primates bavards s’enivrent de mots de français dont le caractère incompréhensible pour eux les pousse à croire qu’ils ont une sorte de pouvoir magique.
On appelle ça la sapologie verbale.
Mettre des lunettes, enchaîner des mots qui ont l’air complexe, étaler sa cuistrerie et attendre que le Blanc se prosterne d’admiration.
Un jour, je rentre dans une librairie; je cherche un livre et le vigile me suit dans tout le magasin.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
J’observe que même selon les standards arabes en matière de vol, les nègres sont des kleptocrates forcenés.
C’est dire.
Un soir, je marchais avec mes amis Noirs et on a été victime d’un contrôle d’identité totalement aleatoire. Même chose un jour à l’aéroport où ils ont bloqué notre taxi pour tous nous contrôler. Un ami a le statut de réfugié, les flics ne reconnaissaient pas le papier du HCR
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Ce contrôle n’était pas « aléatoire ». Au contraire, il était ciblé et bien ciblé.
Pas de vol ou de viol pour Fofana.
Interdire de vol ou de viol Fofana, c’est comme l’empêcher de respirer. C’est de la discrimination.
Et le flic voulait absolument une carte de séjour, qu’il n’avait pas. Sauf que le papier du HCR vaut pièce d’identité en Tunisie vu que pas de loi sur l’asile. J’ai failli rater mon avion à cause du contrôle qui a durer 3 plombes.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
J’ai l’impression que les flics tunisiens se foutent de l’ONU.
En tout cas, suffisamment pour lui dire que son parachutage de nègres est caduc.
Un des migrants que j’avais interrogé pour ma recherche s’est fait gravement agressé par des tunisiens un soir. Défiguré et cotes cassées. Comme il était en situation irrégulière, il a pas pu aller à l’hôpital et a du aller en clinique privé.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Ce truc me fascine.
Tous ces arabes qui parasitent nos hôpitaux avec l’aide des organisations gauchistes tout en nous crachant dessus sont chez eux des négrophobes fanatiques.
Ils laissent agoniser dans le caniveau les nègres qu’ils lynchent.
Je ne peux plus prendre au sérieux un arabe qui chiale sur le racisme.
C’est impossible.
Les chauffeurs de taxi qui me parlaient spontanément en arabe, et quand je répondais que je n’étais pas tunisienne, ils me traitaient de ka7loucha.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Lol.
C’est le truc le plus drôle.
Les tunisiens sont factuellement des semi-nègres. Quand ils voient cette mulâtresse, ils pensent que c’est une arabe.
Réalité confirmée ensuite :
A cela s’ajoutent tous les mauvais regards qu’on recevait mon copain de l’époque et moi quand on se tenait la main dans la rue. Une fois, un mec a dit « regarde, encore un k7alouche qui nous a piqué une Tunisienne.. »
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Au supermarché un jour, je portais un turban sur la tête, avec un joli noeud, et un mec random m’a dit « toi t’es tunisienne, mais ce que t’as sur la tête, ça te donne la mauvaise allure d’une Noire. »
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Les arabes détestent leur propre race.
La présence de ces nègres leur rappelle le risque du déclassement racial que leur font courir leur proximité génétique avec les cafres.
Et encore je m’estime heureuse car avec mon métissage, les gens pensaient souvent que j’étais Tunisienne. Le plus dur, c’est pour les Noirs à 100%. Pendant ma recherche, j’ai rencontré des femmes ivoiriennes victimes de traite, des hommes vivant au Gouvernorat de Medenine qui me
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Racontaient que là-bas, il y avait des bus pour Blancs et des bus pour Noirs; des cimetières ségrégués etc
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Et dire que nous en sommes à faire de négresses cannibales parlant français des parlementaires.
Invraisemblable.
Les arabes voient plus clair que nous.
Mais à part ça, la negrophobie dans les pays arabes, c’est un mythe. Je vous souhaite d’entendre un jour une femme ivoirienne pleurer en vous racontant comment elle est devenue esclave moderne en arrivant en Tunisie; et peut-être vous comprendrez.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
J’ai adoré la Tunisie, mais je pourrais jamais y habiter parce que le climat pour les Noir.e.s est juste invivable. Faut supporter quotidiennement les insultes, les regards, la suspicion de la police, le rejet.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
À savoir qu’il y a aussi 10 à 15% de https://t.co/FLTyOHiLvs.s Noir.e.s; dont certai.e.s ont la mention « affranchi » sur leurs actes de naissances, en référence à leurs ancêtres esclaves, et que pour eux.elles aussi le quotidien est ponctué d’agressions verbales ou physiques.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
« Affranchis ».
On veut le rétablissement de l’esclavage.
Et last but not least, quand j’y étais (avril 2018-juillet 2018), il y avait pas encore la loi pénalisant les crimes racistes; malgré le travail acharné de la société civile. Ce qui fait que tous les crimes restaient impunis. Purement scandaleux.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Ah oui, c’est exact.
On doit cette loi à des rabbins de New York et à la Licra.
Sans ironie.
Après la chute de Ben Ali, la Tunisie est devenue une province juive et les nègres sont désormais activement utilisés comme arme biologique contre les arabes du pays.
Comme chez nous donc.
Dit autrement, la Tunisie est devenue une démocratie.
Aucune intention de cracher sur les arabes. J’ai rencontré des https://t.co/3gaaunX5n2.s indigné.e.s de cette situation. Ce qui s’y passe n’est pas plus différent de la France; le thread vise juste à ouvrir le débat sur un phénomène trop souvient nié par les NordAf.
— Saloua ? (@Saloua_aea) 9 février 2019
Je retire de ce que truc que sous l’emprise juive, la France est devenue l’église de négrologie.
Elle veut convertir l’humanité entière au culte du dieu nègre dont elle est le bras séculier sur terre.
Les universités hexagonales sont en train de former des régiments entiers de nègres à lunettes arrogants que l’on va expédier partout où les cafres n’ont pas été divinisés.
Vous pouvez être sûrs que des missionnaires vont être envoyés dans les pays blancs d’Europe de l’Est mais aussi en Asie, dans le monde musulman.
Partout.
Avec l’aide de ces sales traînées blanches pathologiquement négrophiles.
Les putes à nègres sont notre malheur.
Les juifs et les élites françaises sémitisées regardent cette énorme masse de criquets africains comme un réservoir inépuisable d’orcs à recruter pour semer la terreur partout où c’est possible.
D’ici peu, la France multipliera les conflits diplomatiques avec les Polonais, les Baltes, les Roumains, etc., pour exiger que leurs émissaires nègres d’Erasmus venus chez eux pour les civiliser soient traités avec déférence.
Nous allons y venir. C’est inévitable.
Cette église de négrologie est dirigée par des fanatiques.
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