Captain Harlock
Démocratie Participative
13 juin 2019
La marée colorée est sans fin.
“Depuis le début de la crise politique en Haïti, nous assistons à une recrudescence d’arrivées de ressortissants de ce pays”, raconte un membre de de la Cimade Guadeloupe, une association d’aide aux étrangers. Vingt-six Haïtiens ont été renvoyés mercredi 12 juin dans leur pays après s’être échoués lundi sur les côtes de la Guadeloupe, a-t-on appris de source policière.
Les Haïtiens et leur passeur, un Dominiquais, ont prétendu avoir été en route pour Saint-Thomas (îles Vierges des États-Unis) dans la mer des Caraïbes, selon la source policière. Leur bateau s’est échoué lundi sur un rocher émergé au Nord de la Guadeloupe, dans l’une des zones connue pour être les plus ardues du parcours de la Route du Rhum.
Récupérés par les effectifs des douanes, des sapeurs-pompiers et de la SNSM, les passagers du bateau, dont la santé n’était pas en danger, ont été placés directement dans une “zone d’attente temporaire”, proche de l’aéroport, avant d’être renvoyés en Haïti, a indiqué à l’AFP la police aux frontières.
Cette migration est loin d’être nouvelle, et se fait principalement en direction de l’Amérique du Sud et de la République Dominicaine voisine. Mais selon l’antenne guadeloupéenne de la Cimade, le nombre de Haïtiens qui fuient vers les îles françaises a augmenté ces dernières semaines avec la crise politique et sociale qui paralyse de nouveau l’île depuis plusieurs mois.
Les Haïtiens sont ce qui se fait de pire en terme de sauvagerie africaine dans la région des Caraïbes.
Même les autres nègres les redoutent.
En fait, ces animaux ont déjà infiltré nombre de possessions françaises dans le secteur, à commencer par Saint Martin.
Les collines de cette île sont infestés de ces zombies qui règnent sur le trafic de drogue.
nt. Jusqu’à il y a peu, même le Chili était la cible de leurs assauts, s’établissant à un rythme terrifiant dans le pays.
Et bien sûr, Saint Domingue.
Excité à l’idée d’utiliser l’arme biologique nègre dans toute la région, Bergoglio mobilise le clergé catholique pour appuyer de toute sa force cette infiltration.
Oui, ces nègres de Haïti sont catholiques.
Par conséquent, ce sont nos frères, à égalité.
Et l’invasion s’intensifie.
Ils arrivent sur des navires qu’ils capturent après avoir exécuté et dévoré leurs passagers.
Une partie d’entre eux finiront par rejoindre la France métropolitaine sur demande de nos nègres locaux. L’administration sait mener ces opérations de transfert en toute discrétion, de préférence de nuit.
Ces haïtiens ont un avantage considérable aux yeux de nos autorités : ils parlent la langue de Molière.
Jugez-en plutôt.
La haine raciale envers l’homme blanc est en outre gravé dans l’ADN du nègre de Haïti. C’est le premier à avoir mené une révolution raciale se terminant par le génocide complet des Français au 18ème siècle.
En février et mars, Dessalines parcourut les cités d’Haïti pour s’assurer que ses consignes étaient exécutées. Dans de nombreux cas, malgré ses ordres, les massacres ne furent pas menés avant qu’il se rende sur place en personne.
Le déroulement des tueries fut presque identique dans chaque ville que Dessalines visita. Avant son arrivée, seuls quelques meurtres avaient été commis, en dépit de ses ordres. Quand Dessalines arrivait, il commençait par parler des atrocités commises par les représentants de l’ancien pouvoir blanc, comme Rochambeau et Leclerc, après quoi il exigeait qu’on exécute ses ordres et qu’on tue en masse les habitants blancs du secteur. Il aurait aussi ordonné que les habitants réticents prennent part aux massacres, en particulier les hommes de sang mêlé, pour que la responsabilité des tueries ne retombe pas uniquement sur la population noire. Les massacres commençaient alors dans les rues et dans les environs des villes. En parallèle, des pillages et des viols se déroulaient.
Le plus souvent, les femmes et les enfants étaient tués en dernier: Dessalines n’avait pas spécifié que les femmes blanches devaient être tuées, et ses soldats semblent avoir été relativement hésitants pour cette partie des massacres. À la fin, les femmes et les enfants étaient pourtant mis à mort à leur tour, même si c’était habituellement un peu plus tard que les hommes. L’argument invoqué pour l’assassinat des femmes étaient que les Blancs ne pourraient pas être définitivement éradiqués si leurs femmes étaient épargnées et pouvaient donner naissance à de nouveaux Français blancs. Avant de quitter une ville, Dessalines faisait savoir qu’il avait décrété une amnistie pour tous les Blancs qui avaient survécu aux massacres en se cachant. Mais quand ces malheureux sortaient de leur abri, ils rejoignaient les autres dans la mort. Cependant, de nombreux Blancs furent cachés et évacués clandestinement jusqu’à des bateaux par des étrangers.
Quand je parle de ces zombies, ce n’est pas fortuit.
Le zombie est une spécificité du vaudou haïtien.
Un des meneurs de cette révolution génocidaire, Toussaint Louverture, est désormais un héros de la France mulâtre.
Et le modèle de ce qui arrivera demain dans les rues des villes de France. Au sens propre comme au sens figuré.