Une Aryenne sûre d’elle et dominatrice rappelle que le tchip est un son nègre dégueulasse, met Rokhaya Diallo en état de transe simiesque

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juin 2019

Pour ceux qui n’ont pas l’habitude – le privilège, devrais-je dire – de survivre au milieu des nègres, une séance éclair de remise à niveau sur le thème du tchip.

Un tchip est son et aussi la langue vernaculaire de l’Afrique nègre. Accessoirement, il devient, avec le twerk, un des moyens de descente vers le nègre de la jeunesse aryenne qui y est exposée dans les écoles de la République.

Maintenant que vous êtes informé en détails de cet apport ethnologique inestimable, votre réaction pourrait être celle de cette française, prénommée Juliette, exposée à cette souillure sonore.

Attention, ça commence.

Notez bien : si vous trouvez ce son dégueulasse parce que vos ancêtres ont passé les 5 derniers siècles à construire une des plus belles langues du monde, vous êtes :

  • Une ordure de Français en France, i.e. un raciste
  • Un idiot inculte

Juliette a cependant du mordant.

Elle n’aime pas les négresses ni le fait qu’elles souillent l’espace sonore français et le fait savoir.

Le nègre prétend pouvoir parler de votre culture, de votre race, passer en revue ce que vous faites et vous faire savoir que vous avez vocation à disparaître de votre propre pays.

En revanche, les Blancs doivent s’écraser, se prosterner au pied du nègre qui l’envahit et s’extasier devant ce qui lui tient lieu de culture.

C’est-à-dire le tamtam et la copulation.

Pour en revenir au tchip, comme je le disais, c’est la langue de l’Afrique nègre. Elle recoupe tout ce que peut penser et dire un nègre. Donc, un seul son suffit.

Rappeler au nègre sa réelle place est ce qui lui fait le plus mal car il la connaît mieux que quiconque. Comme le juif, il sait que son parasitisme ne dépend que de l’intimidation du Blancs.

A) « La plus grande des classes »

Taubira

« MA » en majuscules AVEC LE DRAPEAU, des fois qu’on oublierait que c’est une négresse du Sénégal.

Cela me semble pourtant évident, il suffit de regarder sa face.

C’est l’occasion de rappeler que le nègre a le cerveau d’un enfant de huit ans. Son esprit élémentaire fonctionne au caprice et il devient toujours plus vorace devant quelqu’un qui cède pour l’apaiser.

Pour discipliner un nègre, il faut le chicoter à froid en affirmant totalement sa supériorité raciale et culturelle. Le nègre ne peut rien extorquer d’un raciste bien dans sa tête.

Le nègre vit encore plus mal le fait que l’on veuille la séparation raciale car cet hypocrite sait que c’est lui qui a tout à y perdre.

Le spectre du bantoustan le terrifie.

La négraille, dans sa stupidité fondamentale, conspire pour perdre définitivement l’humanité et la faire plonger dans la nuit définitive.

Il n’appartient qu’à nous de conjurer cette vision infernale où une humanité négrifiée retomberait au niveau des primates, se contentant de commettre quelques sons en guise de langage.

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