Captain Harlock
Démocratie Participative
29 Décembre 2020
Vous pouvez d’ores et déjà vous préparer à un troisième confinement, beaucoup plus drastique que le deuxième.
« Nous prendrons les mesures nécessaires si la situation devait s’aggraver ». Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, le ministre de la Santé Olivier Véran a ouvert la voie à un éventuel troisième confinement. Moins d’un mois après la fin du deuxième confinement – plus souple que celui imposé en mars pour faire face à l’épidémie de coronavirus – la France pourrait donc entamer 2021 avec de nouvelles restrictions sanitaires.
Avec 12.000 nouvelles contaminations quotidiennes en moyenne en France ces sept derniers jours, l’objectif des 5.000 cas fixé par le gouvernement à la sortie du précédent confinement semble désormais bien loin. Dégradée dans certaines régions, à l’Est, en Bourgogne et dans les Alpes-Maritimes notamment, la situation sanitaire a motivé la tenue d’un conseil de défense sanitaire mardi à l’Elysée.
Les cas de « contaminations » n’ont aucune signification. C’est le simple résultat des tests. Le nombre de morts reste dérisoire.
En plus, le gouvernement a donné l’ordre d’arrêter de décompter les cas de morts de la grippe depuis mars dernier.
Chaque année, jusqu’à 20,000 personnes meurent de la grippe en France. Vous pouvez parier que tous ces morts sont versés dans les « décès par Covid » depuis 8 mois.
Avant de continuer, je répète encore une fois le plus important : tout cela n’a rien à voir avec un quelconque virus ou une quelconque épidémie. C’est une campagne de guerre psychologique montée de toutes pièces pour justifier la prise de contrôle autoritaire de l’économie occidentale. Cette prise de contrôle passe par la destruction de l’économie privée et c’est exactement ce qui est en train de se produire sous nos yeux.
Le but des élites est de créer une économie contrôlée par les grandes banques centrales, les gouvernements et quelques gigantesques multinationales du secteur numérique. Tout le reste doit être démantelé.
En revanche, des disparités importantes existent entre les territoires avec un « taux de variation Est-Ouest très marqué », reconnaît l’épidémiologiste. Certains élus locaux appellent par ailleurs depuis plusieurs jours à un reconfinement localisé. Une option balayée par le professeur Djillali Annane, chef du service de médecine intensive et réanimation à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches. « Je ne crois pas du tout à un reconfinement territorialisé. On a bien vu que cela n’avait pas fonctionné en Allemagne. Qui en sera responsable localement ? Le préfet ? Les présidents de région ? Et quels seront les critères pour décider des mesures mises en place ? Cela risque d’entraîner trop d’hétérogénéité ».
Contrairement à Martin Blachier, Djillali Annane estime que les autorités sanitaires sont en train de perdre le contrôle de l’épidémie : « À titre d’illustration, sur le week-end qui vient de s’écouler, on a eu autant de cas graves admis dans notre service que sur les 8 jours précédents. À la fin du mois de novembre, on avait un cas tous les 2 ou 3 jours. Depuis la mi-décembre, on était à un cas par jour. Et ce week-end, on a eu 8 cas en l’espace de 2 jours. La situation actuelle me rappelle le mois de mars ».
Pour les deux médecins, le comportement de la population dans les jours à venir sera déterminant. Le couvre-feu, exceptionnellement levé le soir de Noël sera maintenu pour la soirée du 31 décembre. Et la reprise de l’activité à la fin des vacances scolaires pourrait elle aussi jouer un rôle important souligne Martin Blachier : « Si les entreprises imposent un retour au travail massif en janvier, cela pourrait relancer l’épidémie. Le recours au télétravail pendant 3 ou 4 semaines serait préférable ».
Inquiet, Djillali Annane préconise un retour rapide à un confinement strict. « Le deuxième confinement était expérimental. La question posée à l’époque était : Est-ce que l’on peut conserver un certain niveau d’activité économique et contrôler l’épidémie ? La réponse est non, on le voit bien. Donc, si on veut arriver à une reprise de contrôle de l’épidémie, il faut renouveler le confinement de mars mais pour une durée beaucoup plus courte de 10 à 15 jours maximum ».
Une éventualité d’ores et déjà redoutée par les acteurs des secteurs économiques les plus touchés. Dans un communiqué diffusé dimanche, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a appelé à « ne pas banaliser le confinement », jugeant qu’il devait être « la dernière extrémité pour mettre fin à une situation incontrôlable, et non une simple hypothèse parmi d’autres ».
Ce maghrébin est un provocateur stipendié.
Un confinement total de 10 jours n’aura aucun effet sur une pandémie fabriquée par les médias.
Il s’agit de briser économiquement tout ce qui peut l’être en supprimant toute visibilité pour le secteur privé.
En fait, un confinement total de dix jours est beaucoup plus destructeur car le message implicite est que ce modèle pourra être répété beaucoup plus facilement. C’est suffisant pour paralyser l’économie réelle pendant toute l’année 2021.
Les juifs se mobilisent sur BFM Drahi pour s’assurer que ce soit le cas.
Comme ce Jean-Jacques Zambrowski aujourd’hui même.
Coronavirus: pour Jean-Jacques Zambrowski (médecin en médecine interne à l’hôpital Bichat), « il faut être encore plus exigeant » pic.twitter.com/jWzWmo8Rhf
— BFMTV (@BFMTV) December 28, 2020
Le troisième confinement, peu importe son format, est déjà décidé.