Captain Harlock
Démocratie Participative
14 août 2018
Voilà le sinistre futur qui se dessine pour la France et l’Europe si la machine judéo-démocratique n’est pas rapidement stoppée : la dégénérescence raciale complète.
Patricia et Yablehi souhaitaient confier leur fils trisomique de 9 ans au centre de loisirs des Gayeulles. Mais le centre a refusé de le prendre en charge. Trop compliqué, justifie la Ville.
« Fin juillet, deux jours avant l’arrivée de Mathéo au centre, on nous a prévenus qu’on ne pouvait pas amener notre fils, expliquent Patricia Oria et Yablehi Affri, les parents rennais du garçonnet. Soi-disant parce qu’il n’y avait personne pour s’occuper de lui. »
Scandalisés, ils se présentent tout de même au centre des Gayeulles, le mercredi 1er août. « Un enfant handicapé a le droit de jouer comme les autres », gronde sa maman. L’enfant est finalement accepté pour la journée, à l’essai.
Malheureusement, un incident émaille la journée. Après être allé aux toilettes, Mathéo s’est essuyé sur les murs. « Le soir même on a reçu un simple texto du responsable du centre. Il ne voulait plus que Mathéo revienne. »
Scénario identique à celui de la veille, Patricia et Mathéo sont devant le centre de loisirs des Gayeulles, le lendemain matin. Mais cette fois, ils ne sont pas autorisés à accéder. « L’année dernière, Mathéo est venu aux Gayeulles. Cela s’est très bien passé, décrit Patricia, la maman du petit garçon. Il n’avait jamais été refusé auparavant. »
Dans la journée, Patricia et Yablehi se rendent à la Maison départementale des personnes handicapées, puis à la mairie, et rencontrent l’élue de permanence. Présent durant les discussions, le responsable du centre des Gayeulles l’assure : Mathéo ne parviendrait pas à s’intégrer au groupe.
Les parents de Mathéo ont raconté leur histoire sur Facebook. Leur post, dénonçant la situation, a déjà été partagé 17 000 fois, déjà. Ils prévoient désormais de lancer une pétition, et de créer un comité de soutien. Avant, peut-être, de porter plainte. Ils s’appuient sur la loi du 11 février 2005 – pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées -, qui indique bien qu’un établissement d’accueil collectif de mineur (ACM), comme un centre de loisirs, doit considérer un enfant handicapé comme n’importe quel autre enfant. Un centre de loisirs peut refuser un enfant. Mais ce refus doit être précédé d’un dialogue approfondi avec la famille et motivé par des éléments objectifs et circonstanciés.
Pour la ville de Rennes, la faute incombe aux parents de Mathéo, qui n’ont pas prévenu le centre dans les bons délais pour lui permettre de s’organiser : « La date butoir pour l’accueil d’un enfant est au 15 juin, afin que l’on s’organise en cas de besoins particuliers, comme un handicap. Les parents de Mathéo ne l’ont pas fait, explique Patrice Allais, directeur général adjoint du pôle solidarité citoyenneté culture de la Ville. Pourtant, ils avaient bien prévenu l’année précédente. »
À l’année, Mathéo se rend dans des petits centres de loisirs, de quartiers, où il est « plus facile de l’accueillir, insiste Patrice Allais. Le centre des Gayeulles compte plusieurs centaines d’enfants, c’est moins adapté. On ne peut pas se permettre de mettre en danger l’enfant, ses camarades ou les adultes qui s’en occupent ! On fait toujours de notre mieux, mais cette fois, c’était trop compliqué. »
Voilà où nous mène les principes du bolchevisme racial juif qui infecte toutes les structures de l’Etat comme de la société. Cette traînée blanche, qui devrait normalement être exclue de la communauté pour avoir si ignoblement nui à celle-ci en se commettant avec un nègre, se met en tête de demander des comptes à ceux qu’elle plonge dans la difficulté et la honte.
Des comptes qui, bien sûr, doivent être financés par les éléments sains et productifs du peuple autochtone, déjà harassé d’impôts.
Pire encore, ce mulâtre trisomique, échec biologique à double titre, sera pour les décennies à venir un fardeau pour l’ensemble des travailleurs blancs. Il consommera bien plus de subsides que n’importe quel enfant de souche normalement constitué et mobilisera un nombre sidérant de personnels spécialisés pour un résultat nul.
C’est par ce genre de politique suicidaire que l’on prive nos enfants des moyens dont ils ont besoin afin d’alimenter, de manière prioritaire, le pullulement des pires déchets raciaux.
Avec une politique raciale de cette nature, ce siècle ne sera pas écoulé que la France abritera 40 à 50 millions de sous-hommes d’extraction afro-orientale. L’ensemble survivra dans une promiscuité repoussante tandis que les masses blanches, tenues d’une main de fer par l’état judéo-communiste, s’épuiseront à nourrir ces millions de sauvages qui les remercieront d’une haine implacable.
Ces insanités doivent impérativement cesser.
Tant que cet état judéo-socialiste pourra spolier les travailleurs, ce genre de sabotage ne cessera de prendre de l’ampleur.