Captain Harlock
Démocratie Participative
08 Mai 2020
Mais pourquoi je hais tellement les nègres ?
En buvant mon café ce matin, je suis tombé sur cette vision d’horreur ci-dessous. Laissez-moi vous dire que j’ai connu des réveils plus enthousiasmants.
La première chose qui m’a sauté aux yeux, avant tout le reste, ce sont les poteaux odieux qu’exhibe cette grosse Blanche en guise de jambes. Il ne faut avoir aucune honte pour oser étaler cette barbaque écoeurante devant le tout-venant, surtout en remuant. Après y avoir réfléchi, j’ai compris le pourquoi du comment : seuls des nègres peuvent saliver à la vue de cette pile de gelée graisseuse. C’est justement le projet de ce verrat se tenant debout (c’est la première fois que je vois un verrat se tenir debout).
L’histoire est la suivante : ce tas de gras est semble-t-il transcendé par les borborythmes des nègres des Antilles et a cru judicieux de les reproduire dans une « chanson » diffusée sur Tik Tok. Donc, la première vidéo, c’est la danse en playback de cette truie qui mime les macaques de la Martinique qu’elle admire. Ou de la Guadeloupe, peu importe. Paraît-il que c’est du « créole », officiellement, mais ce sont vraiment des bruits de singe.
Là où l’affaire devient drôle, c’est qu’aux yeux de la négraille, il s’agit d’un odieux vol (le nègre, voleur lui-même par nature, est très sensible au droit de propriété). D’une « appropriation culturelle post-coloniale », comme disent ces hominidés.
Cette truie s’est donc longuement expliquée auprès de son public négroïde dans la seconde vidéo. Elle donne les raisons de sa passion pour le bruit cafre (suspens) :
la bite des nègres
On apprend que cette traînée obèse se fait bourriquer par un gros mulâtre des Antilles et qu’elle a déjà laissé couler de sa fente fétide un ignoble bâtard aux cheveux crépus tirant probablement sur le roux.
De vous à moi, je ne suis pas mécontent que la génétique défectueuse de ce bovidé ait fini dans l’égout nègre. C’est une victoire indéniable de l’ADN aryen.
Jusqu’à présent, je faisais preuve d’une grande modération dans mes prises de position. Mais je crois que le moment est venu de convenir que la modération n’est pas une option réaliste. Je vais devenir beaucoup plus radical dans le futur. Autrement dit, je vais aller à la racine des causes comme à la racine des conséquences.
Il y a trop de gens sur cette terre et il y a surtout trop de gens en France.
La réduction de la population apparaît comme le nouvel horizon de la réflexion aryenne au 21ème siècle. C’est une grande mission après deux siècles d’expansionnisme démographique.
Tout ceci m’amène d’ailleurs à réévaluer l’oeuvre de Joseph Staline contre lequel nous avons peut-être péché par excès de zèle. Il s’avère que, à certaines époques et sous certaines conditions, un état doit songer non pas à l’expansion de sa population mais à sa réduction pour purger les mauvaises humeurs trop longtemps accumulées dans l’organisme. Si Staline a sûrement visé très mal et parfois trop large, je retiens de sa méthodologie la diète collective et discriminante comme mesure sanitaire d’urgence.
J’évalue à 40 millions le nombre de gens pouvant vivre en France. Cela fait 15 millions de métèques à soustraire de l’équation en plus de 12 millions de cas sociaux mélenchonistes et de Boomers sociopathes.
J’invoque ici les mânes de Malthus.