Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
Captain Harlock
Démocratie Participative
10 mars 2021
Le principal argument du système en faveur du contrôle permanent des populations grâce à un passeport sanitaire repose sur l’idée que la vaccination résoudra tous les problèmes.
Il existe donc deux catégories de personnes : les vaccinés et les non-vaccinés. Les premiers sont théoriquement délivrés du Covid19, les seconds non ou pas encore.
Mais en fait, il n’y aura jamais de délivrance. La vaccination doit être perpétuelle pour que le contrôle reste perpétuel. C’est précisément ce qui vient d’être annoncé.
Une nouvelle étude examinant l’efficacité de la génération actuelle de vaccins contre les variantes britanniques et sud-africaines du SRAS-CoV-2 donne à réfléchir et soulève le spectre d’une réinfection généralisée.
L’étude, publiée dans Nature le 8 mars, avertit que la génération actuelle de vaccins et de traitements à base d’anticorps monoclonaux pourrait perdre la course aux armements contre le coronavirus, ce qui augmenterait la possibilité décourageante d’une réinfection illimitée, à moins que le déploiement du vaccin ne soit considérablement accéléré dans le monde entier pour prévenir de nouvelles mutations.
Les conclusions de l’étude sont actuellement confirmées par les derniers résultats concernant le vaccin Novavax, qui a fait état d’un taux d’efficacité de 90 % contre la variante britannique, mais de seulement 49,4 % contre la variante sud-africaine.
« Notre étude et les nouvelles données des essais cliniques montrent que le virus se déplace dans une direction qui lui permet d’échapper à nos vaccins et thérapies actuels qui sont dirigés contre le pic viral », déclare l’auteur principal de l’étude, David Ho.
Ho a averti que, avec la « propagation rampante » continue du virus dans certaines régions du globe, l’humanité « pourrait être condamnée à poursuivre continuellement l’évolution du SRAS-CoV-2, comme nous l’avons fait depuis longtemps pour le virus de la grippe ».
Il a appelé à un redoublement des efforts d’atténuation de concert avec une accélération de la mise en place des vaccins, faisant valoir que le temps est un facteur essentiel lorsqu’il s’agit d’éradiquer définitivement la menace posée par le coronavirus, plutôt que de le laisser muter et persister indéfiniment.
Ho et son équipe ont constaté que les anticorps des personnes ayant reçu les vaccins Pfizer-BioNTech ou Moderna étaient moins efficaces pour neutraliser les variantes britannique et sud-africaine, avec une efficacité deux fois moindre dans le premier cas et jusqu’à 8,5 fois moins d’activité neutralisante dans le second.
« La baisse de l’activité neutralisante contre la variante sud-africaine est appréciable, et nous constatons maintenant, sur la base des résultats de Novavax, que cela entraîne une réduction de l’efficacité protectrice », déclare M. Ho.
L’étude n’a pas examiné la variante brésilienne, qui présente des mutations de la protéine de pointe similaires aux variantes britannique et sud-africaine.
« La préoccupation ici est que la réinfection pourrait être plus probable si l’on est confronté à ces variantes, en particulier celle d’Afrique du Sud », dit Ho.
Les masques ne servent à rien mais vous les porterez indéfiniment.
Les vaccins ne servent à rien mais vous devrez vous en faire injecter indéfiniment.
Le confinement ne sert à rien mais il sera mis en place, globalement ou localement, indéfiniment.
Vous vivrez au milieu des noirs et des arabes indéfiniment.
Vous paierez 80% d’impôts et de taxes indéfiniment.
Vous n’aurez le droit de faire qu’une chose : remerciez le système. Quand vous aurez dépassé votre date de péremption fixée par le système, vous serez euthanasié dans une unité spéciale Covid19 et personne ne saura que vous aurez jamais existé, toutes les archives ayant effacé les traces de votre vie.
