Captain Harlock
Démocratie Participative
07 août 2019
Un maire de droite semble avoir trouvé l’explication de la connerie abyssale de Schiappa.
Jean-Yves Narquin, maire de Villedieu-le-Château élu sous les couleurs du Rassemblement Bleu Marine, a fait parler de lui en invectivant grossièrement la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité hommes-femmes. Celle-ci lui a répondu.
Avec à son actif plus de 46 000 tweets (et retweets) depuis son arrivée sur le réseau social en 2014, Jean-Yves Narquin, maire de Villedieu-le-Château (Loir-et-Cher), élu sous les couleurs du Rassemblement Bleu Marine avec le soutien du Rassemblement national (RN) selon La Nouvelle République, n’a pas pour habitude de faire dans la dentelle. Dans un tweet rédigé le 4 août, l’élu local a invectivé la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, dans les termes suivants : «On savait déjà qu’elle était reine de la pipe, d’après ses confessions ! Mais si en plus elle réfléchit pendant qu’elle suce… où va-t-on !»
Je ne vois pas exactement ce que l’on reproche à ce maire.
Il dit tout simplement ce que tout le monde sait déjà : Schiappa est à la fois une traînée et une idiote.
Fatalement, le bal des salopes devait amener Roselyne Bachelot, la soeur de Jean-Yves Narquin, à poignarder son frère dans le dos pour alimenter la haine des garces.
Chère @MarleneSchiappa Je condamne les propos ignobles et obscènes proférés par Jean-Yves Narquin à votre encontre. Je vous embrasse en toute solidarité
— Roselyne Bachelot (@R_Bachelot) August 6, 2019
Quelle hypocrisie.
Schiappa est une pornocrate qui noircit sans cesse du papier pour parler de cul.
En fait, sous le pseudonyme Marie Minelli, elle raconte dans ses livres comment elle se fait sauter par des nègres.
Marie Minelli publie en 2014 un roman encore plus hardi, Sexe, mensonges et banlieues chaudes, toujours à La Musardine. L’histoire: une jeune héritière de Neuilly-sur-Seine tente d’échapper à sa triste condition en s’encanaillant en Seine-Saint-Denis. L’intrigue et les scènes de sexe explicites enfilent les clichés comme des perles.
Si, à en croire le Canard Enchaîné, les ministres s’échangent déjà sous le manteau Osez l’amour des rondes, il est probable qu’ils se passionnent bientôt pour les passages les plus pimentés de Sexe, mensonges et banlieues chaudes. Voici un extrait très « girl power » :
« Je glisse entre mes dents, à mi-voix:
« Vas-y bouffe moi la chatte. »
Il n’entend pas.
Je réitère plus fort:
« Bouffe-moi la chatte, Amaury! »
Il s’exécute, ajoutant de la vigueur à ses mouvements de tête. Ses cheveux me chatouillent délicieusement le ventre, et comme il lèche un côté de mon sexe, je lui lance:
« Applique-toi, bordel! Au centre ! Sans déborder! »
Il lève un oeil interrogateur, puis fait, la bouche pleine: « Oui, Maîtresse. »
Au terme de ses aventures, l’héroïne est nommée… conseillère spéciale à l’égalité des chances au palais de l’Elysée. Encore un hasard. Tout comme le fait que la fondatrice de Maman Travaille fasse la promotion de Sexe, mensonges et banlieues chaudes auprès de ses lectrices en le classant parmi les « 6 nouveaux romans à lire au parc, sur un banc, en attendant le soleil » en mars 2014.
Et cette traînée qui ose encore prétendre avoir des manières dès lors qu’un homme dit l’évidence.
L’audace de ces poufiasses féministes est incroyable.