Une discussion sérieuse à propos des chinetoques

La Rédaction
Démocratie Participative
29 octobre 2024

 

Identification de l’agresseur présumé accusé d’avoir versé du café sur un bébé

Australie : Ce petit garçon australien a subi des brûlures sur tout le corps après qu’un immigrant chinois lui a jeté du café chaud dessus.

L’immigrant s’est enfui en Chine après que la police a refusé de rendre son identité publique pour ne pas « attiser les tensions raciales ».

L’agresseur a expliqué à ses amis qu’il était en colère après le rejet de sa demande de visa et qu’il voulait faire du mal aux Australiens.

Un groupe de nationalistes australiens a manifesté devant l’ambassade, brûlant des drapeaux chinois et demandant l’extradition de l’agresseur vers l’Australie.

Ces hommes australiens réclament justice tandis que le gouvernement traître garde le silence.

Pour leurs futurs besoins électoraux, la gauche anglo-américaine repeuple le Canada, les États-Unis, l’Australie et la Nouvelle-Zélande de millions d’Aztèques, de nègres et de chieurs de rue du sous-continent indien, mais pas seulement.

Elle a aussi opté pour des masses de punaises venues des coins les plus reculés de Chine et j’aime autant vous dire que vous ne gagnez pas vraiment au change.

Du moins, pour autant que les Blancs soient concernés.

Quiconque a vu une de ces colonnes de criquets foncer sur lui sait de quoi je parle.

Les zones les moins barbares de Chine peuvent se compter sur les doigts de la main et se résument aux villes traditionnellement ouvertes au monde extérieur par l’homme blanc au 19 siècle.

Les Français y ont joué leur part. Les chinetoques étant d’une nullité insigne à la guerre, les Occidentaux les ont écrasés malgré un rapport de un contre cinq à 10,000 kilomètres de l’Europe.

Évidemment, quand on croule sous les nègres et les Algériens comme c’est notre cas en France, on peut finir par croire qu’une immigration chinoise serait presque la panacée.

Certes, vous n’aurez pas la violence à laquelle les bêtes afro-maghrébines nous ont habitués, mais vous aurez d’autres choses loin d’être enthousiasmantes.

Contrairement à nos macaques musulmans, les chinetoques s’assimilent.

C’est la mauvaise nouvelle.

Les chinetoques sont des bots, vous pouvez les programmer comme vous voulez. En Occident, cela implique d’être programmés pour être de zélés goyim, dogmatiquement, mais sournoisement antiblancs.

Dépourvus de toute vie intérieure et de toute émotivité digne de ce nom, mais encore plus dépourvus d’une quelconque culture digne de ce nom – la « culture chinoise » consiste à dévorer collectivement tout ce qui se meut -, les chinetoques trouvent dans la culture occidentale un rayon de lumière qui éclaire soudainement leur nuit intérieure et les attire comme les affreux papillons de nuit qu’ils sont pratiquement tous.

Ensuite, ils copient/collent à l’infini, car les chinetoques n’ont pas de vie en propre.

Contrairement à l’Aryen, la personnalité intime n’existe pas chez eux.

C’en est tout à la fois grotesque et hilarant à force.

Pour cette raison, il n’y a pas de « génie » chez les chinetoques, simplement des robots qui copient/collent ce que jamais leur cervelle mimétique ne pourra avoir l’idée de créer. Et comme ils n’ont pas d’émotivité au sens où nous l’entendons, ils la singent aussi.

La « révolution culturelle » initiée par le bolcheviste Mao a éradiqué le peu de culture traditionnelle qui existait en Chine. En détruisant le faible patrimoine spirituel qui tenait lieu de culture aux chinetoques, en détruisant l’antique langue chinoise pour la remplacer par une monstruosité moderne, le système marxiste à parti unique a servi de précieux bulldozer à la société de consommation que Pékin a mis en place à partir des années 1970, en concertation avec les banquiers juifs de New York.

Cette alliance entre la juiverie financière et la fourmilière sino-marxiste est illustrée en une photo.

D’abord masse d’insectes corvéables à merci sous le fouet du parti communiste ayant succédé à leurs empereurs, les chinetoques ont accumulé le capital et les technologies nécessaires à la création d’une copie de la société de consommation américaine.

Les gardes-rouges, extirpés de leurs terres désolées où ils croupissaient sous le joug de seigneurs féodaux d’une sauvagerie inouïe, ont été transformés en 40 ans en consommateurs.

Les célébrations d’Halloween se poursuivent dans certains parcs de Shanghai, comme 锦江乐园.

Des forces de police massives ont été déployées pour expulser les cosplayers des routes et des trottoirs, en particulier dans le parc 巨鹿路, où s’est déroulé l’an dernier un grand rassemblement pour Halloween.

Le gouvernement chinois sait qu’il n’a rien à opposer à la culture occidentale, y compris la culture occidentale dégénérée d’exportation américaine, sauf la répression.

Et encore, cela n’offre qu’un bref répit.

1/ 🚨HappeningNow : La police chinoise réprime #Halloween avec une intensité inattendue : rues de Shanghai bondées de voitures de police, barricades humaines de policiers, barrières routières…Toute personne déguisée est immédiatement arrêtée, contrainte de se démaquiller, voire de se déshabiller.

Mais pourquoi ?

2/ Il y a une semaine, les autorités ont ordonné aux entreprises de Shanghai d’interdire les costumes et les décorations dans les quartiers clés, et les contrevenants ont été expulsés. Les écoles ont mis en garde les élèves contre la célébration d’Halloween en raison de l’influence étrangère, et des mots clés ont été censurés en ligne.

3/ Le 24 octobre, le propriétaire d’un bar taïwanais à Shanghai a publié une vidéo dans laquelle il déclare que la police l’a averti de ne pas organiser d’événements sur le thème d’Halloween et de ne pas exposer de costumes, sous peine d’être fermé.

Voici pourquoi, cette année, #Halloween en Chine est devenu aussi politiquement sensible que #June4th.

4/ En 2023, Halloween a eu lieu un an après la fin du #CovidLockdown en Chine. À Shanghai, des milliers de personnes sont descendues dans les rues pour fêter l’événement avec du cosplay. Pour beaucoup, il ne s’agissait pas seulement d’Halloween, mais d’une occasion d’exprimer leur colère contre la censure, les politiques de verrouillage, la hausse du chômage, etc.

5/ Leurs expressions politiques étaient très créatives : L’un d’eux s’est déguisé en chanteur d’opéra de Pékin dans le film « Adieu ma concubine », montrant ainsi qu’il avait été persécuté pendant la révolution culturelle. Un autre a incarné une caméra de surveillance, se moquant de l’intense surveillance de la Chine.

La seule chose qui empêche la Chine de pourrir dans l’individualisme de marché est identique : le mimétisme biologique. Il est impossible pour un métèque de s’insérer dans cette masse automatisée dépourvue de toute espèce de conscience pour y intriguer. Les juifs, eux-mêmes adeptes du mimétisme pour tromper leurs victimes, y sont immédiatement repérés.

Si c’est un atout à notre époque, la masse chinetoque restera une friche pour les âmes du monde, quand bien même sera-t-elle demain la première puissance économique et financière de la planète du simple fait de sa masse après qu’elle a copié ce que nous avons déjà.

L’économique n’est pas tout. L’Inde était la première puissance économique du monde au 15e siècle, ce qui n’a jamais empêché cette terre perdue d’être le pays des démons et de la crasse la plus indicible.

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