« Une chose qui pourrait justifier le comportement des Israéliens : si les gendarmes avaient l’air arabe »

La Rédaction
Démocratie Participative
09 novembre 2024

 

L’arrestation des gendarmes français par le régime colonial juif en Palestine a rapidement été enterrée par les médias, mais il y a eu diverses tentatives de justification de leur part.

La plus audacieuse est celle de LCI : si ces gendarmes avaient des têtes de bougnoules, alors la réaction de la police juive est assez compréhensible.

En écoutant ça, on a peine à croire que ce sont les mêmes médias qui traquent la moindre forme de « racisme » chez les Blancs submergés par l’immigration afro-musulmane.

Le théocratie juive dans lequel nous évoluons désormais dissimule de moins en moins la hiérarchisation raciale des droits, avec les Blancs tout en bas de l’échelle.

Avec l’affaire d’Amsterdam, c’est encore plus flagrant.

Les juifs commettent des crimes à grande échelle depuis plus d’un an en Palestine et au Liban sous les acclamations des plateaux de LCI, BFMTV ou CNews.

En revanche, qu’un seul provocateur juif soit passablement malmené dans une embrouille de rue et c’est le fondement de la création qui semble sur le point de s’écrouler.

Obsession névrotique des boomers depuis qu’ils sont nés, l’amour obligatoire des juifs est devenu le nouveau nationalisme officiel.

Les Français ont totalement disparu de l’équation de ces gens, RN compris.

C’en est grotesque.

Tout le monde est nationaliste en ce bas monde, la question est de savoir quelle nation on sert.

À droite, servir les juifs tient désormais lieu de nationalisme, voire d’ultra-nationalisme. Le phénomène de compensation après 80 ans de conditionnement antifasciste en est la cause principale.

Tout cela était prévisible, mais pour le comprendre il fallait déconstruire ce processus de lavage de cerveau qui repose sur cette histoire absurde de chambres à gaz.

Cette histoire a rendu les Blancs fous, littéralement fous.

On ne peut pas envisager de processus de guérison de la race blanche sans traiter le mal à la racine.

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