Une gouine mise en orbite par la NASA commet le premier crime spatial de l’histoire en espionnant son ex-traînée depuis l’espace

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 août 2019

 

La NASA a conquis la lune avant les Soviétiques du temps où elle était sous la direction du scientifique SS Werner Von Braun.

Il est peu probable qu’elle conquiert quoi que ce soit face à la Chine maintenant que son personnel est composé de femmes, surtout si ce sont des gouines détraquées.

Europe 1 :

Une astronaute aurait usurpé l’identité de son ex-femme depuis un ordinateur à bord de la Station spatiale internationale. Si c’est avéré, ce serait le tout premier acte de délinquance commis dans l’espace.

La gauche régressive impose de nouvelles « premières », y compris au plan spatial.

Il n’y a pas si longtemps en Occident, quand les choses sérieuses étaient supervisées par des hommes, une première dans l’espace constituait un progrès tangible.

A présent, nous livrons des stations spatiales à des gonzesses qui ne savent pas réparer un lavabo.

J’attends avec impatience le premier meurtre commis dans l’espace.

J’ai déjà une idée du profil.

C’est ce qui arrive quand vous troquez la définition aryenne du progrès pour la définition hébraïque du progrès.

À l’origine, ce n’est qu’une banale affaire de divorce entre deux femmes mariées. Sauf que l’une d’elle est astronaute et pourrait avoir commis le tout premier acte de délinquance spatial.

« Une banale affaire de divorce ».

La subtilité de la presse juive m’épatera toujours.

Anne McClain est l’une des stars de la NASA, pressentie pour être la première femme à poser un jour le pied sur la lune. Elle vient de passer six mois dans l’espace, à bord de la Station spatiale internationale (ISS), tout en étant sur terre en pleine procédure de divorce avec Summer Worden. En jeu : la garde du petit garçon de cette dernière. La séparation se passe de plus en plus mal, et Summer Worden s’aperçoit peu à peu que son ex-femme semble en savoir beaucoup sur ses finances.

Summer Worden demande alors à sa banque de vérifier quels sont les ordinateurs qui ont servi à se connecter à son compte bancaire en utilisant son mot de passe et son identifiant. Mais à la surprise générale, l’un de ces ordinateurs se trouve dans l’espace et appartient à la NASA. Anne McClain reconnaît s’être connecté aux comptes de son ex depuis l’ISS, mais en toute bonne foi. Elle assure avoir pensé qu’elle pouvait encore surveiller les finances familiales.

Summer Worden et ses avocats n’en restent pas là : ils saisissent l’Inspection générale de la NASA, accusant l’astronaute d’usurpation d’identité. les enquêteurs de l’agence spatiale américaine sont donc en train de traiter ce qui pourrait être le premier délit commis dans l’espace.

Une femme.

Une lesbienne.

Qu’est-ce qui aurait pu mal tourner ?

Utiliser l’infrastructure d’un des projets occidentaux les plus avancés pour se crêper le chignon avec la gouine qui lui sert de mec, seule une traînée émancipée pouvait le faire.

Pendant ce temps-là, l’ambiance au niveau du programme spatial chinois est différente.

Déjà parce qu’il ne concerne que des hommes.

Ensuite parce qu’il est tenu d’une main de fer par un système militarisé où la moindre erreur est brutalement réprimée.

J’entrevois l’évolution de la NASA assez clairement pendant que la Chine prépare l’annexion de l’espace galactique.

Au pire, si la démocratie afro-sémitisée finit par échouer à faire voler un deltaplane, elle pourra toujours accuser les Blancs.