Une GROSSE VACHE crise pour gratter un prêt et s’installer avec son bamboula du Cameroun

Heinrich
Démocratie Participative
25 juin 2019

Cette grosse VERRUE à bamboula m’a foutu hors de moi et j’ai une journée de merde en plus.

Le Parisien :

Ce n’est aujourd’hui qu’un bout de terrain nu à Villescrenes (Val-de-Marne), aux portes sud de l’Ile-de-France. Ce sera, certainement, demain, la jolie maison familiale de Léa et Yannick Bono. Ils, sont, à deux doigts, de pousser un « ouf » de soulagement. Et de voir, enfin, leur rêve se réaliser. « Croisons les doigts, il ne manque plus qu’une formalité au niveau de la banque. Ça a été très compliqué », explique cette employée de l’institut Curie, à Paris.

Yannick BONOBO compte faire des macaques à la série avec cette vache.

Que ce fut long… « On a commencé par vouloir acheter un bien dans l’ancien, au printemps 2018. On n’a pas trouvé ce qui nous allait. Une agence immobilière nous a conseillé de nous tourner vers la construction car nous pourrions bénéficier d’un prêt à taux zéro », se remémore Léa. « On a cherché un endroit vert, aéré, pendant deux mois. On a eu un coup de cœur assez rapide pour un terrain de 356 m2. Et nous avons signé le compromis de vente en juillet 2018. » Cette trentenaire n’en a pas encore conscience, mais le plus long, trouver un prêt, est à venir.

Car, gagnant 4 700 euros de revenus nets mensuels, ce couple a un profil atypique pour les banques : monsieur est Camerounais, avec un titre de séjour renouvelable, ils n’ont pas d’épargne et même un peu de dettes, ayant contracté l’année dernière un crédit à la consommation pour payer une partie de leur mariage.

Les recherches sont difficiles. « Pour que le dossier passe, il fallait emprunter sur 30 ans, or, depuis la fin du Crédit foncier, les banques sont très rares à le proposer », signale-t-elle. « On a trouvé une Caisse d’épargne qui était d’accord, mais au dernier moment, en mars, l’organisme de garantie bancaire a dit non. »

C’est le retour à la case départ. « Le compromis de vente arrivait à son terme, on était prêt à jeter l’éponge », poursuit Léa. « En passant par un courtier, nous avons réussi finalement à trouver, là aussi, dans une Caisse d’épargne qui accepte de nous prêter sur 30 ans. » Le coût total du projet atteint les 460 000 euros. Ils s’en tirent avec des mensualités assez élevées de 1 792 euros. Le montage financier n’a pu être réalisé que grâce à un prêt à taux zéro de 84 000 euros. « Sans cet apport, nous n’aurions jamais pu devenir propriétaire », conclut Léa Bono.

Ils ont réussi à choper un prêt pour PONDRE DES SINGES dans leur zoo.

IDF de merde.

Commenter l’article sur /dempart/