Une grande étude sur le « Covid long » conclut que c’était le fruit de l’imagination de gens mentalement dérangés

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 novembre 2021

La saturation des hôpitaux n’a jamais existé.

Le Covid long n’a jamais existé.

Dans quelques années, tout le monde s’accordera à dire que cette pandémie de grippe n’a jamais existé.

Le Monde :

Fatigue chronique, essoufflement, douleurs thoraciques, musculaires ou articulaires, troubles de la mémoire immédiate ou de la concentration, céphalées, anxiété… Plus d’un mois après avoir contracté le Covid-19, certaines personnes continuent d’éprouver une variété de symptômes persistants, parfois très invalidants. Une nouvelle terminologie, dite « Covid long », forgée par les patients, s’est peu à peu imposée pour décrire cette nouvelle entité pathologique. Mais celle-ci est-elle réellement due à l’infection par le nouveau coronavirus ?

Une explosive et méticuleuse étude épidémiologique, publiée lundi 8 novembre par la revue JAMA Internal Medicine, remet en cause l’éventualité d’un tel lien de causalité. Elle n’invalide pas le fait que certaines personnes puissent souffrir d’un syndrome post-infectieux mais suggère que, d’un point de vue statistique, c’est la conviction d’avoir été infecté par le SARS-CoV-2 qui est liée aux symptômes du « Covid long », plus que le fait d’avoir été bel et bien infecté.

Dans un contexte où de nombreux patients souffrant d’un « Covid long » estiment ne pas être pris au sérieux par la communauté médicale, ces travaux alimentent un vif débat. « Il faut faire attention : nos résultats ne disent en aucun cas que les troubles rapportés par les patients sont imaginaires ou nécessairement psychosomatiques, prévient d’emblée Cédric Lemogne (AP-HP, Inserm, Université de Paris), chef du service de psychiatrie de l’adulte à l’Hôtel-Dieu, et coordinateur de l’étude. Notre analyse se borne à suggérer que la présence de symptômes prolongés ne serait pas spécifiquement associée au fait d’avoir été infecté par le nouveau coronavirus, et non que ces symptômes n’existent pas. Puisque ces patients les ressentent, ces symptômes existent par définition. »

Les patients sont surtout des patientes en manque d’attention, dépressives voire suicidaires, qui ont trouvé dans cette arnaque du « Covid long » le moyen de recevoir un surcroît d’aides diverses.

Et je ne parle pas des hypocondriaques.

Il n’y a pas un seul évènement social qui ne traîne à sa suite une cohorte d’AW toujours prêtes à exploiter le moindre filon.

Les médias du système n’ont pas hésité à utiliser ce genre de folles exhibitionnistes pour terroriser la population.

Vous pouvez toujours attendre le mea culpa des médias et de leurs « fact checkers ». Il n’y a que la plèbe qui peut être « fact checkée », pas la nomenklatura qui par définition a toujours raison.

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