Une communiste germano-iranienne monte un mouvement contre le repeuplement de l’Allemagne par des sous-hommes arabo-nègres voulu par les juifs

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 septembre 2018

Nous vivons une phase d’accélération politique majeure en Europe marquée, en somme, par l’effondrement de l’ordre mondial édifié en 1945 par les Alliés et les Soviétiques sous l’égide des juifs.

Vous avez maintenant en Allemagne cette femme de gauche radicale, Sarah Wagenknecht, qui attaque frontalement la gauche immigrationniste.

Les juifs ne vont pas longtemps rester inactifs face à elle.

Le gouvernement d’occupation de l’Allemagne a été explicitement édifié contre le national-socialisme et toute forme d’idée nationale allemande. Compte-tenu des accords de Yalta, les marxistes allemands sous direction juive étaient donc tolérés en RFA durant la Guerre Froide.

Mais avec la disparition de l’URSS et le ralliement de la gauche au projet judéo-globaliste, les masses d’électeurs populaires se reportent en masse sur le vote nationaliste, c’est-à-dire l’AfD.

Cette Sarah Wagenknecht l’a parfaitement compris, tout comme Georges Marchais l’avait compris.

Ce ne sont pas ces agitateurs communistes qui, soudainement, découvrent la vérité. Ils comprennent simplement qu’ils sont politiquement finis s’ils n’empêchent pas rapidement le prolétariat d’aller chercher ailleurs ce qu’ils veulent face à l’invasion arabo-nègre voulue par la finance juive et le patronat.

Cette Sarah Wagenknecht, de par son caractère radical et la subversion potentielle de la gauche qu’elle peut opérer au détriment des juifs, va bientôt figurer sur leur liste noire.

Une autre raison va inévitablement exciter la haine des juifs : Wagenknecht est à moitié iranienne. Je ne crois pas qu’il soit nécessaire d’expliquer en quoi une femme germano-perse hostile au repeuplement de l’Allemagne par des migrants colorés – et se trouvant à la tête d’un mouvement de gauche radicale pro-palestinien -, va plonger les juifs dans une rage folle.

Wagenknecht a dénoncé très justement les guerres juives menées sous drapeaux américain, britannique et français au Moyen-Orient ainsi que leur soutien et celui d’Erdogan aux djihadistes en Syrie.

Le fait est que nous n’avons pas à faire à une simple blédarde musulmane mais bien à une professeur d’université qui, pour partiellement orientale et marxiste qu’elle soit, paraît aussi souple qu’une porte de prison.

Je crois à la prédominance des déterminismes raciaux dans la marche des peuples. Et le passif entre les Germains et les Perses d’une part et les juifs de l’autre me paraît plus évocateur que toutes ces histoires d’orthodoxie hégélienne.

J’ai parlé longuement hier de la nécessité absolue de briser l’esprit sémitique qui s’est substitué à l’esprit européen. C’est ce que le Perse Mahmoud Ahmadinejad appelait « l’idole de l’holocauste ».

Je ne suis pas un fan du Khomeinisme mais sur ce point très précis, à savoir la colonisation spirituelle de l’Europe par ces sales juifs, je ne peux que reconnaître que cet Iranien a dit la vérité.

Il est évident que cette évolution renforce de facto les nationalistes qui peuvent dire, à raison, que leur constat est juste puisque même des membres de l’extrême-gauche reconnaissent que l’invasion de millions de réfugiés nègres de Syrie ne va pas rendre le prolétariat allemand plus prospère.

Pour les nationalistes, c’est une opportunité majeure de prendre le système à revers sur l’immigration et de l’encercler.

Dans l’immédiat, l’important est de briser la religion immigrationniste qui nous explique que le bonheur sera complet sur terre lorsque le dernier pays blanc sera repeuplé de personnes colorées. Si l’idée se répand que l’immigrationnisme est une citadelle assiégée défendue par une poignée d’oligarques, il deviendra clair, aux yeux du peuple partout en Europe, que seule une minorité veut de cette immigrationnisme contre la majorité.

Après quoi, la conclusion n’est plus difficile à tirer : qui peut vouloir imposer, dans un régime démocratique où la loi du nombre est la seule qui est censée compter, la volonté d’une minorité à la majorité ?

Il est surtout probable qu’à la vue des positions de Wagenknecht les ouvriers allemands ne resteront pas à gauche pour autant car la gauche demeurera sous la coupe des globalistes juifs.

Cela achèvera en revanche de les désinhiber et les poussera dans les bras de l’AfD.

Cela nous montre à quel point nous devons être vigilants de ne pas nous couper du prolétariat.