Captain Harlock
Démocratie Participative
28 août 2021
Une Française a appelé à l’aide alors qu’elle était agressée par des juifs qui ressortaient d’un centre de commandement hébraïque où ils conspiraient – ce que les médias appellent « une synagogue ».
La police juive l’a arrêté au motif que les victimes des juifs n’ont pas le droit de se plaindre.
Des propos effarants mais devenus hélas récurrents. Une femme a invectivé un groupe de personnes juives, samedi en milieu de journée, à Deuil-la-Barre. Selon l’Union des collectivités juives du Val-d’Oise (UCJ95), il s’agit d’une famille qui sortait de la synagogue d’Enghien-les-Bains et qui regagnait son domicile.
L’un des membres, Jonathan, un fidèle de 33 ans, avait gardé sa kippa blanche sur la tête. C’est au niveau du 5, rue Eugène Lamarre à Deuil-la-Barre, qu’ils ont vu une automobiliste sortir d’un parking puis faire une marche arrière pour se placer à portée de voix du groupe. Ils l’entendent alors dire une dizaine de fois : « Heil Hitler », avant d’ajouter : « Vous les juifs, vous êtes la honte de la France ».
Choqué, Jonathan est allé porter plainte au commissariat de police d’Enghien-les-Bains. Il a pu décrire cette femme qui est de type européen, a les cheveux longs et blonds et semble âgée d’environ 40 ans. Il a aussi été en mesure de donner le type du véhicule et le numéro de la plaque d’immatriculation que son frère aussi présent sur place avait noté. Les policiers ont été en mesure d’identifier un suspect.
Il s’agit d’une femme de 58 ans qui habite Enghien-les-Bains. Elle a été interpellée et placée en garde à vue. Selon nos informations, elle a reconnu avoir prononcé ces mots estimant qu’ils relèvent de la liberté d’expression.
C’est la version juive de l’affaire. Nous ignorons tout des circonstances ou de la version de cette femme qui, très certainement, aurait des choses à dire sur ce qui s’est produit.
Déjà, de prime abord, les Français sont par défaut victimes des juifs. C’est le point de départ. Ensuite, les dénoncer pour les prédateurs dangereux qu’ils sont relèvent simplement de la légitime défense. Mais même sans ça, cette femme a sûrement des choses à dire et le fait est que la presse juive ne l’interroge pas.
Nous avons seulement des juifs en kippas qui hurlent.
Or, la loi prévoit jusqu’à six mois de prison et 22 500 euros d’amende pour les injures publiques en raison de l’appartenance ou non « à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». Elle est convoquée pour être jugée devant la 6e chambre du tribunal correctionnel de Pontoise le 26 octobre.
Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) a décidé de se porter partie civile aux côtés de la victime et a chargé son conseil Me Franck Serfati de déposer plainte.
« Tout cela est dans la lignée des actes que l’on subit depuis 20 ans, déplore René Taïeb, président de l’UCJ 95. J’observe une parole antisémite libérée et impunie sur Internet et qui est le reflet des discours antisémites qui se développent en France. »
S’il y a une progression des discours contresémites, il faudrait peut-être que ces juifs se demandent pourquoi. Les juifs ne se demandent jamais pourquoi parce que ces parasites étrangers savent que c’est en raison de leur parasitisme destructeur.
Ils préfèrent accuser leurs victimes dans leur presse.