Captain Harlock
Démocratie Participative
06 avril 2020
Et à la stupéfaction de personne, nous apprenons que les gens qui meurent du Coronavirus sont en fait des gens obèses shootés au sucre raffiné qui meurent à cause de leur déplorable hygiène alimentaire.
Autrement dit, ils se suicident.
Les personnes diabétiques ont un risque accru de développer une forme grave du Covid-19, cette pneumonie donnée par le coronavirus Sras-Cov 2. C’est en effet ce qu’explique le professeur Ronan Roussel, chef du service d’endocrinologie, diabétologie et nutrition de l’hôpital Bichat à Paris. Si on a du diabète, on a plus de risque d’avoir une forme sévère de Covid-19, a-t-il ainsi déclaré à nos confrères de France 3.
Le professeur Roussel s’appuie sur des études chinoises, mais aussi américaines et italiennes sur la question. Selon ces premières analyses, être diabétique multiplierait par 2 à 4 le risque de décès lié à l’infection du coronavirus.
Selon le médecin qui est aussi coordinateur de la Fédération des services hospitaliers de diabétologie parisiens, ces études révèlent qu’entre un quart et un tiers des malades décédés après une contamination au Covid-19 sont diabétiques.
En France, entre 6 et 8 % de la population souffrent de diabète, indique France 3. Un chiffre qui augmente plus fortement encore chez les personnes âgées. Selon la Fédération française des diabétiques, le nombre de personnes âgées de 75 ans et plus souffrant de diabète en France atteint en effet 26 % (1 sur 4).
Pour faire face à l’inquiétude des diabétiques et répondre à leurs interrogations, un site et une nouvelle application baptisés Covidiab ont été mis en service par l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et l’Université de Paris.
Dans l’immense majorité des cas, ces diabétiques le deviennent parce qu’ils avalent des quantités énormes de sucre blanc au quotidien, pendant des décennies. Tantôt sous forme liquide, tantôt sous forme solide.
A 8 heures, à midi, au goûter, le soir. Les week-ends.
Tout est prétexte à s’injecter ce poison dans les veines.
Comme de mettre du sucre dans son café.
Ou regarder sa série féministe préférée en avalant des pots entiers de glace.
Parmi les dégâts que fait le sucre blanc sur votre organisme, il acidifie votre sang et vous empêche d’assimiler correctement la vitamine B. Progressivement, votre organisme devient incapable de l’assimiler et le stocke sous forme de gras partout.
Vous vous encrassez et vous déréglez complètement le rythme de votre organisme.
Il n’y a pas de « bon » sucre blanc. Sous aucune forme. C’est une drogue. Une drogue féminine.
D’une manière générale, vous n’avez pas besoin de consommer de produits sucrés artificiellement. Votre organisme n’en réclame pas. Quelques fruits suffisent.
Observez tout ce qui contient du sucre blanc autour de vous. C’est absolument partout. Parce que c’est addictif et que tout ce qui addictif permet de fidéliser un client. Dans cet univers ultra-consumériste juif, vous n’êtes considéré par le système que comme un tube digestif doté d’un porte-monnaie.
Faire de vous des zombies dépendants est l’objectif principal.
Mais vous n’êtes pas obligé d’enrichir des multinationales en consommant du sucre blanc. Il vous suffit de le bannir de votre vie.
Si quelqu’un détruit méthodiquement son organisme en consommant du sucre blanc, de la farine blanche, du tabac, des antidépresseurs, je ne vois pas bien de quoi il viendrait se plaindre quand un petit virus vient le balayer.
Vous n’êtes pas condamné à mourir d’un virus insignifiant.
Il vous suffit de boycotter le poison vendu par l’agro-business mondialiste.